Olenka 10
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Dans la voiture, Olenka me raconte en détail ses expériences de l’après-midi. Elle semble ravie. Elle m’a montré fièrement le chèque de cinq cents dollars, son premier salaire pour ce nouveau travail. Les détails qu’elle me révèle me font bander. Quand elle m’expose l’épisode de l’écarteur et m’annonce les dimensions, j’ai du mal à me maîtriser.
– Je me sens encore tout ouverte, continue-t-elle. Betty m’a expliqué que mon anus ne retrouverait pas son diamètre initial avant ce soir… Mais où tu vas ?
Je viens de prendre le premier chemin de terre sur la droite. J’ai trop envie de la baiser, de tester à mon tour la largeur de cet anus que j’imagine béant. Je progresse jusqu’à l’orée d’un bosquet et j’arrête le 4x4. Je dis à Olenka :
– Descends ! Et montre-moi ton cul !
Elle ne répond pas, mais me donne un baiser sur le nez et se précipite hors de la voiture. Je m’apprête à la suivre quand elle me dit :
– Non, attends ! Donne-moi une minute d’avance !
– Bon d’accord ! Une minute mais pas plus ! C’est pas moi le maso !
Je relève le poignet et observe ma montre. Je ne patienterai pas plus des soixante secondes demandées.
Top ! Une minute ! La partie de cache-cache peut commencer. Je fonce dans le bois. Pas besoin d’aller très loin. Je découvre d’abord les chaussures, puis la jupe. Olenka a semé ses vêtements comme le Petit Poucet. Elle a vraiment peur que je ne la trouve pas. Je suis les indices et quand j’aperçois la petite culotte accrochée à un rameau, je me sens près du but. J’écarte la branche devant moi et je découvre l’étonnant spectacle.
Le gros cul majestueux s’offre à moi. Il est zébré de traces rouges, séquelle évidente de séances de fouet dont Betty a le secret. Olenka est dans la position soumise qu’elle adore, agenouillée, buste et visage contre le sol, postérieur relevé et jambes largement écartées. M’entendant arriver, elle a posé les mains sur ses fesses qu’elle ouvre à l’extrême. Comble du raffinement, elle manœuvre ses sphincters et je vois le contour anal s’animer de mouvements réguliers.
Betty n’a pas menti. L’anus a gardé le souvenir de l’écarteur, il se présente comme un trou béant. Je n’ai ni le moyen, ni l’envie de mesurer son diamètre. Je veux le pénétrer et l’envahir de mon sexe gonflé. J’enlève mon pantalon et mon slip en un temps record, et je plante mon dard au plus profond du gouffre anal. Incroyable ! Je n’ai rencontré aucune résistance. Habituellement, malgré la souplesse de la rondelle brune, je dois tout de même forcer un peu pour faire rentrer ma verge dans l’étui culier, mais là, absolument pas. Le passage a été calibré par l’écarteur, et mon dard gonflé s’est engouffré dans le conduit sans rencontrer la moindre résistance. La sensation est étrange, et surtout agréable. J’en arrive presque à regretter par avance un retour à une taille normal de l’anus d’Olenka.
Je la défonce au sens propre du terme. Les coups de boutoir que je donne ne peuvent la laisser insensible. Ça y est, elle crie. De la douleur, certes, mais cela ne l’empêche pas d’accompagner mon mouvement. Elle hurle de plus bel :
– Aaaaaah !
Mais je connais la signification de ces râles. Ils témoignent d’une douleur qui s’accompagne peu à peu de bien-être. Je décide de l’aider. Je me penche un peu plus sur elle, je lâche les hanches que j’agrippais, et en maintenant un équilibre précaire, je luis attrape le bout des seins que tords allègrement. Je n’ai pas ralenti la défonce anale, si bien que le résultat ne tarde pas. Un nouveau cri plus long et plus intense que les précédents m’annonce l’orgasme de ma compagne. Je peux donc me laisser aller à mon tour. Je n’aurais pas été capable de tenir une seconde de plus. Je crache mon sperme au fond du rectum, et me laisse tomber.
Nous nous retrouvons à plat ventre, elle sur les feuilles mortes, et moi sur son dos et ses grosses fesses. Je sens mon sexe se rétracter et ressortir instantanément de l’anus. Les muscles de ma compagne sont trop dilatés pour le retenir. Nous restons quelques instants ainsi immobiles. C’est bon !
Les semaines ont passé. Olenka se rend régulièrement chez les Fisher au gré de leurs appels en fonction des nouveaux matériels à tester. Elle apprécie beaucoup ce nouveau travail, et plus particulièrement Betty à qui elle voue une admiration sans limite. Je commençais à me sentir frustré quand un jour Betty m’appelle pour me proposer un étrange rendez-vous.
Je dois la retrouver dans une auberge dont elle m’a donné l’adresse. Elle me demande de ne pas parler de cette rencontre à son mari, et je dois me rendre seul à ce rendez-vous. En conséquence, je m’abstiens d’en parler à Olenka.
Le lendemain, Betty et moi sommes attablés autour d’une tasse de café et d’un bol de thé. Je lui trouve des airs de Samantha avec sa veste de cuir noir. Malgré la mise à l’écart dont John semble faire l’objet, je demande tout de même de ses nouvelles.
– Il va bien, me répond Betty. Il est parti en voyage d’affaires ce matin, et ne rentrera que mardi.
Toutes sortes d’idées me traversent la tête. Betty serait-elle en train de me draguer, profitant de l’absence de son mari ? Je n’ose le croire.
– Je voulais vous parler du travail d’Olenka, poursuit-elle.
Ainsi, elle m’a fait venir jusqu’ici pour me parler du job insolite de ma compagne. Incompréhensible ! Je demande :
– Il y a un problème ?
– Pas du tout ! Au contraire, Olenka est parfaite. Avec elle, Coralie et Géraldine, je réunis une équipe de choc qui donne entière satisfaction. Chacune a des motivations différentes et des prédispositions particulières, mais seul le résultat compte. Coralie fait ce travail exclusivement pour l’argent, votre femme, elle, y trouve un certain plaisir, quant à ma grosse truie de Géraldine, je dirai qu’elle fait ça par habitude. À propos, comment la trouvez-vous, ma Géraldine ? Je ne vous ai pas revu depuis que vous avez assisté à ses exploits.
– Et bien… euh, dis-je sans trop savoir quoi répondre !
– Ne faites pas le timide, reprend Betty. Je vous ai observé l’autre jour. Je suis sûre que cette grosse truie vous a fait bander ! Il n’y a pas de honte à apprécier son volume et ses déformations. Moi-même, j’ai quelque fierté à l’avoir ainsi transformée. Ceux qu’elle laisse indifférents ne savent pas ce qu’ils manquent, car en plus Géraldine est d’une soumission et d’une obéissance absolue.
– Je vous rassure, Betty, je ne fais pas mon timide. Mais vous avez raison, j’ai été beaucoup excité par Géraldine, certainement autant que vous par Olenka !
Pas fâché de reprendre l’initiative. Après tout, si Betty a constaté mon attrait bestial pour Géraldine, il ne m’est pas interdit de lui faire remarquer que sa fascination pour Olenka est tout aussi visible. D’ailleurs, je l’ai déstabilisée. Elle cherche ses mots, puis se reprend :
– D’accord, Alex, vous aussi vous avez vu juste. C’est pour cela que j’ai organisé ce rendez-vous. Je vais jouer cartes sur tables : Je profite de l’absence de John pour vous demander de me prêter Olenka pour le week-end !
Je suis soufflé. Je ne m’attendais pas à ça. Je repense aux airs de Samantha. Je m’interroge : Betty serait-elle lesbienne, elle aussi ? Où veut-elle simplement assouvir des fantasmes ? Que peut en penser Olenka ? Question idiote car je suis sûr qu’elle serait partante. Alors c’est moi, le dindon de la farce. Abstinence pendant que ces deux-là vont s’éclater ? Pas question ! Je me prépare à refuser, mais Betty a tout prévu.
– Je vous propose Géraldine en échange !
Cette proposition arrête immédiatement dans ma gorge les paroles de refus que je m’apprêtais à prononcer. Betty m’offre un large sourire que je lui rends. Inutile de discuter, nous sommes tombés tacitement d’accord.
La conversation reprend dans une atmosphère très détendue.
– Je suis sûre qu’Olenka appréciera ce week-end, déclare Betty.
– Je n’en doute pas, elle adore que vous la fassiez souffrir. Alors deux jours à la suite, elle ne sera pas déçue.
– Moi non plus, ajoute Betty avec un petit sourire sadique.
À mon tour de l’interroger sur sa monnaie d’échange :
– Et Géraldine ? Vous pensez qu’elle sera d’accord, qu’elle appréciera ? Car je tiens à vous dire qu’elle ne va pas s’amuser !
– Aucun problème ! répond Betty blasée. Il y a bien longtemps qu’on ne lui demande plus son avis, et je vous l’ai dit, elle est d’une obéissance à toute épreuve. À la différence d’Olenka, elle n’appréciera pas du tout les mauvais traitements que, j’imagine, vous lui ferez subir, mais elle ne se révoltera pas, je vous le garantis. Encore un mot : je vous propose de choisir sur mon catalogue tous les objets que vous souhaitez expérimenter avec elle, c’est mon cadeau.
Alors là, je suis ravi, et déjà impatient de commencer le week-end. LIRE LA SUITE
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