La punition de Nathalie (9)
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« À genoux, Nathalie. »
Je me jette à genoux devant elle, les cuisses bien écartées. Tania approche son pubis de mon visage et m’ordonne.
« Ta langue dans ma chatte et tu t’appliques. »
Je lance mon visage et m’affaire à lécher avec beaucoup d’application son sexe et à gober son clitoris et fourrer ma langue dans sa chatte tout humide. Je me force à le faire du mieux que je peux, mais le cœur n’y est pas et pour ne pas être punie pour mon manque d’entrain, je m’imagine faire l’amour à Laure. Du coup, je me sens pleine d’entrain et cela doit être efficace, car je sens le ventre de Tania de tordre contre ma bouche. Ses deux mains m’enfoncent la tête dans sa vulve. J’ai du mal à respirer. Elle explose enfin en me remplissant la bouche de sa cyprine, cyprine que je dois avaler pour pouvoir respirer. J’arrive enfin à dégager ma tête de son ventre. Je sens mon visage tout inondé.
« Brave fille, » me fait-elle en me tapotant la tête.
« Il faut que je te prépare pour les hommes pour qu’ils s’occupent bien de tous tes trous de salope.
Monte sur ce petit meuble et mets-toi sur le dos. »
Elle m’entoure le bassin et la taille de cordages dont elle attache les brins libres à l’anneau fixé dans le portique au-dessus de moi. Elle me bande les yeux, puis m’attache les chevilles et les bras au niveau des coudes aux anneaux fixés de chaque côté du meuble.
Elle lie mes deux poignets par une corde et tire cette corde pour la fixer à un anneau du meuble entre mes pieds.
Je sens que je suis tirée vers le haut et mon corps décolle du meuble jusqu’à ce que mes chevilles et mes bras soient tirés par les liens fixés au meuble.
Je suis immobilisée, ma tête est à l’envers. Mon corps doit faire un arc inversé comme quand je fais le pont en gym, mais suspendu à un mètre du sol. Le moindre de mes mouvements provoque un léger balancement. Je sens l’air sur ma chatte entrouverte et mon petit trou bien visible.
Je suis dans un état second entre anxiété d’avoir mal et réelle attente de ce mal pour en tirer un plaisir fou.
J’entends un ronronnement et je sens une intense vibration sur mon clitoris. Elle vient de poser un vibromasseur sur mon sexe.
Que c’est bon ces vibrations et ces pulsations ! Je pousse mon ventre en l’ondulant contre l’engin et je gémis de plaisir.
En même temps, je sens deux de ses doigts, puis trois se glisser dans ma chatte. Les doigts entrent et sortent à un rythme soutenu. Je mouille abondamment. La paume de sa main frappe mon entrejambes avec des flocs-flocs-flocs sonores.
Je me sens partir. Je vais partir. Il faut pourtant que je me retienne, elle me m’a pas autorisé à prendre mon plaisir. Je ne sais pas ce qu’elle pourrait me faire, mais l’ayant vu à l’œuvre, je préfère m’abstenir de la provoquer.
« Tu peux jouir, petite pute. »
Alors je ne me retiens plus. J’explose et j’inonde sa main de mon jus en criant longuement mon plaisir.
« Eh bien, Nathalie. Tu es une vraie salope à jouir comme ça. Voyons, ce que tu fais avec ton cul. »
Elle enfile deux de ses doigts gluants dans mon petit trou et ceux-ci entrent facilement. Elle essaie un troisième doigt ce qui me fait crier. Elle stoppe son geste, se recule et revient vite vers moi.
Je sens un objet métallique pointu entrer dans ma rondelle et forcer le passage. Bien qu’elle le pousse très fort, il n’entre pas facilement dans mes entrailles, ce n’est pas une petite taille celui-là et je me sens le cul tout dilaté.
« Avec ça, les hommes pourront t’enculer plus facilement. »
C’est ça qu’elle a prévu pour moi, me faire enculer par des hommes. Je n’ai jamais été sodomisée par un mâle, seules certaines de mes amantes avaient eu ce privilège. D’habitude, c’est moi qui encule les femelles que je mets dans mon lit.
Mes cheveux agrippés fermement par sa main me ramènent brutalement à la réalité de l’instant.
Elle est devant moi et tapote ma bouche avec sa main toute mouillée.
« Nettoie cette main, chienne et vite. »
Je me dépêche de sortir la langue. Elle passe ses doigts dessus et les enfourne dans ma bouche. Je m’empresse de lécher ses doigts.
Quand elle estime que ses doigts sont propres, j’ai droit à une tape sur le dessus de la tête.
« Messieurs, cette salope n’attend que vous. Faites-vous plaisir. De ce pas, je vais vous préparer l’autre petite pute. » LIRE LA SUITE
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