Couple renouvelé
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Aline, ce matin-là, regarde son mari quitter la couche commune, se diriger nu vers la salle de bain adjacente. Rapidement, elle l’y rejoint alors qu’il se mire dans le miroir, caresse les fesses offertes. Philippe la tance :
— Arrête : ça me chatouille !
C’est le cinquième matin qu’elle est arrêtée par cette remarque. Ça devient aussi lassant que répétitif. Du coup Aline claque le derrière à sa portée avec force :
— Là aussi, ça chatouille ?
Philippe se recule, la fixe avec sévérité :
— Qu’est-ce qui te prend ?
Aline constate que la bite maritale s’est tendue, répond :
— Chaque matin ou presque quand je me lève en même temps que toi, je te caresse le dos ou les fesses. Ça fait cinq jours que tu me lances cette réplique. N’aimerais-tu plus mes mains ?
Philippe cligne des yeux, avoue :
— Je ne sais pas pour quel motif ça me fait cet effet.
Aline réplique :
— Ne te mets pas en retard, je vais y réfléchir…
Elle passe derrière son époux, claque à nouveau fortement le cul nu, voit la bite se relever à nouveau.
« Tiens… tiens, cela lui plairait-il ? » pense-t-elle.
Aline gagne la cuisine, prépare le petit déjeuner…
Comme elle est femme au foyer, Aline effectue des recherches ciblées sur son PC pour comprendre pourquoi ses caresses deviennent chatouilles et la constatation faite sur l’érection du sexe marital après deux claques, fortes certes, mais sans exagération, alors que contrairement aux prévisions le sexe de son mari ne bandait pas du tout en quittant le lit. Surtout que la veille au soir, ils n’ont pas fait l’amour.
Elle trouve une abondante documentation sur les deux sujets. Pas de doute son époux aurait une tendance à apprécier la domination de sa femme. D’ailleurs lors de leurs dernières joutes sexuelles, Philippe, à plusieurs reprises, l’a laissée s’empaler sur lui, allongé sur le dos.
Aline décide d’en avoir le cœur net. Comme ce vendredi ils n’ont aucune activité prévue ce soir-là, elle a le temps de faire quelques achats pour un dîner en amoureux et se vêtir en… dominatrice.
Elle s’habille, descend dans la cour de la villa, se rend au garage à trente mètres de la bâtisse, choisit la nouvelle Volkswagen Polo R Line, plus maniable pour la ville que la BMW X3 hybride.
Vingt minutes plus tard, Aline se gare en centre-ville, n’oublie pas d’alimenter la tirelire communale appelée parcmètre.
Elle pénètre dans la boutique de son amie Carole, surprise de la voir sans s’être annoncée surtout après au moins quatre mois. Après un échange de bises, Aline s’enquiert :
— Peut-on s’isoler ?
Carole interpelle sa vendeuse :
— Marie, je te laisse, ne me passe aucun appel. Si c’est une cliente, je suis absente.
Elle enlace Aline, et elles se dirigent vers un petit couloir accessible par une porte codée, puis vers le bureau dont elle verrouille la porte.
Cette fois, sans laisser à sa visiteuse le temps de placer un mot, Carole l’embrasse à pleine bouche, serrant son corps contre le sien en posant ses mains sur la croupe ferme. Avant le mariage d’Aline, elles étaient amantes.
Quand les visages se reculent, Carole demande :
— J’ai vu à ta tête que quelque chose n’allait pas. Explique-toi…
Aline relate les événements récents, conclut :
— … Je pense que Philippe a besoin d’être dominé. LIRE LA SUITE
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