Sophie coquine comme pas deux

lundi 9 janvier 2006
par  @lex Boomard
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Sophie est une jolie brune que j’ai rencontrée au marché aux puces du dimanche matin, son regard envoûtant m’a tout de suite hypnotisé et je n’ai pas pu m’empêcher de l’accoster. Nous avons sympathisé assez rapidement et avons passé l’après-midi ensemble. Quand elle m’a laissé, elle m’a promis de me rappeler très bientôt.
Ce n’est qu’une dizaine de jours plus tard qu’elle m’a donné rendez-vous afin de passer la soirée ensemble. Après nous être rendus au resto et en discothèque, nous sommes rentrés chez moi. Nous étions légèrement ivres et elle me demanda si elle pouvait passer la nuit dans mon humble demeure, elle ne se sentait pas de conduire dans cet état, mais à la seule condition que je ne tente rien cette nuit.
Je lui dis :
— Bien sûr, c’est avec plaisir que je t’offre l’hospitalité, le seul problème c’est que je n’ai qu’un seul lit, et que mon studio n’est pas très grand. 
— je te fais confiance, puisque tu m’as promis.
— OK, et pour te prouver mes bonnes intentions, j’installe cette couverture sur le sol et je vais dormir au pied du lit
Nous nous installons chacun de notre côté, elle ne garde que son tee-shirt et son string pour dormir, qu’elle est belle, elle lâche ses longs cheveux ce qui ne fait qu’accentuer son charme. J’éteins la lumière et attends que la vague de sommeil m’emporte. Très vite il me semble que Sophie s’endort et pour ma part, je regrette déjà de m’être installé au pied du lit. J’aurai éprouvé beaucoup de plaisir à sentir son corps très près de moi. Enfin, une promesse est une promesse et qui s’ait attendre, en tire toujours une plus grande récompense.
Au bout d’une trentaine de minutes, je trouve enfin le sommeil, et ce n’est qu’au petit matin que suis réveillé par quelques bruits étranges.
Le jour s’est levé et une lumière blanchâtre envahit le petit appartement que je possède, je ne sais pas si mon hôte dort encore, en tous cas les bruits viennent bien d’elle. C’est comme un léger son de frottement, accompagné de quelques gémissements très discrets. Mon imagination galopante m’emmène très vite à penser à une gâterie solitaire que s’offrirait, à quelques centimètres de moi, la très belle et ravissante Sophie.
En moins de deux, mon sang atteint la température idéalement propice à une très forte érection, les vibrations sur le lit semblent s’emballer de plus belle, et les bruits venant de ma voisine de lit se font beaucoup plus bruyant. Il faut que j’en aie le cœur net, que j’ose lever la tête discrètement sans risquer de déranger un moment si personnel que celui-ci.
C’est tout discrètement que ma tête s’élève afin d’essayer d’y voir plus clair, mon érection est au plus haut, des bouffées de chaleur m’envahissent de la tête au pied, je remonte de plus en plus jusqu’à enfin apercevoir la belle et magnifique créature qui provoque chez moi tant de désir et d’émotion. Je vois son visage, les pommettes légèrement rouges, elle a les yeux fermés, ses lèvres ont tendance à se plisser, elle semble même se les mordiller. Sous le drap, il y a comme un mouvement très régulier et très rapide au niveau de son bas ventre. C’est pour moi le plus beau réveil que je n’aurais pu espérer, mais la vue et le besoin de satisfaire amplement ma curiosité ne veulent pas se contenter des évènements. Toujours plus, il me faut toujours plus, c’est quelquefois un défaut, mais je suis comme ça !!!
Je suis quasiment certain qu’elle dort, tiraillée et emportée par quelques rêveries érotiques.
Je me relève un peu plus et j’ose m’approcher de son visage. Je sens sa respiration, son souffle saccadé, la chaleur que son corps dégage m’enivre, et tel un cobra hypnotisé par le mouvement de la flûte de son charmeur, je guette cette belle et innocente proie qui mène cette danse érotique. Je n’en peu plus de me contenir, j’approche ma main, la survole, effleure son visage, ses seins, je saisis le drap très méticuleusement, le soulève très minutieusement. Je m’apprête à dévoiler ce corps qui créé autant de trouble en moi, mais une sensation de non-respect de son intimité m’envahit, ai-ce bien ou mal, de quel droit puis-je me permettre un geste pareil… Mais le désir est plus fort que moi et c’est avec délicatesse que j’abaisse à ces pieds ce rempart de tissu. Hummm, son tee-shirt est remonté et laisse apparaître une ferme et très belle poitrine, mes yeux continuent de découvrir ce corps et j’ai enfin une vue sur sa main plongée entre ses jambes. Elle porte toujours son string, sa main est glissée à l’intérieur de ce bout de tissu qui tant bien que mal s’efforce de cacher son sexe. J’en suis tout retourné, tout émoustillé, j’abaisse mon slip afin de libérer mon membre bandé qui se trouve très à l’étroit. J’aime la voir ainsi, quel bonheur et quel plaisir ! Toujours la main entre ses jambes, un doigt caresse énergiquement son clitoris, son autre main fait des vas et viens de ses seins à ses cuisses. Je suis tout excité, j’aurai juste besoin d’effleurer mon sexe pour que la sève séminale en jaillisse, elle gémit de plus en plus fort, les expressions de son visage se font de plus belles, le mouvement de ses mains s’accélère, elle se pénètre très fougueusement, un, puis deux doigts s’introduisent en son entre pendant que de son autre main continue de s’acharner sur son petit bouton d’or.

Que j’aimerais la prendre contre moi, lui lécher le sexe, l’avaler tout entière, mais je ne prends pas le risque de tout gâcher, et puis une promesse est une promesse.
Pour l’instant, ma position de voyeur me satisfait amplement, j’ai descendu mon visage au niveau de ses hanches, je suis à quelques centimètres de sa chatte, son sexe est inondé de cyprine, l’odeur qui encense mon petit studio agit sur mon désir et il ne me reste que très peu de temps avant que mon sperme finisse par quitter sa demeure. Le spectacle est à son paroxysme et le final se fait sentir.
Ses gémissements, sa respiration sont très rapide, ses pénétrations se font encore plus brutales, les bruits de clapotis prennent plus d’ampleur elle s’excite et m’excite de plus en plus quand dans un râle et un cri de plaisir elle se contracte tout entière, serrant ses jambes, emprisonnant ses mains, et dans un souffle continu elle expulse tout l’air emmagasiné dans ses poumons. À la vue de ce show, des giclés de sperme éclabousse le lit, et tant bien que mal je m’efforce de ne pas en mettre partout en repassant mon slip sur mon sexe, mais même au travers du tissu mon liquide continu de s’échapper. C’est la première fois que je n’ai pas eu besoin de masturber mon sexe pour qu’il éjacule une aussi grande quantité de sperme.
Quant à elle, elle reste inerte, comme si elle avait épuisé toutes ses forces, j’en profite pour me lever, je la recouvre de son drap et me dirige vers la salle de bain afin de faire ma toilette.
À mon retour dans la chambre, une odeur d’orgasme enveloppe l’air de cette pièce close. Elle dort toujours profondément, il est 8 h 30 du matin, je reprends ma place aux pieds de son lit, m’endort très vite et très profondément, heureux d’avoir partagé les rêves et le sommeil de mon hôte.


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Commentaires

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mardi 10 mai 2022 à 09h12 - par  Henic

Voilà une histoire aussi érotique qu’elle est brève.

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