Linda aime la torture
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J’attends impatient ma nouvelle acquisition. Elle se
prénomme Linda. Je l’ai rencontrée lors d’un happening de
domination dans une boutique SM bien connue des
Parisiens. Son air à la fois dubitatif et émoustillé par ce
qu’elle voyait m’avait intéressé. Je l’avais regardée de plus
près, avant de me dire qu’elle ferait sans doute une bien
belle acquisition. Je m’étais approché d’elle et lui avais
glissé dans l’oreille que de tels tourments étaient très
vanille, et que en général c’était juste pour le spectacle.
— Vous avez l’air bien renseigné
— Oui, j’ai l’habitude de passer de longs moments dans un
endroit où ce genre d’exercices ne se fait pas de cette
manière
— Et de quelle manière cela se fait-il ?
— Cela se fait de manière plus dure, plus douloureuse, et
dans une soumission totale.
Nous chuchotions à peine, tant pour ne pas déranger les
gens que pour la discrétion.
— Voulez vous que je vous en dise plus ?
— Pourquoi pensez vous que je puisse être intéressée ?
— Votre façon de regarder ce spectacle.
— Et qu’a-t-elle de particulier ?
— J’y vois une sorte d’amusement pour le côté théâtral, et une
envie de découvrir la réalité
— Et ?
— Et je vous propose d’en discuter plus avant
— Quand ?
— Demain, 12h, American Dream près de la Madeleine.
Je m’étais écarté d’elle et étais parti. Ces spectacles sont
amusants, mais laissent un peu sur sa faim. Je préfèrais
rentrer chez moi, et me couler un bain tranquillement, en
pensant aux tourments que je ferais subir à cette fille.
Le lendemain, elle était arrivée pile à l’heure. Un bon point
pour elle. Par contre sa tenue vestimentaire était une
véritable insulte à la féminité : pantalon, baskets et pull col roulé. Un vrai cauchemar. Je la laissai s’asseoir sans mot
dire, et le serveur arriva pour prendre la commande. Elle lui
donna sa commande. Le serveur se tourna vers moi et je lui
répondis que je ne déjeune pas. Il repartit alors sous l’œil médusé de Linda.
— Vous ne déjeunez pas ?
— Si, j’avais prévu de déjeuner avec une jeune fille, mais
visiblement je me suis trompé, je ne vois à cette table qu’un
homme déçu et une fille qui a honte d’être désirable. Je n’ai
donc rien à faire ici.
Je pris ma veste et me levai.
— S’il vous plaît Monsieur, restez...
— C’est hors de question. Votre tenue est une insulte à votre
féminité.
— S’il vous plaît, excusez-moi. Ne pourrions nous fixer un
autre rendez-vous ?
— Demain même lieu même heure, et cette fois ne me fais
pas déplacer pour rien...
Je quittai le restaurant sans même un regard en arrière. A
elle de comprendre.
Aujourd’hui, je constate qu’elle a compris. Sa robe quoique
sage met parfaitement ses courbes en valeur, les chaussures
sont hautes, la démarche assurée, le port droit, et plus que
tout, l’air soumis. Elle s’assoit, et cette fois nous
commandons tous les deux. Le déjeuner commence. ….
............................
Je récupère Linda, et l’amène vers le vestibule. Je fais
descendre Linda par l’escalier jusqu’à un long corridor. Il y
a une porte tous les 5 mètres, comme des portes de cachot.
Au bout du couloir, trois portes différentes. Nous entrons
par la première. Elle ouvre sur une grande salle éclairée, au
milieu de laquelle trône une croix de Saint André. Sur une
table a côté de cette croix sont disposés des appareils
électriques, et plusieurs outils. Enfin toute une collection
d’instruments de torture sont présents : fouets, chaînes,
godes, électrodes, pinces, aiguilles, fers, paddles, bref tout
ce qui est capable d’arracher des cris à une chair bien
tendre. J’ordonne à Linda de se présenter devant la croix, ce
qu’elle fait immédiatement. Deux chiennes et Doc entrent à
leur tour dans la pièce.
— Maintenant que tout le monde est là, nous pouvons
commencer.
Aussitôt les deux chiennes s’affairent autour de Linda, la
placent sur la croix et immobilisent ses poignets et ses
chevilles à l’aide de sangles de cuir. Elles lui placent alors
un bandeau sur les yeux, et des pinces sur les tétons, en les roulant bien pour qu’ils prennent du volume. De la même
façon, elles commencent à jouer avec son clitoris qu’elles
font saillir un peu plus, et finissent par poser dessus une
pince dentée qui arrache à Linda un cri de douleur, tandis
qu’elle essaye de se débattre. Pendant ce temps, Doc a fixé
des patchs sur sa poitrine qu’il relie à un appareil de
contrôle. Puis une des chiennes enduit un long et large gode
de métal, et le présente devant la vulve de Linda. Celle-ci
semble résister, et je fais signe à la chienne que je n’en ai
cure. Elle pousse alors violemment d’un coup sec, et tout le
gode pénètre le sexe de Linda, accompagné d’un hurlement
des plus gratifiants.
— Ma chère Linda, j’ai oublié de te dire une chose. Ici, j’ai
l’habitude de dire que ça peut toujours être pire. En effet, si
je te demande de te couper un bras, et que tu ne le fais pas
immédiatement, alors je te couperai le premier, mais aussi
le second, et au lieu d’utiliser un outil bien coupant, j’en
choisirai un bien émoussé. Ceci pour t’expliquer que à
chaque fois que tu tenteras de résister à un traitement, la
suite n’en sera que plus désagréable.
La chienne s’est munie d’un second gode lubrifié qu’elle
présente sur l’anus de Linda, qui apparemment a compris et
laisse le long cylindre l’envahir petit à petit, mais
irrémédiablement. Bientôt les 20 centimètres de métal ont
disparu. La chienne retire alors la partie centrale et la
pointe, laissant dans le cul de Linda juste un tube creux, et
apporte alors la ceinture pour les maintenir en place. Elle
arrive alors avec un masque contenant un long tube qu’elle
présente devant la bouche de Linda, et lui fait signe d’ouvrir
la bouche et le prendre le tube, ce qu’elle fait. Lorsque le
tube a bien pénétré dans son œsophage, elle lui applique le
masque qui contient une sort de mors en caoutchouc, et le
serre derrière sa tête.
Doc arrive alors avec un faisceau de câbles qu’il commence
à connecter aux deux godes, à la pince du clitoris, et aux
deux tétons. Puis il branche le faisceau à un appareil qu’il
branche sur le secteur. Il pianote quelques secondes sur un clavier, puis un hurlement strident se fait entendre, tandis que je vois le corps de Linda se cabrer et ruer dans la cage.
Tout son être semble torturé, tant ses spasmes sont violents.
La secousse s’arrête, et son corps se détend un peu, pendant
qu’elle retrouve son souffle.
— Alors Doc ?
— Intéressant ! Elle prend bien. On va pouvoir monter pas
mal.
Ce disant, il pianote de nouveau, et cette fois le cri obtenu
déchire mes tympans et résonne dans la salle.....
Bonne lecture....
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