De bander son clitoris ne s’est pas arrété...
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Le repas achevé, Santina, toujours nue, a été caressée par Cinzia à la demande d’Anna, mais elle n’a pas été fessée. Norma monte se faire payer, regarde, plutôt mate, le corps de Santina, dit à Anna :
– Tu as raison de la garder nue… Elle est à croquer. Je la découvre et… Si jamais tu l’abandonnais, je la consolerais…
Santina intervient, manière de répondre à Anna à ses propos pré-déjeuner :
– Pas tout de suite, Norma…
D’elle-même, elle s’approche de sa secrétaire, l’enlace :
– … Nous avons un programme chargé pour ce soir.
Anne reprend la main, claque la croupe nue par deux fois, dit :
– Habille-toi ! Pantalon bien comme je t’ai montré…
Santina prend deux billets de cent euros, les tend à Norma, prend ses chemisier et pantalon, demande :
– Ça te suffit ?
– Bien sûr, ma belle. Vas-tu chez Anna ou chez toi ?
Anna répond :
– Chez moi. Pouvez-vous nous appeler un taxi ?
– Il sera là dans dix minutes. Ne tardez pas…
Norma s’éclipse.
Anna vérifie que le pantalon est bien ancré devant et derrière…
Anna déverrouille la porte de son appartement du quartier Loreto via Battaglia. Elle y précède Santina à laquelle, dès le battant fermé, elle ordonne :
– Première porte à droite, ma salle à manger avec cuisine, à gauche, c’est un dressing. Tu te déshabilles ici et y mets tes affaires…
– Mais…
– Une fessée peut-être ?
– Non… Non…
– Donne ton sac à dossier, nous travaillerons dès que j’aurai ôté ta fourrure…
Anna entre dans la salle à manger, dépose les affaires de travail, repasse dans le couloir où l’attend Santina, nue :
– Laisse tes chaussures…
– Mais… Aaaaaaaye !
Deux claques pleine croupe.
– … Cesse de m’interrompre sans arrêt. Je ne vais pas te laisser nu-pieds sur le parquet, j’ai des chaussons multi-tailles. Suis-moi…
Elle achève :
– … ici, à gauche, salle de bain cabinet de toilette ; à droite, chambre double (les deux femmes y entrent). C’est moi qui ai aménagé ce salon-salle à manger en grande chambre. L’autre pièce, où nous travaillerons, était une chambre à l’origine. Mets-toi sur le lit, sur le dos, jambes écartées. Je reviens.
Anna passe dans l’autre partie de la grande pièce, prend deux gants de latex, puis va dans la salle de bain où elle prépare la mousse à raser, la petite palette en bois, les adhésifs nécessaires, une pince à épiler pour terminer le travail, une petite bouteille de lotion calmante.
Santina, lorsqu’elle revient, dit :
– Il était temps… Des crampes me titillaient.
Anne ne répond pas, pose son matériel, commande :
– Tourne-toi !
– Sur le ventre ?
– Vite !
Santina bascule, présente ses fesses.
Anna pose une main sur les reins, lève l’autre. Santina s’inquiète en voyant le geste dans un miroir :
– Pourquoi ?
– Dix claques pour ta réflexion sur les crampes.
Chaque fesse reçoit ses dix claques, faisant crier Santina encore sensible après la fessée matinale :
Nooooooon !... Désolée… Je… Aaaaaaaye !... Ne voulais pas… Te vexer.
– Il en sera ainsi quand tu feras des remarques désobligeantes. La prochaine fois, ce seront vingt claques, soit une augmentation de dix claques, et ce pendant tout le week-end. Reste comme tu es, je vais commencer par ton cul. Écarte tes jambes, grand large. LIRE LA SUITE
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