Ma femme
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Ma Thérèse mise nue sous mes yeux ; moi-même déshabillé entièrement par de merdeux ; mais des merdeux bien décidés à se payer un couple. Je frémis en entendant leurs propos !
Déjà, avoir appris que ma femme me trompait avec mon meilleur ami qui de surcroît la prenait en photo, je suppose, nue !
Et la promesse (menace plutôt !) de m’obliger à les sucer !
– Alors, cocu, prêt pour la turlutte ? On veut que tu nous fasses bien bander avec ta jolie bouche et ta petite langue pour qu’on puisse bien faire jouir ta femme. Tu es content ? Tu vas avoir un beau spectacle !
– Au moins nous on te fait participer, alors que tes copains qui viennent s’amuser avec Thérèse te privent de ce spectacle ! Ne t’inquiète pas on va leur expliquer la situation ; la prochaine fois ils pourront venir la baiser même le week-end en ta présence, et en plus ils pourront se faire sucer aussi !! Rires !
– Il n’est pas question que je fasse ça, je maugrée !
– Eh bien, on va te mettre une bonne fessée sur ton petit cul ; on va le faire rougir, jusqu’à ce que tu sois d’accord ; ta petite femme va assister à ta fessée, ça va peut-être la faire mouiller ?
– Oh ! elle mouille déjà, lance la rouquine qui, je viens de le voir, est en train de branler ma femme.
Elle lui a mis deux doigts dans le vagin et lui caresse le bouton avec le pouce !
Elle fait la même chose que moi lorsque je veux émouvoir mon épouse ; et je sais qu’elle ne résiste pas aux câlins sur son clitoris !
– Regarde, me lance le gros, ta femme ne va pas tarder à jouir, elle commence à couiner, ta salope ; tes copains ont dû lui faire la même chose pour l’avoir ! Rires !
– Allez à ton tour de t’amuser ! On l’attrape et on le met sur nos genoux ; on prend une chaise et on installe le cocu sur nos genoux ; on va commencer par dix claques sur chaque fesse ; quand le fesseur sera fatigué on le remplace jusqu’à ce que le cocu devienne obéissant ! Rires ! On y va !
Je suis relevé, allongé sur les genoux d’un garçon ; je serre les fesses et les dents, bien décidé à ne céder en aucune façon ; moi sucer, jamais ! Alors ça commence ; clac clac clac !!! Ça pique un peu ! Et puis ça continue, chlac chlac chlac ! J’ai l’impression qu’il tape plus fort !
Et ça continue ; je viens de changer de genoux ; le nouveau fesseur s’en donne à cœur joie ; chlac chlac chlac ! c’est le gros blond ; il frappe fort, très fort, et je commence à gémir malgré moi !
– Aïe aïe houtch aïe !!
Ça me pique de plus en plus, ça commence à brûler !
– Aïeee ! aïe ! je gémis ; ça fait mal ; arrêtez un peu !
– On arrêtera quand tu seras décidé à nous sucer, pas avant ! chlac chlac chlac ! LIRE LA SUITE
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