Petit scénario particulier
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Cela faisait déjà quelque temps que je communiquais par mail avec cette jeune épouse délaissée par son mari et qui s’était laissé aller à un flirt lors d’une soirée où se trouvaient plus de cent personnes, restées discrètes et chastes.
Je lui avais bien expliqué que dans une relation charnelle, il me fallait un jeu de domination pour que je puisse y prendre du plaisir. Si elle voulait bien être ma soumise d’un soir, des règles seraient établies. Nous nous retrouverions dans une chambre d’hôtel qu’elle réserverait elle-même. Si cela ne lui convenait pas, elle pouvait interrompre nos échanges de courrier.
Une semaine plus tard, je recevais un mail. J’y ai répondu et nous avons discuté comme cela pendant encore deux longues semaines. Nos petites règles bien établies, elle me communiqua l’adresse du lieu. Il s’agissait d’un petit appartement mis en location pour des étudiants. Bien immobilier appartenant à ses parents et vide en ce mois d’août.
Le jour convenu, je me rendis en ces lieux que j’avais repérés auparavant. Le cœur battant, je sonnais au numéro indiqué. Sa douce voix me répondit un simple « oui » et moi m’annonçant « c’est monsieur C ». La porte s’ouvrit accompagnée de ce petit bruit de moteur « drrrrrr » et je grimpai les quelques marches pour me retrouver face à la porte où était accroché un papier sur lequel était inscrit : Bonjour Monsieur C.
Je tournai lentement la poignée et poussai, tout aussi lentement la porte, pour découvrir une pièce illuminée par plusieurs bougies, les volets des fenêtres étaient descendus, le mobilier était pauvre, deux chaises, une table, un lit d’une personne, fait, plusieurs étagères fixées aux murs et un bureau de bois lourd qui avait sûrement plus que vécu. A oui ! il y avait une chaise de bureau en tissu qui semblait en bon état. Et bien sûr, elle, une jeune femme de 27 ans de taille moyenne et de corpulence plus que raisonnable. Une belle poitrine et de longs cheveux noirs qui lui tombait dans le dos, mis à part quelques mèches négligemment sur le devant. Elle était debout, en sous-vêtements des plus sexy, comme je lui avais demandé. Très peu de bijoux et de petites sandalettes à talons enveloppées ses pieds.
J’ôtai mon long manteau noir qui commençait à me faire transpirer. Le temps était des plus doux, j’avais mis ce manteau juste pour le style. Autrement je n’étais vêtu que de vêtements des plus classiques, un pantalon noir de toile légère et un tee-shirt noir. Je posai le manteau sur le bureau en m’assurant qu’il était propre. Elle me dit de ne pas m’inquiéter qu’elle avait nettoyé les lieux. Et je m’installai sur le fauteuil du bureau et en testai un peu sa solidité. Je suis rassuré, je me positionne de manière plus confortable et regarde cette belle jeune fille, pas beaucoup plus jeune que moi du reste. Je lui demande de se tourner, de marcher, de revenir vers moi. D’encore se retourner le regard en direction des fenêtres. Je me lève, m’approche d’elle, je suis, le visage tout contre son cou, de côté, et je respire, je hume son parfum naturel, mis à part un savon de bain, elle n’a rien modifié à son odeur naturelle, comme convenu. J’aime ces senteurs du corps, plus tard, je pourrai goûter une odeur encore plus intime.
« C’est bien, lui dis-je. Tu as respecté ce que je t’ai demandé. Approche-toi et viens sur mes genoux. »
Entre-temps, je me suis rassis sur cette chaise. Elle obtempère et je l’embrasse goulûment, j’enlève le soutien-gorge et le jette négligemment par terre. J’embrasse sa belle poitrine, mords ses tétons qui durcissent encore un peu plus qu’ils ne l’étaient. Je sens mon sexe gonflé, entravé dans mon string. Je pense qu’il va sortir de ce petit bout de tissu. Je l’embrasse de nouveau avec passion et lui rappelle notre petit scénario convenu. Je prends la cravache qui était dissimulée dans mon manteau, relève la fille et lui assène un coup sur chaque fesse de part et d’autre du tanga qu’elle porte avec élégance. Je me lève à mon tour et l’embrasse de nouveau. Je lui tends la cravache et dis d’un ton clair :
« voilà, c’est toi la dominante, tu seras ma maîtresse pour l’heure qui vient ou pour le temps que je jugerai. » LIRE LA SUITE
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