L’éducation de Kate

23. La révolte de Kate
mercredi 3 janvier 2024
par  Luke
popularité : 1%
29 votes

23. La révolte de Kate

Depuis bientôt plus d’une heure que je suis suspendue à ce foutu portique. Mes épaules me font un mal de chien, car étant constamment sur la pointe des pieds, je n’arrive pas à trouver un équilibre suffisamment stable pour me reposer un peu, mes seins et ma chatte sont tellement étirés que je ne ressens plus qu’une lancinante douleur qui m’envahit le cerveau.
Je ne pense plus qu’à ça, que ce supplice s’arrête.
Ça y est, je me mets à gémir sans m’arrêter. Mon corps suspendu par mes poignets à ces anneaux me semble peser une tonne.
Ma tête est affaissée, le menton sur ma poitrine inondée de ma bave. Bave qui s’écoule de ma bouche à travers le bâillon pour former une flaque entre mes jambes.
Le spectacle ne doit pas être beau à voir.
Où est la Kate fière qui se croyait indomptable ?
Je ne suis plus qu’une loque humaine.
La porte d’entrée qui s’ouvre. Thomas qui arrive enfin. L’entendre monter l’escalier en sifflotant ne me ragaillardit pas pour autant.
Je sens son odeur. Il doit se tenir devant moi, pas loin. J’entends le fauteuil qui craque un peu quand il s’assoit dessus.
« Je vois que Maud a bien travaillé et qu’elle a suivi à la lettre mes consignes. En plus, elle t’a joliment équipé les seins et la chatte. J’espère que tu en profites un max et que tu as bien mal. J’ai une semaine à rattraper avec cette histoire de formation. Je me sens comme en manque. Voyons un peu ces tétons et ces lèvres. Houla, c’est pas bon. Il faut que je t’enlève ces pinces. Attention pour la première. »
Il m’enlève d’un coup la pince sur le sein droit. La douleur qui m’irradie le sein monte jusqu’à mon cerveau et je ne peux que hurler tant c’est violent. J’en ai le souffle coupé. La pince est restée bien trop longtemps. Mon téton doit être exsangue et tout plat.
« Oui, je sais, ça fait très mal. Attends, je n’entends pas bien avec ton bâillon. »
Il m’enlève le bâillon et je peux enfin décrisper mes mâchoires.
Je respire fort par la bouche par petits à coups comme si je haletais, pour tenter de neutraliser la douleur et retrouver une respiration normale.
Ça se calme un peu. Dès que Thomas voit que je me détends un tout petit peu, il retire la pince sur le sein gauche.
À nouveau, souffle coupé, explosion de douleur, un bref hurlement inhumain sort de ma gorge.
J’ai encore plus mal que pour la fois d’avant.
Dès que ma respiration revient à la normale, Thomas retire une pince de ma chatte.
Impossible de me contenir, tant c’est violent comme douleur. Je hurle en continu de toutes mes forces à nouveau. Je me débats dans mes liens aussi fort que je le peux, tant j’ai mal.
Et dire qu’il en reste encore une à enlever, je ne sais pas si je vais le supporter.
Thomas lui ne pose pas la question et il ôte la dernière pince. C’est tellement violent que tout s’éteint. Je perds connaissance. La miséricorde enfin, je ne sens plus rien.
Thomas m’a dit après coup qu’il avait eu très peur quand il m’avait vu tomber dans les pommes, mais quand il avait compris que ce n’était pas grave en soi, il m’avait laissé pendre de tout mon poids au bout de mes bras.
Ça l’avait fait bander de me voir comme ça. LIRE LA SUITE





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Commentaires

Logo de Henic
jeudi 4 janvier 2024 à 22h28 - par  Henic

Kate se révolte. Elle a raison : Thomas ne respecte pas les règles convenues.
Il semble bien piteux, d’ailleurs ; le costume de Maître paraît trop grand pour lui.