3 - Les présentations de Geneviève - Chap 16 à 23

samedi 15 mai 2010
par  Georgen d’Oronte
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Seizième partie

Avec des gestes d’une exquise féminité, Geneviève défait un à un les boutons de son spencer qu ’elle pose délicatement sur le cuir noir du siège, puis ceux de son chemisier et apparaît à Sadorge en soutien-gorge blanc en voile de nylon qui laisse facilement deviner son contenu.
— Un écran prometteur, dit-il. Veuillez me tourner le dos pour vous dégrafer puis cacher vos seins de vos mains. Vous vous retournerez alors.
— Erotisme raffiné, pense Geneviève. Se tournant sur sa droite, elle passe les mains dans le dos et défait son Chantelle, le laisse tomber sur le plancher, empaumes ses seins puis se retourne, les yeux naturellement baissés.
— Faites en sorte de venir à genoux entre mes jambes pour mieux m’offrir cette poitrine puis vous mettrez les mains sur la nuque.
Avoir le buste nu, les mains en coupe sur les seins et devoir se mettre à genoux n’est pas chose si aisée même dans la spéciosité d’une Mercedes en mouvement en raison des arrêts et virages sur le trajet. Elle se laisse glisser sur le plancher et sur les genoux, vient se placer entre les jambes de pantalon écartées de l’homme, les mains sur la nuque.
— Bravo pour votre maintien mammaire, chère amie. Vos seins sont plantés un peu bas à mon goût mais quelle fierté dans le port de vos pointes. Cela va même jusqu’à l’arrogance. C’est remarquable ! Sans prévenir, Sadorge lui assène un violent revers de la main qui porte une chevalière sur le sein gauche. Le grand cri étouffé par le bâillon de Geneviève, à la fois de douleur et de surprise, semble plaire à Sadorge.
— Vous voilà à présent porteuse de mon sceau.
En effet, tant le coup était si fort qu’il avait laissé une marque boursoufflée sur le sein : un aigle aux ailes étendues. Puis il saisit les seins de la jeune femme entre ses doigts, trouve les glandes pour les périr durement.
— Quelle source d’amusement, ces merveilles ! Quelle fermeté J’aime ressentir ces rondeurs internes. Et vous aimez être manipulée aux seins, je le sais.
Après ce qui parut une éternité pour Geneviève, il lâche enfin ses globes pour s’occuper des tétons. - Je suis sur que ce genre de caresse virile a érigé vos tétons, Geneviève. Inutile de préciser pourquoi…
L’approche des mains de Sadorge lui fit baisser les bras par un réflexe de protection.
— Non, ma chère amie. J’ai dit bras sur la nuque ; ne m’obligez pas à vous lier.
A ces mots, il saisit les tétons entre le pouce et l’index de chaque main pour en éprouver la texture, leur douceur et leur tenue en main. Ses pointes sont roulées gentiment de gauche à droite et légèrement tiraillées par jeu.
— Vous n’avez jamais allaité, m’a-t-on rapporté. Donc vos tétons sont restés très sensibles aux caresses.
Geneviève fait oui de la tête.
— Nous allons vérifier cela.
Sadorge pince alors les bouts fragiles comme un forcené, les lèvres pincées, tout à son œuvre sadique. Geneviève peut voir ses bouts aplatis entre ses doigts. Ses jointures ont pris une couleur blanche tant la pression qu’il exerce est violente. Geneviève pousse un cri étouffé par le bâillon qui serait transformé en feulement atroce sans la présence de cet engin dans la bouche. Il les maintient ainsi prisonniers pendant une bonne minute puis les secoue sans aucun ménagement comme des clochettes, les tire vers lui. Les yeux de Geneviève se remplissent de larmes sous la douleur.
— Allons, vous êtes trop sensible , ma petite. Maitrisez-vous. Vous ne connaissez que la douleur procurée par des mains ; le meilleur est à venir mais pas aujourd’hui. Malgré les larmes de vos yeux, je suis sur que vous prenez plaisir à ce traitement particulier de vos seins. Nous allons vérifier cela. Veuillez me présenter vos orifices.
Encore sous le choc de la douleur infligée, Geneviève se relève, se rassoie sur la banquette à le droite de Sadorge, heureuse de ne plus être la proie des mains de cet homme. Rendue maladroite de nervosité, elle se défait de sa jupe puis de sa culotte qu’elle dépose sur la siège à sa droite. Elle est à présent totalement nue aux côtés de Sadorge.
— Les documents virtuels n’ont pas menti. Vous êtes simplement belle, Geneviève. Déplacez donc vos fesses sur le siège.
Intriguée, Geneviève obéit et vient se placer sur un emplacement plus frais, quelques cinquante centimètres vers la portière. Si les conducteurs dans la circulation parisienne pouvaient se douter de ce qui se trame dans cette Mercedes !
— Comme je le pensais, chère amie. Voyez de vous-même. Sadorge désigne du menton une large tache sur le cuir. Votre mouille, Geneviève… Que voulez-vous ? Vous n’y pouvez rien. Je vous ai tout simplement excitée et votre vagin coule.
Geneviève est morte de honte à la vue de cette trahison de ses sens. Elle rougit et se mord les lèvres.
— Allons, à présent, présentez vos orifices sexuels comme j’ai déjà exigé.

Dix-septième partie :

Geneviève se tourne légèrement vers Sadorge, écarte ses cuisses et de ses deux mains présente son sexe en écartant ses grandes lèvres.
— On ne vous a donc pas appris mieux que cela ? Présenter son sexe à la demande requiert un certain art chez les courtisanes. Pensez à ce que vous avez fait dans notre petit cercle d’amis…
Geneviève, hagarde, ne sait comment réagir.
— Puisqu’il faut vous aider à obéir, je vais compenser votre maladresse.
— A terre,le dos contre le bas du siège, la nuque reposant sur le plancher, les bras tirés vers l’arrière et les jambes repliée vers la tête. Vous savez faire une chandelle, j’ai cru comprendre ? C’est la même posture mais les pieds rejoignent les oreilles. Obéissez.
Geneviève exécute lentement cette prise de position. Ses cours de danse lui ont donné une belle souplesse des membres. Cela aussi il doit le savoir ; comme tout ce qui concerne son intimité d’ailleurs. Elle s’exécute, honteuse d’être livrée à l’empire de ses instincts de soumission.
— Ainsi vous offrez parfaitement votre cul et votre con qui sont à disposition. C’est étonnant, non ?
Il se met à flatter ses fesses ainsi abandonnées à quelques trente centimètres de son visage. Longtemps, des deux mains il flatte le cul et tirant les fesses violemment de côté, il fait disparaître la raie culière. L’anus apparaît, rose foncé, plissé et béant sous la traction. Il en remarque la propreté impeccable et félicite Geneviève pour sa préparation.
— Mes renseignements fournissent dis-sept cm comme profondeur anale. Cette position devrait vous permettre de faire mieux.
Sans hésiter il enfonce l’extrémité de sa cane d’ébène dans le fondement de la jeune femme, éperdue, et sans défenses. Lentement , il fait pénétrer l’extrémité et entreprend une lente sodomie. Geneviève se trémousse légèrement sous l’intrusion de l’objet.
— Bouger peut contribuer à votre douleur, chère amie. A vous de choisir.
Il fait ressortir le bout de la cane :
— Comme je le pensais. Au moins vingt- cinq centimètres ! Et ma cane est entrée avec une telle facilité. Vous devez pouvoir accepter aisément des queues de belles dimensions. Mais voyons votre con à présent.
D’un mouvement de la main ; il bouge légèrement le postérieur éclaté par la position afin d’avoir le sexe dans l’exact prolongement du regard. - Beau con mais trop encrassé par vos glaires, chère Geneviève. Vos lèvres sont bien disposées en corolle, ouvertes et disponibles. Voyons ce clitoris. De l’index droit il tire le sexe de Geneviève vers le haut et de la main gauche décapuchonne le petit organe rose nacré qui est livré au regard, sans défense.
— Ravissant, dit-il !
Il se met à triturer ce bouton sensible. Comme choquée par un courant électrique, Geneviève projette son bassin vers Sadorge assis plus haut qu’elle, l’invitant à poursuivre son début de masturbation.
— Doucement, ma belle. Vous n’êtes plus une pucelle pour réagir au quart de tour. Vous êtes vraiment une femme facile qui ne demande qu’à jouir dans l’humiliation. N’est-ce-pas ?
Sans attendre de réponse, il enfonce trois doigts dans le vagin dégoulinant. L’intrusion est aisée. Il tend les muqueuses, en juge l’élasticité et leurs réactions. Son point G étant mis à contribution, Geneviève se cabre comme une pouliche. Son odeur de femme se répand dans la limousine. L’homme retire ses doigts luisants de mouille. Son exploration lui parait suffisante.
— Votre dossier électronique mentionne aussi une profondeur vaginale atteinte après 17 cm de pénétration. Nous devons vérifier cela de suite.
Comme il a procédé pour l’anus de Geneviève, il introduit le bout de sa cane dans le canal vaginal. Les petits lèvres happent aussitôt le bois et un surplus de cyprine s’échappe, tel un écoulement de lave, de sa vulve détrempée. Sans relâche, il enfonce le bois noir jusqu’à ce que Geneviève pousse un cri.
— C’est le signal que je ne suis pas loin du fond. Elle peut encore prendre plus loin.
En effet, malgré les plaintes de la jeune femme, Sadorge parvient à enfourner encore cinq bon centimètres. - Bien ! Cela doit être le col de l’utérus. Rien de bien grave.
Quelques mouvements circulaires du poignet et il ressort la cane. Geneviève laisse échapper quelques vents ce qui provoque le rire narquois de Sadorge.
— Sachez vous contenir, chère amie ! D’après moi, au moins 25 centimètres ont du pénétrer votre con. Vous devez aimer les possessions brutales et profondes. Vos hanches et vos fesses permettent une excellente prise en main pour des levrettes mais ceci avait déjà été noté par notre ami Henry. Maintenant voyons votre capacité à accueillir une pénétration plus musclée.
Sadorge approche le pommeau en argent de sa cane. Il est orné d’une couronne qui s’évase légèrement vers le haut.
— Bien plus épais qu’un sexe d’homme, fait-il remarquer.
Il fait coïncider lentement le diamètre du pommeau à celui de l’entré du vagin et sous la poussée brusque de sa main droite , il pénètre la fragile intimité de la jeune femme. De par sa position, Geneviève est réduite à un postérieur et à deux trous béants. Insensible à ses supplications, il taraude le con de la cane tenue à deux mains. Il baratte son vagin sans ménagements ni états d’âme. Ce mouvement brutal et rapide de piston accroit les sécrétions de Geneviève qui sont évacuées à chaque remontée du pommeau de la cane. Le rythme devient si rapide qu’elle ne peut rester insensible à cette humiliation de sa féminité et accompagne les saccades de la cane en lançant son bassin à la rencontre des assauts fous du pommeau.
— Vous n’irez pas jusqu’à l’orgasme, ma belle. Trop facile d’obtenir votre plaisir ainsi. Voyons votre cul à présent.
Il ressort la cane du sexe et l’enfourne sans plus des formalité dans sa gaine anale pour lui faire subir le même taraudage. Sadorge déforme inlassablement le boyau rectal sans songer à ce qui l’entoure et encore moins aux cris étouffés de Geneviève qui n’a pour autre alternative de ne pas bouger de sa position pour ne pas être perforée plus gravement.
La voiture et ses occupants arrivent sur l’autoroute de l’ouest. Francis, qui prend la parole pour la première fois depuis Paris, fait remarquer qu’ils arrivent bientôt à destination.
— Très bien, répond distraitement Sadorge en sortant la cane du fondement de Geneviève et l’essuyant d’un fin mouchoir blanc, la voici bien préparée pour la suite de notre équipée.
D’un geste rapide, il assène une claque brutale du revers de la main ornée de la chevalière sur la fesse gauche de Geneviève qui devient doublement marquée du sceau de Sadorge au cul et au sein. Elle se cabre sous la douleur mais du fait de sa position renversée et fermement maintenue par les deux jambes de l’homme , elle ne peut bouger. Enfin, la voiture s’arrête au sommet d’un plateau de la banlieue ouest de Paris, Avenue B… selon le panneau de rue. La jeune femme peux alors reprendre une position plus digne sur ordre de Sadorge.
— Vous resterez nue avec vos chaussures ; nous allons vous bander les yeux et vous ôter votre bâillon. Mais vos bras seront fortement ligotés au niveau des poignets et des coudes. Armand se chargera de l’affaire. Vous avez pu apprécier sa dextérité en matière de liens. Il manie aussi le fouet, sachez le. Geneviève doit descendre nue sur le trottoir de cette avenue heureusement déserte. Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre pour décongestionner son bas-ventre mis à l’épreuve de la cane.
— Montrez votre dos, dit Armand. Appréciant du regard les fesses de Geneviève, il ligote au plus serré les poignets et coudes comme exigé. Il lui passe un bandeau sur les yeux et commente :
— Ce ligotage vous rend incapable de vous échapper, car en plus de vos chaussures , vous ne sauriez assurer votre équilibre. Et puis …
Armand sort du coffre de la voiture un long manche souple apparenté à une badine de dressage d’environ deux mètres de longueur et terminée par une courte lanière de cuir. Ceci saura vous ramener à la raison le cas échéant.
Sadorge reprend :
— Sachez que nous exigeons votre obéissance la plus totale à présent. Vous serez la proie consentante de nos désirs et chaque hésitation à nous satisfaire sera l’occasion de vous faire gouter de cette badine. Comme ceci.Et en pleine rue Armand la cingle de son fouet de dressage sur le travers des seins déjà tant sollicités. La douleur est si vive qu’elle en a le souffle coupé et se plie en deux. - Est-ce bien compris, chère amie ?
Geneviève fait oui de la tête, des larmes dans les yeux. Elle se sent poussée vers l’avant et entend le bruit d’une grille que l’on ouvre. Elle s’entend marcher sur un chemin de terre et de gravillons. Francis est ému par la beauté altière de cette femme entièrement nue, ligotée et les yeux bandés. L’érotisme de sa démarche féline est accentué par les marques de Sadorge posées sur son corps. Ses seins sont magnifiques, durs, rougis, fiers. LIRE LA SUITE

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