La punition de Nathalie (1)
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Ce récit est une des suites que pourrait avoir le récit de « Laure première soumission » après la scène du restaurant où Nathalie s’est fait piéger.
Nathalie nous raconte ce qui s’est passé ensuite.
Laure et son mari, Pierre, sont partis du restaurant mais je ne peux pas me remettre correctement à mon travail tant ce qui vient d’arriver m’a secouée et me perturbe encore.
Me faire piéger comme une gamine. Tout ça pour une sordide histoire de cul.
Ah, ils m’ont bien eue tous les deux avec leur histoire de soumise sans soutif et sans culotte.
Et moi, comme une idiote, j’ai laissé parler mes bas instincts de lesbienne en manque de sexe.
On ne devrait jamais penser avec son cul. Regarde où ça te mène, Nathalie. Je suis dans un sacré merdier.
Mais les regrets ne servent pas à grand-chose, il faut que je bouge.
Je vais aller à leur foutu rendez-vous et récupérer l’enregistrement et ce sera fini, une fois pour toutes.
Ma pause est finie, il faut reprendre le boulot et si je continue à gamberger comme ça, je risque de me faire virer. Manquerait plus que ça.
Mon boulot est enfin terminé et il me tardait que l’heure de la fermeture arrive, je rentre direct chez moi dans mon petit appartement.
Je veux être tranquille, dormir pour oublier cette histoire.
Je vais pour me coucher et dans la salle de bains, je me déshabille vite fait.
Avant de passer une nuisette, je me lave les dents et en voyant mon corps nu se refléter dans le miroir et ma poitrine qui remue dans tous les sens, je repense à cette fille au corps divin et je suis traversée comme par une décharge électrique, un début d’orgasme si soudain que je serre ma main sur ma chatte et je m’appuie avec l’autre sur le rebord du lavabo pour ne pas tomber, tellement c’est fort.
Prise d’une envie folle de jouir, je retourne entièrement nue dans la chambre et dans mon tiroir secret, je trouve le gode et le vibromasseur qui vont bien avec à côté, les pinces à sein et le martinet court.
Ma main se tend vers le vibro mais dans ma tête, une petite voix me dit « Non, Nathalie, ce soir, tu dois payer pour avoir été aussi conne. »
Je laisse le vibro à sa place et je prends les autres jouets.
Je me mets à genoux sur mon lit, la joue collée sur l’oreiller.
Avec le martinet, je me frappe les fesses et les cuisses du plus fort que je peux.
Ça cuit à force mais la punition n’est pas assez forte, j’ai besoin de me sentir souillée alors j’enfonce le gode dans mon cul après l’avoir mouillé de ma salive en crachant dessus.
Ça résiste. Je force. Je veux avoir mal.
Il faut que j’aie mal, je veux me punir de ma connerie et maltraiter mon cul de salope.
C’est tellement étroit et à sec que ça me fait un vrai mal de chien mais c’est ce que je veux.
Le gode s’enfonce lentement et ça rentre petit à petit.
Quelques lents va-et-vient et ça y est, il est tout entier en moi.
Une douce chaleur inonde mon ventre mais non, pas de plaisir pour la conne que je suis.
La conne que je suis ne mérite que de souffrir alors je pousse encore. Le gode bute sur le deuxième sphincter et je pousse d’un coup.
À cause des voisins, je dois retenir mes gémissements tant je me fais mal. Alors, serrant les dents, la tête dans l’oreiller, seuls des sons assourdis sortent de ma bouche. Mais il est passé. Je le retire et je l’enfonce d’un coup à fond à nouveau sans attendre.
Ouille, que c’est brutal, cette douleur. Je me sens perforée de part en part.
Alors, je recommence plusieurs fois de suite en attendant un peu entre chaque pénétration.
Après dix minutes de ce traitement, la douleur me déchire le ventre si fort que je m’effondre sur le lit. Je me mets à pleurer en pressant à deux mains mon ventre douloureux.
Je récupère un peu et je m’assois sur le lit pour bloquer le gode pour qu’il reste profondément enfoncé.
Ça fait très mal surtout quand je bouge. Alors je bouge exprès.
Le résultat est là. Je crie ma douleur entre mes dents et j’aspire l’air en haletant.
Les larmes inondent à nouveau mon visage.
Au bout d’un quart d’heure, mon corps n’en peut plus de cette douleur et mon cerveau quelque part me dit : « Nathalie, tu t’es suffisamment punie, arrêtes de te faire mal, prends un peu de plaisir, fais-toi du bien. » LIRE LA SUITE
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