Denise par MissIrene

Texte intégral
jeudi 6 avril 2023
par  Henic
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1. Avant-propos : La maîtresse des marionnettes

J’étais Denise Arden Lamont, mais ce n’est pas seulement son histoire. C’est l’histoire d’une salope idiote et de son piège. En me laissant glisser dans un monde d’esclavage sexuel, je suis passée du statut de femme maîtresse d’elle-même à celui de jouet sexuel sous le contrôle d’impitoyables maîtresses. Leur but est simplement d’exiger et d’obtenir une gratification sexuelle de leur ascendant sur moi. La façon dont j’ai été avilie est racontée ici.

2. Mi-1989, Harvard

J’ai, je suppose, toujours vécu une vie de facilité. Cela vient du fait que je suis née dans une famille aisée de « vieux riches » qui a toujours épousé d’autres familles riches. Le vrai problème quand on est riche, ce n’est pas de vivre pleinement sa vie, mais plutôt d’en faire assez pour la rendre intéressante. J’ai choisi de travailler même si mon fonds fiduciaire me permettait de vivre une vie facile. Mon travail m’a absorbée comme jamais ma maigre vie de famille ne l’avait fait. À mon trentième anniversaire, je me retrouverai très riche, mais d’ici là, je dois vivre des rendements et des intérêts, ce qui n’est pas un mince revenu. Dans mon cercle d’amis, il y avait quelques femmes qui passaient tout leur temps à baiser le jardinier et le bricoleur, et leur argent à acheter des vêtements de marque. Mes amis les plus proches, cependant, étaient faits d’une matière plutôt solide.
À la fin des années 80, c’était la mode de faire des études universitaires et, bien sûr, de se rebeller contre le système. J’ai moi-même étudié le droit. Ce n’était pas une rébellion mais un statut. Entrer à Harvard n’était pas un problème, l’argent parle. Il s’est avéré que j’étais douée pour les questions juridiques et le cours est devenu une obsession. J’aimais le pouvoir de tenir un client ou un adversaire dans la paume de ma main.
C’est là que j’ai rencontré pour la première fois Katherine De Burg. Elle n’était certainement pas une fille remarquable. Même à l’âge de vingt ans, elle était plutôt ronde, avec de gros seins et des jambes courtes. Ce n’est pas qu’elle n’était pas attirante, c’est comme si elle s’en fichait. Elle étudiait également le droit, mais suivait aussi un cours de psychologie en complément. Au fil des cours, elle s’est détournée du droit pour passer un doctorat en psychologie. Le plus drôle, c’est que je me sentais vraiment attirée par elle, et même si son cercle d’amis était très différent du mien, nous faisions souvent des choses ensemble, surtout que nous venions tous les deux de Jersey. Je me souviens qu’elle n’avait apparemment pas de petit ami. Comme c’était à la mode d’être homosexuel, j’ai supposé à tort qu’elle prenait son pied ailleurs. Comme j’avais tort !
L’histoire commence un jour où je lui ai rendu visite dans son appartement. Je n’y allais pas souvent mais ce n’était pas la première fois. Elle était l’une des rares étudiantes dont les parents étaient suffisamment riches pour s’assurer que leur petite fille vivait confortablement. Nous avions convenu de faire ensemble un devoir sur le droit de la responsabilité civile, car c’était un domaine qui m’intéressait particulièrement, mais dans lequel Kathy avait du mal. Je frappe à sa porte, pas de réponse, j’essaie la poignée.
Le grand appartement bien meublé comportait trois pièces. J’entendis une conversation venant de sa chambre. Plutôt naïvement, je suis entrée. À ma grande surprise, j’ai vu un homme plutôt musclé, nu sur son lit. Kathy se tenait près de lui avec une canne en bambou dans une main et une cigarette dans l’autre. L’homme était fermement attaché au lit, les bras et les jambes tendus, et il avait une énorme érection. Une corde grossière était attachée à la base de son sexe. Quand je suis entrée dans la pièce, Kathy s’est retournée pour voir et a haleté de surprise. Je ne pouvais rien faire d’autre que de rester stupéfaite. C’est bien sûr Kathy qui s’est reprise la première et a dit :
« Pardon. J’ai oublié le devoir. »
Tout le monde s’est essayé au bondage à un moment ou à un autre. Mais le voir en direct, comme spectatrice, constitue forcément un choc. L’homme sur le lit m’a regardé avec une expression neutre, sa bite se dressait fièrement, son extrémité violette, brillante et exposée. Malgré cela, je ne pouvais m’empêcher d’être curieusement intéressée par la vue de la Kathy dodue menaçant avec une cravache le gros bonnet sur le lit. J’ai répondu :
« Je reviendrai plus tard.
— Non. Laisse-moi te montrer ce que j’ai accompli, a dit Kathy comme si ses exploits sexuels m’intéressaient. » LIRE LA SUITE


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Commentaires

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samedi 8 avril 2023 à 16h27 - par  de Perry

SUBLIME traduction d’une histoire riche en rebondissements. Le lecteur ne s’ennuie pas un instant quel que soit son goût pour la trame de base. Le traducteur se joue parfaitement des écueils en rendant cette lecture simple, fait accepter sans souci les passages plus raides. BRAVO à Henic. Ce n’est pas du cirage de pompes, mais la vérité ; Sylvain.