2 - Une vie d’armée
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Après que Julie eut signé le contrat, elle ramena le contrat au bureau du lieutenant, son nouveau Maître. Celui-ci voulu immédiatement vérifier sa docilité. Il lui ordonna de se mettre nue ; ce qu’elle fit après un soupçon d’hésitation. Elle avait bien sûr l’habitude d’obéir, mais jamais à ce type d’ordres !
— Bon, comme tu n’as sûrement pas été baisée du cul depuis un certain temps, je me sens dans l’obligation de te dérouiller un peu, lança le lieutenant ironiquement.
Il la prit sauvagement en l’appuyant sur le bureau. Julie avait eu mal par tant de vigueur après ce long moment sans pénétration anale. Elle avait eu l’impression de se faire littéralement déchirer. Au moment où le lieutenant se rhabillait, elle l’entendit dire :
— Je n’ai plus de temps à perdre avec toi. Rhabille-toi de façon présentable. Avant, de partir, tu as pris connaissance du contrat et tu as bien constaté que j’exigeais un signe distinctif, n’est-ce pas ?
— Oui Maître
— Bien, alors je te ferai percer les seins dans quelques jours. Tu porteras des anneaux suffisamment larges pour qu’on puisse les deviner sous ta chemise.
— …
— Je considère ce silence comme une acceptation tacite. De toute façon, tu n’as plus vraiment le choix. Sors d’ici maintenant.
Julie sortit sur le coup. Lorsque le jour vint, le lieutenant l’amena chez le médecin qui allait procéder au perçage. Voyant Julie pâlir, le médecin lui dit :
— Ne t’en fais pas Julie, tu ne sentiras rien avec l’anesthésiant.
— Pas d’anesthésiant pour elle, répliqua le lieutenant.
— Comme vous voulez ! Le perçage, bien que douloureux, se déroula positivement. Les jours suivants, Julie eut droit à des soins et rien de bien difficile ne lui arriva. Elle trouva même qu’on la chouchouta un peu trop jusqu’au moment où la vraie vie allait prendre cours pour elle :
— Julie, tes seins ont bien guéri. Il me semble que c’est le moment de tester leur résistance.
Sur ces mots, le lieutenant enleva le haut de Julie et accrocha des poids très lourds aux anneaux de ses seins. Son visage se crispa. Elle pleurait presque de douleur.
— Tu vas les garder et remettre ton haut. Tu vas aller voir le soldat Davidson et lui dire que tu lui appartiens pour la nuit. Il peut faire ce qu’il veut de toi pour cette nuit. Je lui ai préparé une lettre que j’ai signée pour qu’il sache que c’est bien vrai. J’y ai aussi ajouté les règles de conduite qu’il devra respecter. Ce ne fût pas bien long à faire puisqu’il ne doit juste pas te blesser gravement ou te tuer. Pour le reste, il a feu vert tant qu’il ne te prête pas à d’autres. Bonne soirée. LIRE LA SUITE
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