La punition de Nathalie (3)

Chapitre 3
dimanche 23 juin 2024
par  Luke
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« Alors, tu ne te souviens pas ? 
– Si, si, Madame. Le message disait : pas de poils superflus. Mais pour moi, ma toison, j’y tiens. Je ne me suis jamais rasée et on ne me l’a jamais demandé d’ailleurs, avant cette fois-ci. Alors, non je ne me suis pas débarrassé de mes poils superflus. »
– Il y a un début à tout, tu sais. Mon Maître ne va pas être content et il risque de te le faire payer très cher. Il m’a montré une vidéo où justement une fille comme toi, n’avait pas voulu s’épiler. Sa Maîtresse lui a réservé un sort pas très enviable. C’est pas très marrant pour la fille, crois-moi. La vidéo lui a beaucoup plu et il m’a dit qu’il aimerait bien faire ça à une fille récalcitrante. Tu veux voir ? Il me l’a prêté au cas où justement j’en aurais besoin. Ce qui est le cas, non ? »
Je ne sais quoi lui répondre. De toutes les façons, elle va me la montrer cette fichue vidéo.
Laure manipule son téléphone et des images apparaissent sur la télévision qui est dans ma chambre.
Une femme tout habillée de cuir tourne autour d’une jeune fille entièrement nue aux formes généreuses dont la toison pubienne est exubérante comme la mienne.
La fille se débat dans des liens qui la maintiennent écartelée sur une croix de bois en X qui est placée à l’horizontale.
Elle hurle qu’on la lâche et qu’elle ne veut pas qu’on lui touche sa toison.
Une femme s’approche de la fille attachée, une seringue à la main et elle la pique au cou, puis se recule.
« Avec ça, petite sotte, tu sentiras mieux mes caresses. Laissons un peu de temps au produit pour agir, ce sera rapide. »
Au bout d’une minute, la femme s’approche une cravache à la main et cingle violemment chaque sein par cinq fois. Elle laisse la fille hurler à pleins poumons entre chaque coup et ensuite seulement, elle lui pose un bâillon sur la bouche.
« Comme ça, je t’entendais moins gueuler. Tu me casses les oreilles avec tes cris. »
Elle referme sa main sur la toison, arrache une poignée de poils qu’elle jette sur le sol.
La fille hurle dans son bâillon et se cabre sur la croix.
Dès qu’elle a reposé ses fesses sur le bois. La femme lui arrache une autre poignée de poils.
La fille hurle à nouveau, se débat, se cabre, mais son supplice ne s’arrête pas. Après la toison, les grandes lèvres et les cuisses y passent. La fille s’évanouit, mais pas pour longtemps, A coup de gifles sonores, la maîtresse l’a fait sortir de sa torpeur.
Quand la peau est enfin bien visible. Son ventre et son entrejambes sont tout rouge d’irritation.
Une pince à épiler à la main, la femme arrache les poils récalcitrants qui ont résisté à son premier « nettoyage ». Depuis un moment déjà, la fille a cessé de crier et pleure sans discontinuer.
Quand la femme se recule satisfaite de son œuvre, le ventre de la fille est tout lisse.
Elle lui passe une crème sur la zone qu’elle vient dépiler.
Alors, la fille lui crie sa rage entrecoupée de sanglots. Elle dit à sa maîtresse qu’elle ne voulait pas et qu’elle lui a fait horriblement mal et que toutes les façons, elle laissera repousser sa toison.
La maîtresse prend une canne en jonc et frappe de toute sa force les seins, le ventre et les cuisses de la fille pendant longtemps jusqu’à ce que la fille supplie d’arrêter les coups.
Son corps tout rougi n’est plus que balafres violacées. La femme dit alors à la fille qu’elle ne peut rien lui interdire, car elle est son esclave et qu’elle lui appartient totalement.
La télé s’éteint. Laure me regarde avec un grand sourire.
« Elle est chouette cette vidéo et très instructive sur la bêtise de certaines filles qui préfèrent souffrir que de se raser la chatte. Tu en penses quoi ? 
– Madame, je ne sais rien pour cette fille et sa cruelle maîtresse, mais moi, je ne veux pas. Un point, c’est tout. D’ailleurs vous allez me relâcher tout de suite. J’arrête de vous obéir et si vous continuez… 
– De quoi, de quoi ? La pétasse se rebiffe. Elle ne veut pas. Elle exige. Elle se croit où ? Dans tes rêves, tu es ici de ton plein gré, je te le rappelle au cas où tu l’aurais oublié. Tout à l’heure, tu m’as juré d’être très obéissante si j’arrêtais de te frapper. Tu as la mémoire courte. Heureusement que j’ai tout enregistré pour mon Maître. De plus, tu t’es engagée à te mettre à notre disposition, Pierre et moi aujourd’hui jusqu’à demain. Tu n’as pas le choix sinon les contacts de ton téléphone recevront des vidéos très croustillantes de la salope de Nathalie. Je ne te dis pas leurs réactions. »
Vaincue par ses arguments terrifiants, car je sais qu’ils le feront si je ne plie pas à leurs exigences et surtout que je n’ai trouvé aucune échappatoire, je me mets à pleurer doucement sur mon sort. LIRE LA SUITE


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