Roxy
par
popularité : 1%
Les bruits d’un début d’activité dans l’étable tirèrent Laura de la torpeur qui avait fini par l’envahir, beaucoup trop tard dans la nuit. Elle ouvrit péniblement les yeux. Seuls de timides rayons de soleil perçaient à travers le toit pour signifier que l’aube approchait. Instinctivement, elle voulut s’appuyer sur ses mains pour se redresser, avant de se rendre compte qu’elles étaient toujours attachées dans son dos… Pire, avec le temps elles semblaient même s’être engourdies… Prise d’un début de panique elle tira alors frénétiquement sur les manches de sa camisole, dont la structure n’entravait heureusement pas sa circulation sanguine, et bientôt ses bras recouvrèrent leurs sensations. Rassurée, elle déplia alors ses jambes, toujours engoncées dans ses cuissardes, et bascula sur le côté. Puis, au prix de bien des efforts, elle parvint à se rétablir sur ses genoux. Et enfin, elle entreprit de se lever pendant que la gêne causée par les deux objets piégés dans ses orifices se réveillait à son tour…
C’est alors qu’elle fut interrompue par une arrivée inopinée.
— Bonjour Roxy !
La rousse se retourna. Une petite blonde aux yeux marron se tenait derrière la grille. Visiblement âgée d’une vingtaine d’années, elle était vêtue d’un polo rouge avec un fer à cheval noir dessiné sur sa poitrine.
— Bien dormi ? demanda-t-elle.
— Pas vraim…
Une décharge électrostatique coupa brutalement sa phrase.
— Pardonne-moi, je ne voulais pas te tendre un piège, expliqua la jeune fille. Mais tu vas devoir apprendre à répondre autrement… Alors ? Bien dormi ?
Cette fois la ponygirl secoua la tête.
C’est mieux… Et ne t’inquiète pas, c’est plutôt normal la première nuit, surtout à cause de ces vilains coquins de plugs… Mais approche, ordonna-t-elle d’une voix douce en exhibant une longe. Je suis sûre que tu meurs d’envie d’aller à la douche, n’est-ce pas ?
Laura acquiesça d’un grand sourire à la perspective de pouvoir enfin retirer son accoutrement et s’avança vers la porte.
Peu après, elle suivait docilement la groom, dont le reste de la tenue était composé d’une paire de bottes et d’un pantalon d’équitation particulièrement moulant. Elles déambulèrent à travers l’écurie en passant devant les autres box, dont les portes étaient toutes fermées, à l’exception des deux derniers sur la droite. Puis elles pénétrèrent dans une salle au carrelage aussi blanc et aveuglant que celui du vestiaire. Une rangée de murs, espacés d’environ trois mètres les uns des autres, formait et délimitait une dizaine de renfoncements, de part et d’autre de l’allée centrale. Des gémissements provenaient du fond de la pièce, mais elle n’eut pas le loisir d’en apprendre davantage, car comme pour sa cellule, elle fut invitée à aller dans la première alcôve sur sa gauche. Là, le sol, bien que pavé sur sa majeure partie, dévoilait en son centre un large caillebotis, au-dessus duquel étaient suspendues trois petites chaînes… La rousse réalisa alors que les choses n’allaient pas du tout se passer comme elle l’avait naïvement imaginé… LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jours) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)
Commentaires