Summer reste dans son lit entre ses draps de coton. Son esprit vagabonde. Elle se remémore les évènements de la veille. Si seulement elle ne s’était pas inscrite sur ce site internet et si elle n’avait pas été aussi froide avec Maître T., elle ne serait sûrement pas dans la position où elle se trouve aujourd’hui. Pourtant elle avait respecté toutes ses demandes dans l’espoir qu’il se radoucisse et qu’il renvoie la photo compromettante. Et si son mari James n’avait pas pris cette photo, elle n’aurait pu l’envoyer par mégarde.

Allongée dans son lit, l’esprit de Summer revient à l’épisode avec Todd dans sa voiture. Maître T. l’avait obligé à enlever sa culotte et la mettre bien en évidence sur le siège passager. Elle se souvient du regard de son élève qui regarda d’abord la culotte et ensuite vers le milieu de ses jambes. Elle se souvient de Todd qui entre dans sa voiture, la sensation de ses mains sur ses seins, ses jambes puis sur sa toison pubienne.
Lentement, les mains de Summer descendent le long de son corps et de sa nuisette en soie blanche. Quand ses mains trouvent l’ourlet de celle-ci, elle la remonte jusqu’au-dessus de ses seins.

La main droite de l’enseignante repose sur sa touffe de poils pubiens. Elle se souvient que la chatte de Lisa est complètement rasée et que Maître T. a dit qu’il est dégoûtant d’avoir une telle quantité de poils. Espiègle, Summer tire sur ce monticule de poils avant que sa main se pose sur sa chatte déjà humide. Son index trouve son clitoris déjà brûlant et humide de son jus. Elle commence lentement à stimuler son clito avec des mouvements circulaires du doigt.
Sa main gauche monte jusqu’à sa poitrine et trouve ses tétons dressés. Son pouce et son index se ferment sur un mamelon pour le pincer doucement, provoquant encore plus le durcissement du téton.

Tandis que les doigts de Summer travaillent sur sa chatte poilue, elle tord plus brutalement ses mamelons. Elle tourne la tête sur le côté et se rappelle du gode noir de 20 centimètres dans le tiroir de la table de chevet. Elle tend la main et attrape l’objet pour placer la pointe sur les lèvres de sa chatte. Tout en se rappelant la fellation qu’elle avait donnée à son élève dans sa voiture vendredi après-midi, elle enfouit la tête du gros gode noir entre ses lèvres et le fait glisser lentement dans sa bouche afin de l’humidifier pour qu’il pénètre plus facilement sa chatte.

La main gauche de Summer retourne sur sa chatte afin d’en écarter les petites lèvres. La main droite sort le gode de sa bouche pour l’abaisser vers sa chatte brûlante. Tandis que la tête de l’objet pénètre lentement son vagin, elle laisse échapper un cri quand il trouve son point G. Les pensées de Summer reviennent au bar et aux boissons qu’elle a bues avec Lisa et les trois hommes. Elle ne se rappelle pas comment la soirée a pris fin, mais elle est contente de s’être réveillée dans son lit.

Alors qu’elle baise sa chatte avec le gros gode noir, son corps commence à trembler et annonce plusieurs orgasmes intenses. Elle accélère le mouvement tout en s’aidant des hanches qu’elle bouge en rythme. Elle crie de la douleur qu’elle inflige à ses mamelons, une douleur qu’elle associe au plaisir infligé par le gode dans son vagin. Puis, à un moment, la tête du gode trouve le point qui fait exploser le corps de la femme dans un orgasme qui lui coupe le souffle.

Tandis que ce premier orgasme s’estompe, Summer continue à baiser de plus en plus vite sa chatte humide avec la bite en caoutchouc. Elle pense à la fessée donnée par Abby la serveuse et au manche de sa brosse à cheveux profondément enfoncée dans son vagin alors qu’elle est penchée sur le lavabo des toilettes du bar.
Puis la dernière poussée du gode noir dans son ventre entraîne un nouvel orgasme puissant. Toutefois, le besoin de jouir de l’enseignante lui fait écarter encore plus les jambes afin d’introduire encore plus durement l’objet en elle. Jusqu’au moment où elle crie de bonheur pendant son troisième orgasme.

Quand Summer est en mesure de reprendre ses esprits après ces trois orgasmes, elle remarque que sa nuisette est complètement trempée de sueur, même si elle était remontée au-dessus de ses seins.
Elle saute du lit, enlève la nuisette et va prendre une douche. Tandis que l’eau chaude coule en cascade sur son corps, Summer se lave avec un savon parfumé lilas. Elle frotte son corps et commence à se détendre en profitant de la sensation de ses mains sur sa peau. Mais soudain elle se dit : « Arrête donc. Pourquoi je me caresse ainsi et pourquoi je n’arrive pas à arrêter ? »

Rapidement, Summer ferme l’eau de la douche et se tamponne la peau avec une serviette éponge. Ensuite elle se masse avec ses lotions et huiles préférées. Elle se tourne pour se regarder dans le miroir. Elle contemple sa toison de poils au-dessus de son sexe et elle pense au monticule lisse de Lisa. Elle sèche ces poils puis attrape son peignoir en soie blanc qu’elle enfile. Elle met les pieds dans ses pantoufles à talons et descend l’escalier pour rejoindre la cuisine. Elle se verse une tasse de café chaud, met une moitié de sucre et allume la télé pour regarder les nouvelles du matin.

Summer ne sait pas combien de temps est passé, mais son café est froid maintenant et elle n’a bu que quelques gorgées. Elle n’arrive pas à se concentrer et elle ne se rappelle toujours pas ce qui est arrivé au bar après qu’elle a bu ses trois « Sex on the beach » venant de la bouche d’Abby.
Elle se souvient qu’elle était un peu patraque, mais c’est tout. Elle devine qu’elle avait sûrement trop bu et qu’elle était fatiguée après les orgasmes dans les toilettes et que Lisa avait dû la raccompagner chez elle. Puis, soudain, elle pense : « Oh, mon Dieu, où est ma voiture ».

Summer saute de sa chaise et court au garage. Mais ses craintes sont sans fondement, car sa voiture est bien dans le garage et la porte est fermée. Elle fait le tour de son auto, mais ne voit pas de dommages.

Elle retourne dans sa cuisine, met son café au micro-ondes, ramasse la télécommande pour régler le son de la télé. À ce moment, la sonnette de la porte d’entrée retentit. Summer crie :

– Merde !

Elle se dirige vers la porte se demandant qui peut la déranger à 10 h 30 un samedi matin. Elle voit Todd SPILLERS debout sur son porche. LIRE LA SUITE