Première(s) expérience(s) -6-
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Je me réveillais dans les bras de Paul ce dimanche-là… j’étais bien, repue, reposée, heureuse. Une évidence me sauta aux yeux : j’étais amoureuse. Il s’éveilla aussi et après un petit-déjeuner sur la terrasse, il me quitta.
– Je serai très occupé la semaine prochaine, je t’appellerai dès que je peux. Bonne semaine, à bientôt
Je l’embrassais et il fila à sa voiture. Toute la journée, j’ai rêvé, de nous de notre futur. Je m’imaginais finir mes jours avec lui.
Toute la semaine se passa ainsi, entre rêve et réalité, mais sans nouvelles de Paul. Invisible sur le chat, il ne répondait pas à mes emails, je tombais toujours sur son répondeur. J’étais inquiète et surtout j’avais peur qu’il ne veuille plus de moi. Le samedi soir n’y tenant plus je décidais d’aller chez lui. Quelle idée saugrenue ! J’allais apprendre très vite et assez durement qu’une soumise attend le bon vouloir de son Maître et que ce n’est pas elle qui décide des rencontres.
Je garai ma voiture dans la rue et je pénétrai chez Paul par la petite porte. Il y avait cinq voitures dans la cour y compris la sienne. À peine arrivée sur le perron, la porte s’ouvrit. Paul était devant moi, l’air furieux.
– Qu’est-ce que tu fais là ?
– Je n’avais pas de nouvelles, alors je voulais juste te voir.
– Parce que tu crois que je n’ai que ça à faire, m’occuper de l’éducation d’une petite salope dans ton genre ?
Mes rêves éclatèrent en mille morceaux. J’allais tourner les talons et m’enfuir. Il me retint par le bras.
– Maintenant que tu es là, on va en profiter pour t’inculquer quelques notions d’obéissance, Maître Karl que tu connais déjà est avec nous, je suis sûr qu’il prendra beaucoup de plaisir à te dresser. Déshabille-toi.
Je ne savais plus où j’en étais, je ne voulais pas partir et en même temps je me rendais compte que si je restais, j’allais passer un mauvais, très mauvais moment. Toujours sur le perron, j’enlevais mes vêtements, et Monsieur les prit. Il emporta aussi mon sac à main et mes clés de voiture. Puis il rentra dans la maison et ferma la porte. J’étais maintenant à poil sur le perron de sa villa, sans mes affaires. Des larmes coulaient de mes yeux, quand la porte s’ouvrit à nouveau sur Maître Karl. Il avait de gros bracelets de cuir dans les mains. Sans un mot, il me les crocha aux poignets et aux chevilles. Il compléta la panoplie par un collier très large qui comportait plusieurs boucles. Il crocha une laisse à ce collier et m’attira dans la maison, il me fit pénétrer dans le salon. J’étais écarlate. Il y avait une dizaine de personnes, toutes habillées, elles. Monsieur s’approcha et prit la laisse. Il me fit mettre à quatre pattes et je dus faire le tour du salon ainsi.
– Je vous présente ma nouvelle chienne. Elle n’est pas encore très obéissante et ne sait pas que la curiosité est un vilain défaut. Mais nous allons y remédier et je suis certain qu’elle va apprendre, très vite.
Je n’en pouvais plus, j’aurais voulu être cent pieds sous terre. Monsieur attacha ma laisse à la poignée de la fenêtre. Il me fit mettre à genoux et crocha mes menottes dans mon dos. LIRE LA SUITE
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