Ulla, malgré elle

Chapitre 2 - Les poupées
samedi 3 décembre 2022
par  kingliart
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Paul s’enquit sur le nom étrange de la petite esclave.
—  Ulla n’est pas son vrai nom. Je l’appelais 3615 Ulla pour l’humilier. C’est resté, elle trouve ce nom dégradant. Tant qu’elle sera avec moi, elle doit oublier son vrai nom. Elle doit s’habituer à n’être qu’une sorte de guichet de plaisir, un service sexuel. Je crois qu’elle a bien avancé. Vous avez vu qu’elle est très docile et qu’elle répond de manière satisfaisante.
—  Oui, mais vous lui avez laissé trop de liberté, me semble-t-il
—  Bah, il faut bien que je laisse ses sentiments s’exprimer. Ça la rend plus intéressante dans les séances de service.
—  Que voulez-vous dire ?
—  Et bien, elle résiste parfois quand elle doit rendre service, je veux dire quand elle doit se donner au plaisir de mes amis. Vous apprécierez cela vous-même, je vais vous en faire profiter dès que nous aurons dîné. J’aime bien cette tension en elle entre le plaisir de se faire maltraiter, de se faire humilier, et le refus de son abandon.
Les deux hommes s’installèrent à table. Chaque bonne se tenait debout aux côtés de l’un d’eux, la laisse attachée à leur chaise. Le maître avait pris soin d’attacher leurs poignets derrière leur dos, les mains entre les épaules, comme si elles faisaient la prière derrière le dos, une position douloureuse qui tordait leurs bras, mais qu’elles semblaient assumer parfaitement. La sveltesse du corps, la légèreté de leur taille était accentuée par cette position incommode qui forçait la poitrine en latex à pointer et le dos à se cambrer. Le maître expliqua qu’ainsi leurs bras devenus inutiles n’interféraient pas avec leur fonction de plaisir. Le majordome commença le service et de temps à autre les hommes vérifiaient que les bonnes restaient bien immobiles.
Pendant le dîner, Paul tira Rosette pour la mettre au bord de la table et la fit se pencher pour se reposer sur le plan de la table à ses côtés. Il souleva la jupette de latex qui recouvrait les fesses et commença à la caresser en suivant les traces de la canne qui l’avait corrigée tantôt. Il s’extasiait de la beauté de son corps. Le maître expliqua qu’elles avaient toutes les deux subi un intense entraînement sportif, il pense qu’elles furent même des poneys humains. De plus, chaque jour, elles exécutaient une routine d’entraînement particulièrement serrée, du sport de haut niveau. Il expliqua aussi qu’elles ne quittaient jamais leur corset et leur haut en latex, mais que contrairement à ce que faisait Maître Julien il les avait revêtues de bas brillants, plutôt que des bas de latex, car il aimait voir leurs cuisses fines et blanches à travers le voile des bas. Il aimait aussi à les obliger à se laver ainsi vêtues, et ne pas se contenter du jet d’eau froide que Julien avait l’habitude de leur faire subir pour les maintenir propres. Le maître les obligeait à se laver sans enlever leurs bas, et de se montrer mouillées une fois propres. Il trouvait particulièrement sexy ces femmes toutes scintillantes d’eau et de matières brillantes.
Paul s’enquit sur leur étrange bâillon.
—  En effet, il s’agit d’un petit pénis en latex qu’elles portent en permanence. Cela n’écarte pas beaucoup les lèvres, mais elles doivent le suçoter continuellement. On les nourrit en vissant un tube dans la petite valve du milieu. Elles doivent aspirer fortement pour ingurgiter une bouillie nutritive que nous leur préparons. Ainsi elles ne quittent jamais ce bâillon qui recouvre entièrement le bas du visage. Comme vous voyez leur tête sous la cagoule est dans une fine calotte de tissu en nylon, elles peuvent voir au travers, mais c’est assez malaisé, elles sont presque aveugles, car au niveau des yeux le tissu est plus épais et sombre… mais elles peuvent d’orienter en voyant les objets sans beaucoup de précision, suffisamment pour ne pas se cogner sur tout ce qui barre leur chemin. Elles sont devenues très habiles à ce petit jeu.
Après cela, le maître fait pivoter Rosette puis l’oblige à se pencher :
—  Julien m’a autorisé à profiter des orifices, mais pas de la bouche. Il dit que leur bouche lui appartient. D’ailleurs, Julien ne m’a pas donné la clé qui referme leur collier. C’est un homme étrange et je pense que pour elles, venir chez moi, se sont presque des vacances par rapport à ce qu’il leur fait subir. Enfin, de toute manière elles n’ont aucun moyen de s’exprimer et aucun son cohérent ne peut échapper de leur bouche. LIRE LA SUITE


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Commentaires

mardi 6 décembre 2022 à 22h02

C’est ce que j’ai essayé de produire : un univers glaçant, un contrôle total, jeme demande si Ulla résistera à cet univers.

Logo de Henic
lundi 5 décembre 2022 à 08h01 - par  Henic

La déshumanisation des deux bonnes est plutôt glaçante en soi, mais elle fait partie de l’environnement de cette histoire.