Où Maîtresse me prostitue

dimanche 9 mai 2004
par  Axel
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Satisfaite, votre plaisir assouvi, vous me repoussez méchamment du pied, comme un jouet qu’on ne veut plus, pour gagner les caisses. Inquiet, je vous regarde vous éloigner, les yeux fixés sur vos longues jambes gainées de cuir noir, que les pans de long manteau découvrent à chacun de vos pas martelés sur le sol.
Vous m’abandonnez là, au milieu de l’allée, à ramasser le reste des légumes secs qui jonchent le sol. Le vieux type est toujours là, absorbé par le spectacle que j’offre, à quatre pattes, fesse à l’air. Nous sommes seuls, tous les deux. À sa façon de me mater et à l’agitation de plus en plus fébrile de son poignet sous son imperméable, je devine tout de suite qu’il est branché sur les petites salopes comme moi. Je sens son regard insistant sur ma croupe. Je l’excite à mort, ça se voit. Le cœur battant, je me cambre un peu, réveillant l’atroce douleur du pal planté dans mon cul. Je profite pour mieux le dévisager. Il me fait réellement penser à un de ces vieux pervers avides de chair fraîche, et dont j’ai tant de fois croisé le chemin. La soixantaine largement dépassée, il ressemble tout à fait à un de ces vieux bourges, affichant une image propre et nette dans la vie de tous les jours et vrais pervers dès qu’il a une petite victime comme moi entre les mains. Je garde ma position en levrette le temps de ramasser les derniers pois. Si nous n’étions pas dans ce magasin, il me prendrait, j’en suis sûr. J’en meurs d’envie, aussi. Je ne me suis pas fait baiser par un homme, depuis que je suis chez vous, Maîtresse. J’ai envie d’une vraie bite, à la place de ce plug en latex que vous m’imposez. Les légumes ramassés, je me relève et me précipite vous retrouver. Vous m’attendez à une caisse, excédée. Vous me réprimandez sèchement, en prenant la jeune caissière à témoin. Elle ne doit guère être plus âgée que moi. Elle me fixe médusée. Puis très vite, son regard se transforme, et j’y vois poindre le dégoût et le mépris que mon attitude servile devant vous lui inspire. Indifférent, je dépose les achats sur le tapis, à côté d’un goupillon dont on se sert pour nettoyer les biberons de bébé, et que tu es allé chercher en m’attendant. Avec la grosse brosse, j’imagine déjà fort bien la toilette que vous me ferez subir à la maison.
Nous regagnons la voiture, dans laquelle je vous fais monter avant de déposer nos achats dans le coffre. Notre voyeur nous a emboîté le pas, et nous attend déjà, au volant de sa grosse Mercedes. Je prends le volant et sur vos indications nous reprenons la route vers votre domicile. Dans le rétroviseur, je distingue la voiture de notre inconnu nous suivre. Je découvre très vite que le chemin que vous me faites prendre est différent de l’aller. Nous avons quitté les grands axes pour de petites routes étroites à travers la campagne. Notre homme nous suit, roues dans roues maintenant. Un brouillard épais recouvre la région. Vous avez l’air de connaître l’endroit, car, depuis quelques minutes, nous n’avons plus croisé une seule voiture. Je vous jette des regards désespérés. Je suis tout à fait conscient de ce qui m’attend, de ce que votre esprit machiavélique a pu encore inventer pour assouvir vos folies sexuelles avec moi. Indifférente, vous m’indiquez ce petit chemin de terre, à droite, vous engageant dans un bois. La Mercedes nous suit. Je sens mon cœur s’emballer. Nous roulons encore quelques centaines de mètres avant que vous me commandiez de m’arrêter et de couper le moteur. Vous descendez, en m’intimant de me mettre à poil, de ne conserver que mes bottes et mon top, et de m’enlever ce plug de mon cul. J’ai compris ce qui m’attend, en vous regardant disparaître dans le brouillard, en direction de sa voiture. J’ai juste le temps d’ôter le peu de fringues que j’ai sur moi et d’arracher le gode de mes fesses, que vous réapparaissez, déjà, tous les deux, en grande discussion, comme si vous vous connaissiez de longue date. Arrivés à ma hauteur, vous me faites sortir, en me tirant brutalement par le poignet.
Dehors, un froid humide glacial me paralyse sur place. Vous me saisissez fermement par le bras pour me montrer à l’inconnu. LIRE LA SUITE




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