Je est une Autre
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L’homme s’immobilisa et l’examina quelques minutes d’un regard appuyé empli de lubricité. Stoïque, Anna se laissa observer et ouvrit plus largement l’arc de ses jambes afin d’encore mieux exposer son sexe luisant d’une chaude humidité. Force était à Anna de constater qu’en dépit de cette situation scabreuse qui aurait dû la révulser, elle éprouvait au contraire une excitation évidente. Déjà, elle sentait son sexe palpiter et ses tétons gonfler et durcir. « Comment cela est-il possible ? » se demanda-t-elle effarée « Comment éprouver du désir pour cet ignoble individu ? » Mais non, se dit-elle, ce n’est pas cet homme qui suscitait son désir, mais l’inconvenance absolue de la situation à laquelle elle était confrontée. Hardiment, elle planta ses yeux dans ceux de l’individu alors qu’un léger sourire illuminait ses traits. Elle n’avait plus peur. Elle allait sucer cet homme répugnant, elle allait s’abreuver de son jus non plus parce que son Maître le lui avait ordonné, mais parce qu’elle en avait envie. Il lui sembla qu’une deuxième Anna émergeait lentement du plus profond d’elle-même. Une Anna qui l’effrayait un peu par la force de ses pulsions, mais qu’elle sentait conquérante.
– Tu es une pute ? lui demanda l’homme tout en continuant de la mater.
– Non… certainement pas…, s’offusqua Anna.
– Pourtant, tu vas me sucer…
– Oui…
– Gratuitement ?
– Oui… bien sûr !
– Eh bien, je ne vais pas me plaindre… tu as une bouche très appétissante. En plus si c’est gratuit…
– …
Anna regarda l’homme dégrafer sa braguette et tendre vers sa bouche un sexe encore amolli.
– Tu vas commencer par me branler et quand je serai suffisamment dur tu enfourneras ma bite dans ta bouche de pute.
Sans se faire prier, Anna saisit le membre flasque entre ses mains en coupole et commença un lent mouvement de va-et-vient. Elle refréna à grand peine, un réflexe de révulsion alors que des effluves nauséabonds agressaient ses narines. Lorsqu’elle sentit la queue prendre de l’ampleur, elle serra plus fermement ses doigts autour et accéléra son mouvement dans le secret espoir de déclencher une éjaculation qui lui éviterait d’emboucher la queue malodorante de l’individu.
– Oh… oh… on se calme, sale pute. C’est dans ta bouche que je veux me vider comme tu me l’as si obligeamment proposé ! Vas-y maintenant, avale-moi et applique-toi !
Sans pouvoir cacher son dégoût, Anna avança son visage vers la queue qu’elle goba avec répugnance et elle ne put retenir un hoquet nauséeux quand une saveur rance d’urine tapissa son palais. Du bout d’une langue hésitante, elle excita le gland tumescent d’où suintaient de fines gouttes de liquide préséminal incapable de se résoudre à l’avaler entièrement. Impatient, l’individu fit pression sur sa nuque et engouffra sa queue dans la bouche d’Anna, puis, en tirant sur ses cheveux, lui fit amorcer de rapides et profonds aller-retour.
– C’est ça, serre bien tes lèvres et lèche-moi. Oui, c’est bon… Tu es une bonne suceuse…LIRE LA SUITE
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