La punition de Catherine 2

mardi 23 février 2010
par  doc aldo
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Durant les jours qui ont suivi la visite de Maître Pascal, nous n’avons pas évoqué cette soirée. Catherine était plutôt distante. Chaque jour elle relevait, anxieuse, le courrier, attendant la fameuse convocation chez le médecin pour l’examen médical.
Le vendredi soir, elle est rentrée du bureau en larmes et s’est jetée dans mes bras :
— Tu sais quoi ? M. Morlaix, mon patron ! Il est au courant, pour Maître Pascal !
— Ah bon, qui lui a dit ?
Et Catherine commence à me raconter son après-midi ; tout en l’écoutant, je lui caresse machinalement les seins sur le chemisier.
Comme tous les vendredis après-midi, M. Morlaix a réuni son équipe de cadres dont mon épouse, la seule femme de l’équipe, est un élément très dynamique. M. Morlaix est un patron à l’ancienne, strict, mais juste, la soixantaine petit, chauve, toujours très poli. Durant le briefing, le téléphone de M. Morlaix a sonné :
— Bonjour cher ami… Non ! Vous ne me dérangez jamais, quelles nouvelles ?
Pendant un long moment, le patron a écouté son interlocuteur puis il a dévisagé Catherine qui, rougissante, a dû baisser le regard.
— Bien cher ami, merci de m’avoir prévenu… Oui, oui je suis assez disponible ces temps-ci… Oui, pas de problème… Bonne journée.
La réunion a suivi son cours puis M. Morlaix a congédié ses cadres en leur souhaitant un bon week-end. Au moment où mon épouse sortait du bureau…
— Ah ! Catherine, s’il vous plaît, vous pouvez rester encore un moment ? Fermez la porte, je vous prie.
Mon épouse s’exécute et se place devant le bureau de son patron.
— Oui Monsieur ?
— Venez près de moi, Catherine.
Elle contourne le bureau et se place à la droite de M. Morlaix, pensant que celui-ci veut lui présenter un détail dans un dossier.
M. Morlaix lève les yeux et la dévisage :
— Catherine, pendant la réunion, Maître Pascal m’a informé du rendez-vous qu’il a eu avec vous…
Les jambes de Catherine flageolent, elle rougit et sent qu’elle transpire.
— Oh mon dieu ! Non, pas ça… Oh, pourquoi ?
Des larmes coulent.
Pendant qu’elle me raconte cela, toujours debout au milieu du salon, je dégrafe son chemisier et palpe ses seins, je sens ses tétons durs sous la dentelle.
— Continue ! dis-je.
M. Morlaix la rassure :
— Allons ne pleurez pas, je trouve cela très bien, Maître Pascal est parfait, un dressage vous fera le plus grand bien. Mon épouse, Madame Morlaix a suivi un stage chez lui également, pendant plusieurs mois.
— Oh ! Madame Morlaix ?
Catherine imagine mal Mme Morlaix soumise : elle est très ronde, et si religieuse. La femme du directeur est une grande bourgeoise, âgée d’une soixantaine d’années, et très chic.
— Oui, mon épouse. Et depuis, je collabore avec Maître Pascal, je reçois chez moi des soumises en stage. Je participe à des séances de dressage dans la villa de Maître Pascal. Et je fais partie du comité qui interroge les soumises.
Catherine ne répond rien, elle a le souffle coupé. Sans gêne, M. Morlaix passe la main sous sa jupe et remonte le long de ses cuisses, puis palpe ses fesses bien rondes, sur son slip.
Le récit de ce qu’a subi mon épouse cet après-midi m’excite fortement, je retire complètement son chemisier et dégrafe son soutien-gorge, elle proteste un peu :
— Mais enfin, que fais-tu ? Arrête !
— Laisse-toi faire, allons…
Puis M. Morlaix, sentant qu’elle porte un collant, se fâche un peu, baisse son collant au niveau de ses genoux et, saisissant une paire de ciseaux sur son bureau, le découpe en charpie. Puis il remonte sa main sous la jupe de mon épouse, sur le devant cette fois.
— Ah c’est beaucoup mieux. Catherine, je ne veux plus vous voir avec ce sous-vêtement ridicule qu’est le collant ! À partir de lundi, vous porterez des bas avec porte-jarretelles, c’est compris ?
Comme dans un rêve, Catherine s’entend répondre :
— Bien Monsieur Morlaix.
L’homme s’enhardit, il lui caresse le pubis à travers le slip, cela dure longtemps. Puis il force l’entrecuisse, caresse le tissu moite. LIRE LA SUITE

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