Dans ce pays de l’hémisphère sud, la civilisation est moderne, mais les mentalités très particulières. Trois catégories d’habitants : les riches, la classe moyenne, les pauvres.
Pour ces derniers lorsqu’ils ont des enfants, dès qu’ils ont dix-neuf ans, les parents ont deux choix :
– soit ils les gardent avec eux et leurs congénères,
– soit ils les vendent au Centre de formation.
Ce matin-là :
Silvia, âgée de 19 ans et un jour, blonde, visage fin à la bouche sensuelle, seins petits, ventre plat, sexe poilu aux lèvres fines, fesses pleines ;
John, même âge que sa voisine, brun, visage aux yeux noirs, bouche de jouisseur, mince, sexe long et fin, fesses musclées ;
Masqués, ils sont en route dans la voiture venue les quérir pour les conduire au Centre de formation où ils arrivent.

I

Un homme prend John en charge, le conduit dans une aile du bâtiment ; Silvia est emmenée par une femme dans autre aile du même bâtiment.
Dès qu’elle entre dans la grande pièce où la femme l’abandonne, Silvia reste sans bouger. Elle sent que quelqu’un s’approche d’elle, lui ôte son bandeau, et elle cligne des yeux.
Silvia comprend qu’elle est dans un genre de laboratoire. Deux lits, un recouvert de cuir, l’autre de caoutchouc avec au bout deux montants métalliques, sur le côté une douche et un siège de toilette à la vue de tous.
Deux filles, à peine plus âgées qu’elle, la dévisagent. Leur blouse en cuir blanc leur donne un air bizarre. La blonde lui dit :
– Enlève tous tes vêtements et va à la douche.
– Mais…
– Dépêche-toi ! On n’a pas de temps à perdre.
Silvia, domptée par le ton comminatoire de la blonde, se défait de ses « chaussures » en toile, de sa robe informe et de son slip. La brune l’a imitée, et quand elle passe près d’elle, elle la prend par le bras et l’entraîne sous la douche dont le jet d’eau tiède les arrose dès qu’elles sont sous le pommeau.
La brune la savonne avec ses mains, s’attarde sur les seins, le sexe, les fesses et même la vallée entre elles. Silvia résiste quand un doigt se glisse vers son anneau rectal, mais une claque sèche la rend moins rétive.
Quand le doigt sort, la brume le regarde et hume, dit à sa collègue :
– Lavement !
La douche achevée, les deux filles sortent. La brune attrape deux serviettes, en tend une à Silvia :
– Sèche-toi bien partout !
Une fois sèche, la brune enfile sa blouse, prend à nouveau le bras de Silvia, la remorque jusqu’au lit recouvert de caoutchouc.
Elle la fait se pencher en avant, coller ses seins sur le caoutchouc froid, prend un bras qu’elle lie au montant du lit, fait de même avec l’autre bras.
La blonde arrive en poussant un chariot sur lequel se trouve un support métallique au sommet duquel se trouve un sac plastique semi-opaque rempli de liquide.
La brune lie les cuisses aux montants du lit.
Silvia sent des doigts gantés qui s’immiscent entre ses deux fesses. Du coup elle les serre, crie :
– Aïe !
Une claque sèche est tombée. La blonde commande :
– Ne te contracte pas ou tu vas gagner une fessée.
Silvia relâche ses muscles.
La blonde dépose un lubrifiant. La brune approche son visage de celui de Silvia :
– Elle va insérer un tube dans ton derrière. Il faut absolument détendre tes muscles afin que tu n’aies pas mal. Si tu résistes, elle forcera. Après ton lavement, elle te donnera une fessée.
Silvia perçoit un doigt qui pénètre en elle. Malgré sa bonne volonté, elle se crispe. La blonde, toujours d’une voix calme, dit :
– Tu viens de gagner ta fessée. Détends-toi vite !
Silvia pousse un cri lorsqu’après avoir réussi à faire pénétrer son doigt, la blonde étale le lubrifiant dans la gaine rectale.
Le doigt sort, mais aussitôt quelque chose d’incroyablement froid et ferme s’introduit dans les fesses de Silvia qui ne peut pas se retenir d’essayer de serrer les fronces. Mais le lubrifiant permet une introduction sans souci ; le long tube dur, mais fin pénètre en elle sur quinze centimètres.
La brune dit :
– Ça y est, tout est en toi. Si tu sens une crampe, dis-le.
La blonde ouvre le robinet et le liquide jaillit en Silvia. LIRE LA SUITE