Guet-apens pour bourgeoise
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Le soir tombait, et la voiture roulait au milieu du flot continu de la circulation sur le périphérique urbain. L’an 2000 était bien passé et le monde n’avait guère changé. Un feu annonçait une sortie et la conductrice clignota vers la droite. Le feu passa au rouge. Elle s’arrêta, et juste après une voiture stoppa aussi sur la gauche à sa hauteur. Elle… était une célébrité de la télévision, qui travaillait sur une grande chaîne depuis des années. Qu’importe son nom, de A à Z, d’Anne à Zoé, elle était connue du grand nombre. Le passager ouvrit la vitre et cogna plusieurs fois sur la sienne. Surprise, elle se tourna et aperçut une carte avec la mention « police ». Elle descendit la vitre pour demander : « oui, que se passe-t-il ? » Et le policier de répondre : « veuillez vous garer sur la droite, après le feu, s’il vous plaît ». Les deux véhicules se garèrent, celui de la Police derrière. Habituée à l’observation, elle s’aperçut d’une anomalie, aucune mention police, ni gyrophare ne signalait la voiture trois hommes en civils en descendirent et l’un deux expliqua : « excusez, brigade des mœurs madame inspecteur… Durand », et il tendit une photo :
— Avez-vous déjà vu cet homme quelque part… ?
Hésitante,
— Euh… euh… Non, je ne me souviens pas, mais c’est à quel sujet, vous m’interpellez comme çà, je tombe des nues.
— Eh bien, selon nos informations, cet homme semble vous connaître, enfin, au moins de vue.
Elle observa attentivement la photo et rajouta :
— Non désolée, je n’ai jamais vu cet homme.
— Ah …pourtant cette affaire a été relatée par les médias et la télévision, vous ne l’ignorez pas quand même.
— Oui, mais cela ne signifie pas que je suis concernée, que voulez-vous au juste ?
Le policier, hésitant repris …
— He bien … c’est que dans le cadre de notre enquête, nous aurions besoin de votre participation, si cela ne vous dérange pas, bien sûr.
— Justement, cela me dérange, je rentrais chez moi ; appelez-moi au bureau pour un autre jour, je vous prie.
— Madame, il n’y en a pour moins d’une heure et cette affaire est tragique : un décès et un blessé grave, nous devons agir au plus vite…
— Bon, d’accord, mais alors incognito, je compte sur vous, je vous suis …
Une intuition fugitive la troubla.
— Inutile, vous montez avec nous, on vous ramène, avec un véhicule officiel, cette fois.
Au moment où elle s’assit à l’arrière, un pressentiment la mit mal à l’aise …
— Ce n’est pas très loin, le bureau est à 20 minutes, tranquillisez-vous.
Mais la voiture commençait à s’éloigner du centre-ville, et elle émit un hum… hum significatif
— Pas de problème, nous faisons un petit détour pour éviter le trafic …
Elle trouvait ce détour un peu long, mais se dit qu’avec 3 policiers des mœurs, elle ne craignait rien … la voiture roulait depuis un bon moment et changea plusieurs fois de direction. Personne ne disait mot, mais le mot « policier » lui revint en mémoire " … la voiture banalisée … Merde, et si c’étaient des faux, quelle conne, je suis ... le pressentiment l’angoissa un peu plus et elle se crispa.
— On arrive dans 5 minutes, dit l’homme à côté d’elle.
Quelques instants après, il se tourna sur le côté ajoutant : « je trouve que ça ne sent pas très bon, on va parfumer » et de ses poches il sortit un mouchoir et un flacon de liquide qu’il versa dessus.
— Mais qu’est -ce que …
Elle n’eut pas le temps de finir que l’homme lui plaqua l’ensemble sur le visage, appuyant sur sa nuque avec l’autre main. Elle comprit en un éclair, de faux policiers bien sûr, se débattit, mais les 2 autres l’immobilisèrent et elle s’évanouit.
Réveillée, elle était bâillonnée, il faisait nuit, la voiture arrêtée dans rue déserte sur le côté avec les 3 complices. Le chauffeur déclara :
— Tu sais depuis combien de temps on ne s’est pas fait une bourgeoise dans ton genre ? Essaie de deviner pour voir … que des putes, des traînées, des poufs ; nous on préfère les perles comme toi, et elles sont rares ces temps-ci.
Avec une main elle désigna le bâillon qui l’empêchait de parler.
Il reprit :
— D’accord, mais pas de blague, sinon on devient très méchant, compris ?
Le bâillon ôté, elle reprit son souffle et se redressa pour dire :
— Pourquoi faites-vous cela, vous savez qui je suis, et je ne crois pas pouvoir répondre à … vos besoins
— On vient de le dire, des traînées, on en trouve partout à notre époque, pas des salopes BCBG dans ton genre.
— Vous, au moins vous savez parler aux femmes, ça me touche vraiment. D’abord je ne vois pas pourquoi vous me tutoyez, ensuite je ne suis pas du tout ce vous pensez, et enfin dites-moi la différence entre putain et salope, insultes qui semblent vous réjouir. De plus je ne crois pas être tellement BCBG.
— Tu ne vois pas ? Une pute s’intéresse au pognon, alors qu’une salope recherche le plaisir et la jouissance, l’orgasme absolu. Elle est aussi perverse, donc intelligente.
— Intelligence mise à part, je ne suis ni l’une ni l’autre. Mais toute femme ressent, plus ou moins, ce besoin, cette recherche, mais par amour, et non pour le sexe.
— Tu crois beaucoup de choses, il me semble : est-ce que tu crois que tu vas nous pomper tous les 3, là dans la bagnole, avant de te remplir tous les orifices ?
Elle n’en crut pas ses oreilles.
— Ooohhh ! Vous êtes… odieux. Non, là je ne crois plus, j’imagine tout le plaisir que je vais en retirer, levant les yeux vers eux, vraiment c’est du grand art… euh… messieurs ? »
Il se retourna vers ses complices :
— Insolente avec çà, donc intelligente, donc…
— Super salope « ajouta l’un d’eux, en ricanant.
Assise à l’arrière, elle ne pouvait rien tenter au risque d’être sévèrement molestée. Ils descendirent pour changer de place, et le chauffeur se retrouva à ses côtés :
— Bon d’abord tu vas nous montrer tes nichons, enlève ton soutif.
— Non, il n’en est pas question, je ne veux pas, et laissez-moi, espèces de tarés !
— Pourquoi tu résistes, on est 3 et on peut te violer ?
Elle se débattit, mais ils lui enlevèrent son pull et elle se retrouva en chemise ; le passager se pencha en plongeant sa main vers sa poitrine ;
— Aller fait voir ça, on bande déjà.
Elle résista, mais les 2 complices lui bloquèrent les bras et lui déboutonnèrent le chemisier qui laissa voir des seins fermes soutenus par un soutif, leur partie supérieure visible.
— Oh, la salope, bien foutue en plus, regardez-moi ça.
Les 2 autres se penchèrent et la pelotèrent presque en même temps, elle protesta en vain. Le passager força et lui mit un sein à l’air ? Il se pencha pour le prendre avec sa bouche, pendant qu’il sortit sa grosse verge en érection. Un complice plongea la main dans le dos et détacha le soutif. Elle s’agitait les seins à l’air, ils les voyaient remuer par l’échancrure du chemisier.
— La vache, elle fait bien salope comme çà, dit l’un d’eux
— Va on y va, lança le conducteur rien que d’y penser je bande, je suis monté comme… regarde çà. En effet, la grosse verge se tendit comme un ressort, face au visage de la victime ; allez, vas — y pompe et à fond, salope.
— Certainement pas, ça me dégoûte, je ne pourrai pas…
— Si tu refuses, je vais être obligé de te forcer.
D’une main il serra fort la mâchoire et de l’autre il appuyait sa verge contre la bouche. Elle émit une plainte de douleur et le gros pénis s’enfonça entre les lèvres. Et il lui commanda, maintenant tu suces… LIRE LA SUITE
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