Sexe à plusieurs : CLAIRE
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Claire et Gilles sont présents à l’inauguration des nouveaux locaux de la société de son époux, vu l’extension exponentielle de l’activité, son PDG a fait construire un building de 15 étages dans un grand centre d’affaires international.
Petits fours, orchestre, un certain nombre de gens important et très bien vêtus, elle ne se sent pas à sa place dans ce monde qui la dépasse un peu, mais c’est important pour son mari. Elle porte une petite robe rouge qui s’arrête quelques centimètres au-dessus du genou, des jambes sont gainées de nylon noir, elle a aux pieds des escarpins à talons très hauts qui lui font de magnifiques mollets galbés.
Son mari la présente à plusieurs personnes qu’il fréquente lors de ses activités professionnelles, très timide elle se sent toute petite devant tous ces gens qu’elle ne connaît pas, la soirée avance, le champagne lui tourne un peu la tête, car elle ne boit jamais d’alcool, les gens dansent au son de l’orchestre, et la soirée avance sans qu’elle voie le temps passer. Un homme se présente à elle, il la regarde d’une manière si intense qu’elle se sent déshabillée, elle baisse les yeux comme une petite fille, elle a eu le temps de remarquer que c’est un homme dans la plénitude de la cinquantaine très sûr de lui, plutôt bel homme et prenant soin de sa personne.
L’orchestre entame un slow et il la prend par la main pour l’emmener danser, elle n’a pas eu le temps de dire quoi que soit, l’autorité de cet homme la subjugue. Au bout de quelques secondes, ses mains se promènent sur son dos semblant explorer la surface de sa robe, il lui glisse à l’oreille :
– Que portes-tu sous cette robe, lui demande son cavalier, je n’arrive pas à deviner ce que c’est.
– C’est une guêpière en satin que mon mari m’a offerte, répond Claire.
– Une guêpière, je ne connais pas, c’est fait comment et ça sert à quoi de plus qu’un soutien-gorge ?
– En plus de soutien-gorge, ça serre la taille et ça tient les bas.
– Tu portes des bas ce soir ?
– Oui Monsieur, répond-elle.
Une de ses mains descend vers le bas de son dos pour sentir où se finit la guêpière, comme celle-ci s’arrête juste en haut de ses fesses, la main baladeuse commence à voyager sur ses fesses et elle doit la remettre sur son dos, car elle trouve un peu osé que cet homme ait la privauté de toucher une partie si intime de sa personne.
La danse se termine et elle cherche son mari des yeux pour lui dire ce qu’elle pense de son patron, mais dans la pénombre elle ne le trouve pas et son cavalier l’entraîne pour un nouveau slow.
– Tu as enlevé ma main bien rapidement et je n’ai pas pu me rendre compte quel type de culotte tu portais, tu pourrais me le dire ?
– Mais c’est très intime et je pense que cela ne vous regarde pas, je ne sais pas qui vous êtes, mais quel que soit votre position dans cette société ne vous donne pas accès a moi.
– Je vais te dire ce qu’il en est, je suis le Big Boss, tu ne le sais pas encore, mais tu vas être toute à moi, jusqu’à un point que tu ne peux imaginer pour l’instant, au premier regard j’ai su que tu savais ce qu’il en était, maintenant je veux savoir ce que tu as comme culotte
– Un minuscule string, s’entend-elle répondre comme dans un brouillard, abasourdie par l’outrecuidance de cet homme
– Bien, alors tu vas aux toilettes, tu l’enlèves et tu reviens me le donner le plus rapidement possible.
Désemparée, elle recommence à chercher son mari, ne le trouvant pas et ne sachant que faire, elle va vers les toilettes obéissant à l’injonction donnée, elle enlève son string et sort des toilettes.
L’homme l’attend dans le couloir, ils sont seuls, elle lui donne la culotte, il la prend et lui dit :
– Elle est humide cette culotte, je pense que tu apprécies les hommes autoritaires, avec moi tu vas être servie.
– Mais que va penser mon mari je n’ai pas envie de le tromper, je l’aime.
– Avec moi pas d’amour que de la souffrance et du sexe, viens avec moi maintenant j’aimerais voir cette fameuse guêpière de plus près.
– Mais mon mari va s’inquiéter de savoir où je suis.
– Est-ce que tu l’as trouvé quand tu le cherchais ?
– Non
– Alors c’est qu’il n’est pas inquiet, et en plus ce ne sera pas long, mon bureau est par ici, suis-moi.
Ils prennent un ascenseur privatif qui ne donne accès qu’au dernier étage, elle est époustouflée par la vue offerte par les immenses baies vitrées qui couvrent les deux pans de ce bureau. Ils entrent dans la pièce, c’est très design, c’est trop grand pour une seule personne, il lui explique c’est aussi pour lui, un lieu de vie quand il est dans ses locaux.
Il s’installe dans un profond fauteuil en cuir, il sait qu’ils ne seront pas dérangés, sans son autorisation personne ne pénètre ici, et rares sont les personnes à y avoir eu accès depuis son installation, elle reste debout ne sachant que faire.
Bien, maintenant montre-moi ce qu’il y a sous la robe
Elle défait la fermeture éclair de sa robe et laisse tomber celle-ci à ses pieds, elle est plutôt fière de son corps en temps ordinaire, mais là, presque nue sous les yeux d’un inconnu elle ne se sent pas très à l’aise.
– Approche, lui dit-il.
Claire s’exécute et se présente devant celui qui va devenir son amant, ce qui paraît inéluctable vu sa tenue et le sexe tendu que l’homme a sorti de son pantalon.
– À genoux petite pute et suce-moi ! LIRE LA SUITE
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