Coloscopie
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Samuel est un jeune professeur gastroentérologue connu, mais peu apprécié de son personnel. C’est pour ce motif que deux de ses infirmières ont décidé de le piéger à son cabinet privé.
À huit heures du matin, ce samedi-là les deux jeunes femmes se présentent à son domicile, proche de la place de l’Étoile à Paris.
Corinne sonne à la porte du logement qui jouxte son cabinet, Gaëlle se colle dos au mur. Elle sait qu’il va ouvrir, car il est toujours célibataire.
Samuel a juste passé une robe de chambre sur son corps nu, est surpris de voir le visage de Corinne. Il pense à une urgence, ouvre le battant, se retrouve bousculé par le saut de la visiteuse qui l’immobilise dans sa robe de chambre. Gaëlle ferme la porte. La surprise passée, Samuel crie :
– C’est quoi ça ? Lâchez-moi !
Gaëlle, qui déjà venue, conduit le couple vers la porte qui sépare le cabinet du privé, l’ouvre et se dirige directement vers le lieu de « travail ».
Samuel crie, mais cette partie est complètement insonorisée :
– Salopes ! Qu’est-ce qui vous prend ? Vous êtes virées !
Ses tentatives de libération échouent et il se retrouve à plat ventre sur le caoutchouc du lit, vite lié par Gaëlle : bras et jambes dans les rigoles métalliques prévues à cet effet.
Corinne lui prend la tête entre ses mains, le fixe droit dans les yeux :
– Avec tes attitudes déplacées dans le service, nous avons décidé d’une coloscopie spéciale pour toi.
Samuel éructe :
– Salopes ! Vous allez voir…
Corinne attrape le masque qui sert à endormir, le colle sur la bouche de Samuel, dit :
– Rassure-toi ! Pas question de t’anesthésier ! Gaëlle est en train de préparer les deux lavements spéciaux pré-examen. Afin que tu ne t’ennuies pas en attendant, je vais te coller une bonne fessée afin que tu comprennes une bonne fois que tes sous-entendus nous fatiguent. Je vais ôter le masque. Si tu nous insultes, je le remettrai, de plus nous te laisserons lié jusqu’à dimanche soir une fois ton examen terminé. Hoche la tête si tu as tout compris.
Samuel le fait ; Corinne enlève le masque.
L’homme implore :
– Pardonnez-moi pour tout. Je saurai me tenir. Je vous le promets…
Gaëlle qui a mis à chauffer les deux lavements, s’approche :
– Nous espérons pour toi. Depuis deux ans que tu diriges le service tu n’as jamais changé d’attitude malgré les demandes de tout le monde. Tes quatre infirmières, six jeunes assistantes et le personnel administratif, nous avons demandé notre changement de service sur un document commun, signé de tous.
– Vous n’avez pas fait ça ?
– Mais si. À toi Corinne !
La jeune femme s’est postée sur le flanc droit du lit, lève la main, l’abat sur le globe gauche. La fessée a débuté.
Corinne adore claquer ce beau derrière musclé et dur. Sa main ne faiblit pas alors qu’elle la lève et l’abaisse sur toute la surface offerte. LIRE LA SUITE
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