Envoi et réception d’une soumise 1/2
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Attention, discours (plutôt que récit) d’une soumise que l’on a « dressé » dans un Château et qu’on s’apprête à remettre à son mari et Maître légitime. C’est plutôt une sorte de péroraison qu’un récit, histoire d’utiliser tous les clichés de ce genre de récits.
Rendue à son Maître
Bonjour. A genoux en position d’attente ! … Bien.
Ce soir tu seras rendue à ton Maître. Je dois donc t’expliquer ce qui se passera dorénavant. Etre hors du Château ne signifie pas que tu es libre. Tu ne seras plus jamais libre d’aucun de tes mouvements. Et ton séjour ici doit rester à jamais inscrit comme un chemin de non-retour. Ne pas être sous mon emprise, revenir sous l’autorité de ton propriétaire légal, ne te libère d’aucune de tes obligations acquises ici. N’oublie jamais que ta condition de femme soumise et d’esclave sexuelle ne te donne aucun droit : tu auras certains privilèges qui te sont toujours autorisés momentanément et que ton Maître peut t’enlever à tout moment. Par exemple te promener un après-midi, faire certaines courses, voir certaines personnes qui te sont chères. Ton Maitre seul t’autorisera à effectuer ces activités comme toutes tes activités, toute ta vie d’ailleurs, et tu auras dorénavant à apprendre à demander une autorisation pour effectuer le moindre de tes faits et gestes, petits ou grand. Tu dois en permanence penser à ta soumission et aux conséquence de ta condition d’esclave sexuelle et à satisfaire aux moindres volontés de ton Maître. Tu dois te considérer comme ce que tu es devenue : une propriété de ton Maître.
J’espère que tu nous fera honneur en montrant que cette leçon, la première de toute, est entièrement acquise, dans tes gestes, ton apparence et toutes tes pensées. Quand ton Maître t’autorise à effectuer des actes, quels qu’ils soient, ce sont des privilèges gagnés uniquement par ton obéissance et non grâce à un quelconque accomplissement. Tu ne gagneras jamais aucun privilège en le demandant ou même en offrant tes services ou en quémandant notre pitié. C’est ton obéissance et notre jugement seul qui doivent te guider : c’est le goût de ton Maître qui doit devenir le tien, les désirs de ton Maître doivent être non seulement des ordres mais des règles impératives.
Ici, tu as compris comme est durement puni tout manquement à cette unique et suprême règle qui est la clé de voûte de toute ton éducation et de tout le dressage sexuel que tu as subis. Obéir instantanément et sans jamais émettre de réserves. Subir et ne jamais en tirer offense. C’est d’ailleurs pour cela que cette maxime a été tatouée sur ton pubis : « Obéir sans réserve. Subir sans offense ». La prochaine fois que je te retiendrai au Château j’en profiterais pour enrichir ce premier tatouage par une marque plus profonde dans ta chair, impossible à éliminer. Nous verrons cela plus tard après en avoir décidé avec ton Maître. Ne sois pas effrayée tu auras à y consentir seulement après avoir été préparée suffisamment.
Mais ce n’est pas la peur de la punition qui doit te guider. Ton éducation a été minutieuse ici et c’est une des raisons qui doivent te permettre de mieux être offerte et de mieux te donner. Tu as appris à satisfaire plusieurs désirs sexuels ; tu as appris à te comporter humblement ; à offrir ton corps ; à le mettre en valeur ; à te résigner et à subir un traitement que tu aurais pu juger injuste ou inacceptable. Tu dois tirer profit de cette éducation, suivre les leçons de conduite, respecter les programmes quotidiens qui t’ont été enseignés et que tu dois suivre à la lettre, parfaire tous les gestes qui font de toi une magnifique femelle de compagnie.
Lève-toi et montre-moi ton corps. Bien. J’ai beaucoup apprécié de savoir que tu as respecté cette dernière semaine la règle d’interdiction de parole que je t’ai imposé. Tu as suivi cette règle sans manquement et tu peux en être récompensée. Approche toi du tabouret et assied-toi en position d’offre … Bien. … Oui c’est bien, … Tu as joliment cicatrisé à ce que je vois, tes anneaux sont superbes, c’est là un excellent choix qu’a eu ton Maître de t’anneler lourdement… et je vois que tu es humide ici… excellent… voilà ! … tes lèvres sont gonflées de désir… oui… oui c’est excellent… profite pleinement de la caresse… frotte-toi en soulevant plus haut ton bassin comme on te l’as enseigné… c’est ben, tu es une salope bien dressée… encore un peu... parfait ! Maintenant, lèche mes doigts, … et .. voilà c’est bien tu as compris, je te veux de nouveau à genoux, face à moi.
Comme tu l’as constaté, nous t’avons facilité la tâche en t’inculquant des réflexes, dont je sais que certain te sont encore peu naturels ; cela n’est pas grave, car tu auras à parfaire ton éducation durant les prochains mois dans la vie extérieure et par des séjours que tu feras auprès de nos correspondants. … Oui, tu seras de nouveau amenée ici sans avertissement et certainement avant la fin de l’année. Mais tu feras aussi des voyages intéressants auprès de Maîtres curieux de te connaître et qui t’enseigneront leurs propres manières de profiter de ton corps magnifique et des délices qu’il peut aujourd’hui fournir grâce aux durs traitements que tu as subis ici.
Ce n’est pas la peur de la punition qui doit guider ta vie. C’est la satisfaction à t’offrir à ton Maître et à nous tous qui te connaissons ou qui appartenons au Cercle du Château ; la satisfaction de simplement bien faire jouir le membre que tu dois sucer, la chatte que tu devras lécher ; ou en ouvrant ton cul à celui qui te l’exige de la façon la plus agréable pour lui ; ou jouir quand cela te sera autorisé le plus pleinement possible ; ou encore en subissant ta punition avec fierté.
Quant aux activités quotidiennes autres que celles, nombreuses, qu’exige ton programme d’entrainement et de dressage, outre le fait que tu dois toujours en demander l’autorisation, tu dois les imaginer avant de les effectuer, en pensant toujours à les relier à ta condition de femme soumise. Une promenade doit être un moment où tu exhibes tes atours ; en faisant les courses tu dois penser aux divers objets qui t’entourent et qui peuvent remplir des fonctions sexuelles, même les plus anodins. Progressivement tu dois associer tous tes actes à ta condition sexuelle nouvelle. Et tout ce qui t’entoure doit être prétexte à une provocation sexuelle, une humiliation supplémentaire, puisque tu m’as dis te sentir humiliée lorsque tu es fourrée par des aliments ou des objets oblongs autres que des gods et des sexes. Je trouve d’ailleurs que ta crainte de l’humiliation est un moteur très efficace de ton nouveau comportement. J’espère bien que ta soumission ne t’ôtera pas cette humiliation.
Regarde par exemple ce fauteuil anodin. Vas t’asseoir et maintiens une position d’écoute. Bien… excellent ! Les fesses au bord du siège, les jambes légèrement écartées, le dos bien droit, même un peu plus cambré, les épaules bien en arrière. S’asseoir doit être aussi un moment de fierté. Tu auras acquis la parfaite éducation lorsque seule, sans personne pour t’instruire, tu exécuteras ces gestes infiniment simples selon les règles de maintien. Je compte sur toi pour te voir toujours en position autorisée, assise, à genoux, allongée, debout immobile ou en marchant, accroupie ou autrement, quelle que soit l’occasion, toujours en choisissant la position qui te mets en danger, qui te rend vulnérable. C’est ainsi que tu es belle : en t’offrant, au regard de tous et aux mains de tes Maîtres. Tu dois en tirer une grande fierté.
Ton corps a subi beaucoup d’agressions et de violence, je le sais, mais tu es aujourd’hui transformée en une femelle de grande beauté. Tu vois tes cuisses, tes seins, ton visage, tout en toi respire la beauté ! Tu t’es raffermie grâce aux entrainements quotidiens et tu es devenue un corps magnifique. C’est ta plus grande force et pour que cela en soit toujours ainsi, tu dois toujours respecter ton entrainement, courir, marcher, faire de l’exercice et te nourrir avec mesure en pensant que tu dois entretenir ton corps pour rester non seulement sexuellement désirable mais belle. Tu dois toujours te considérer comme un objet superbe, digne de la plus grande attention, fragile et forte en même temps. Tu dois être un objet de plaisir total.
Lève-toi, maintenant et va vers le coin de la pièce. Balance toi bien en marchant... ferrement, bouge des hanches… sois souple, énergique et souple. Excellent ! Reviens vers moi… Parfait, à genoux de nouveau ! LIRE LA SUITE
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