Jeunes et belles... mes esclaves (3)
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« Regardez-le » je murmure en balançant lentement le pendentif d’un côté à l’autre.
Suivez son mouvement, laissez vos paupières devenir lourdes, vos pensées se calmer.
Il n’y a que ma voix, mes ordres… le reste disparaît… »
Le balancement s’accélère lentement. Mes mots se font murmure, caresse fluide.
Véronique et Valérie se laissent prendre au jeu, leurs yeux fixés sur le pendentif, puis lentement, ils se ferment.
La respiration de chacune ralentit, leurs muscles se détendent.
Ma voix devint douce, presque chantante, un murmure qui berce leurs esprits.
« Laissez-vous aller… vos paupières s’alourdissent… le monde autour s’efface… sauf ma voix…
Rien n’existe plus que ça : l’attente… le doute… ce frisson délicieux d’être peut-être déjà à moi… »
Leurs têtes dodelinent, leurs paupières s’alourdissent.
« Respirez profondément… Chaque souffle vous enfonce plus profondément dans la paix, la confiance… Vous êtes en sécurité… Vous ne résistez pas au besoin de dormir… »
Je les observe en souriant. Leurs souffles ralentissent. Une tension, imperceptible, fait vibrer leurs corps.
Je vois leurs épaules s’affaisser. Leurs bouches s’entrouvrir.
Une petite perle de salive brille au coin des lèvres de Véronique.
Valérie respire lentement, profondément, les cuisses entrouvertes sans même s’en rendre compte.
Je les regarde sombrer, doucement, sans même comprendre.
« C’est si étrange… cette sensation de glisser… de se perdre… et pourtant si douce… si excitante…
Pourquoi résister ? Peut-être que tu n’as jamais voulu être forte… peut-être que ta vraie nature attendait, bien cachée…
Je sculpte leurs pensées, leur implante des suggestions durables, au plus profond de leur subconscient.
« Tout ce que tu croyais… devient flou… inutile… Il reste autre chose… un désir ancien… sale… brûlant… trop longtemps étouffé.
Tu es maintenant mon esclave libertine… ma créature curieuse… prête… avide. »
Je module le timbre de ma voix, glisse dans leur inconscient comme un poison délicieux.
Ma voix se fait caresse, un souffle velouté et pénétrant.
Mes phrases sont entrecoupées de silences profonds.
« Tu aimes sentir l’air sur ta peau nue. Tu n’as jamais supporté les sous-vêtements.
Quelle erreur d’avoir cru les aimer… tu le sais maintenant.
Tu veux sentir l’air sur ta peau, l’attente d’être effleurée, prise, utilisée… offerte.
Pas demain. Pas plus tard mais à chaque instant.
Tu es ma chienne docile, prête à tout pour me plaire. »
Un soupir. Une moue troublée. Je poursuis, encore plus bas :
« Quand je suis là… tu sens en sécurité. Tu es à moi.
Rien ne peut t’arriver… sauf ce que je décide.
Pas demain… pas plus tard… maintenant pour toujours.
Tu es ma salope obéissante.
Ton corps est à moi. »
Une légère crispation du ventre. Le doute, encore faible, se dilue.
Mes paroles continuent à pénétrer en elles :
« Oui… tu es fière. Fière de ton corps. Fière de te montrer nue. Tu veux être regardée.
Peut-être même souillée de regards… de mains… de désirs étrangers…
Et cela t’excite bien plus que tu ne l’avoueras jamais.
Tu es la pute que je peux offrir à ma guise. Ta chatte, ton cul m’appartiennent. » LIRE LA SUITE
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