La chienne
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Elle le suivait docilement de près lorsqu’il lui avait demandé d’être forte. Il l’avait emmenée dans leur cave. Elle connaissait l’endroit qui n’était que peu éclairé. Il n’y avait rien à l’intérieur sauf une misérable porte donnant sur leur donjon, quelques vagues choses qui n’attirèrent pas l’attention de Katy, et une porte qui s’ouvre vers l’extérieur. En traversant le donjon, pour aller dans cette cave, elle eut plusieurs frissons. L’oubliette, comme elle se plaisait à l’appeler, était froide et humide.
— Je pars pour environ 24 heures, je veux que tu restes ici, lui dit Michel. Tu ne seras pas attachée, menottée ni liée de quelques façons que ce soient. Les portes ne sont pas barrées et tu peux sortir s’il y a un problème. Cependant, je ne te rendrai pas les choses si simples. J’ai installé une caméra au plafond qui possède un œil magique. Elle détecte les mouvements et les suit. Tu seras donc filmée pendant ces 24 heures, et je pourrai constater les moindres de tes gestes.
Katy ne répliqua pas. Elle n’aurait pas voulu désobéir à son Maître de toute façon. Michel partit pour revenir quelques instants plus tard avec deux gamelles de nourriture séchée et une gamelle vide. Il avait pris soin de lui amener quatre grosses bouteilles d’eau.
— Je veux que tu les boives les quatre avant mon retour, lui expliqua Michel. Tu devras les verser dans ta gamelle et laper comme une chienne, je ne veux pas te voir boire directement de la bouteille !
— Je le ferai Maître
— Bien, alors je te laisse ici, tu pourras réfléchir, tourner en rond, bref avoir beaucoup de plaisir, lui dit-il sarcastiquement. As-tu des questions ou commentaires avant que je parte ?
— …
— Bon, comme tu ne me réponds pas, je considère que tout est clair, comment te sens-tu présentement ? Et je veux une réponse, lui dit-il fermement avant qu’elle ne pense à se dérober une fois de plus.
— Je me sens comme une chienne qu’on abandonne, un animal qu’on quitte, Maître.
— C’est exactement ce que je veux ! Maintenant qu’on en parle, pour tes petits besoins, il y a une feuille de journal dans un coin, alors tu sais quoi faire. Fais gaffe à ne pas faire à côté ! Ai-je besoin de te rappeler certaines règles ? Une chienne ne s’essuie pas et marche à quatre pattes en permanence. Je veux que les moindres de tes gestes soient ceux d’une chienne. La seule exception sera de prendre tes mains pour verser l’eau dans la gamelle.
Katy tressaillit. Elle aimait cette impression de bestialité, mais en était effrayée.
— Il t’est bien sur interdit de te toucher ou caresser, et ce, pour tous endroits de ton corps confondus. Il y a un petit tabouret recouvert de poil à quelques pieds de toi, alors si tu veux t’y frotter, tu peux le faire. Mais prends garde, n’utilises jamais tes mains. La chienne que tu es va agir comme telle. Le poil pourra te rappeler ta condition, et te donner l’impression de baiser un autre chien.
Sur ces paroles, Michel s’approcha d’elle, et l’embrassa tendrement avant d’aller fouiller son intimité pour y découvrir la lubrification de Katy qui sentait l’excitation monter.
— N’oublies pas la caméra ! Et amuses-toi bien, lui dit Michel avec un sourire moqueur.
Sur ce toucher, il la quitta. Katy se demandait se qu’elle allait faire de ce 24 heures seule, dans une cave, avec pour seul ami le tabouret. Elle était consciente de la caméra et n’en était que plus excitée. Elle bu un peu de l’eau, et se rappelant l’ordre de son Maître de verser l’eau dans la gamelle avant de la boire, elle se sentit frémir. Elle versa l’eau et se mit à laper. Son Maître n’est parti que depuis quelques minutes et elle a déjà désobéi, elle sait qu’il sera déçu et qu’elle devra payer pour cette première erreur.
Katy alla s’étendre sur une couverture qui était soigneusement étendue dans un coin de la pièce. Elle y resta de longues heures. Combien ? Elle ne pourrait pas le dire. Quand elle se réveilla, elle avait très faim, elle mangea donc une gamelle complète. Elle en fut totalement rassasiée sachant que cette nourriture contenait beaucoup de vitamines et tout ce que son corps pouvait avoir de besoin. Elle bu le reste de sa gamelle et en versa une nouvelle qu’elle bu au complet immédiatement.
Elle retourna sur sa couverte et s’y rendormie. Elle fit des rêves étranges ou des animaux la prenaient de tous côtés, ce qui la fit se réveiller de nouveau excitée. Elle résista tant bien que mal à l’envie de se caresser et d’assouvir ses appétits. Elle sentait son clitoris gonflée de désir. Elle regarda le tabouret, et en fut presque attirée, mais ne voulait pas donner cette image d’elle sur la caméra. Elle avait honte de l’idée.
Elle sentait que sa soif d’attendrir cette chaleur entre ses jambes allait gagner et qu’elle se plierait à ce qu’elle se refusait. Katy aimait bien être l’animal de son Maître, mais agir comme tel, alors qu’il n’est même pas là était une toute autre histoire. Elle s’approcha du tabouret et le monta comme un chien monte un femelle. Elle s’y frotta le clitoris doucement mais rapidement. Le désir monta davantage, mais elle n’arrivait pas à l’assouvir totalement. Elle s’arrêta un instant, le temps de reprendre ses esprits. Elle avait chaud et encore beaucoup soif. Elle vida le reste de la bouteille et la bu en entier. Au cours des heures suivantes, son désir ne s’était pas éteint. Elle pensa à la situation et son Maître qui allait regarder la caméra. Elle bu deux autres bouteilles d’eau, il ne lui en restait qu’une avant le retour de Michel. Elle retourna sur la couverture.
Katy repartit dans d’autres rêves érotiques. Elle dormi profondément pendant plusieurs heures. Elle fut réveillée par une envie pressante d’aller aux toilettes. Elle ne voulait pas faire ses besoins dans cette cave. « Ha, si seulement il n’y avait pas cette maudite caméra », pensa Katy. Elle n’était plus capable de se retenir. De toute façon, à quoi bon tenter de le faire, Michel la ferait sûrement se soulager devant lui si elle ne le faisait pas maintenant. Était-ce moins humiliant devant la caméra que devant son Maître ? Elle le croyait, même si le résultat était le même.
Katy se dirigea vers l’unique feuille de papier journal dans la pièce. Elle s’accroupit au-dessus et tenta d’écarter les jambes le plus possible pour ne pas se souiller. Bien sur, ce fut inutile, car l’urine longea ses cuisses et suivi la courbe de ses jambes jusqu’à ses pieds. Le jet d’urine n’en finissait plus. Une fois terminé, elle se demanda comment elle pourrait déféquer. Le journal était souillé au grand complet. Elle se redressa davantage, et à l’aide de ses mains, écarta bien ses fesses. Elle senti sa merde tomber dans le journal. Elle savait que ses fesses en resteraient maculées. Elle s’éloigna du journal. L’odeur envahie la pièce. Elle sentait son arrière train gluant et chaud.
Cette condition l’excita à nouveau. Ses mamelons en étaient gonflés et durs. Katy dû combattre les pulsions qui la poussaient à se toucher. Encore une fois, elle s’endormi sur ces images. Elle se réveilla en sursaut, elle avait l’impression d’avoir été dans cette cave pour des jours. Elle mangea la deuxième gamelle de nourriture et bu l’autre bouteille au complet, en prenant soin de la verser dans la gamelle au préalable.
À peine une heure plus tard, elle avait de nouveau envie. C’est à ce moment qu’elle comprit que la nourriture qu’elle avait mangée la poussait à se soulager, car s’il n’y avait pas de laxatif à l’intérieur, le contenu en fibres était très grand. Elle ne voulait pas s’humilier à ça encore une fois. Katy ne sentait plus l’odeur de ses chiures mais elle savait que renouveler l’expérience allait raviver cet arôme. Elle tenta de se distraire en pensant à autre chose. Elle pu se retenir encore quelques heures. Mais, après un certain temps son ventre était beaucoup trop gonflé, elle dû aller se soulager. Près du journal, qui n’avait pas séché, elle se demanda comment elle se placerait pour ne pas se mettre les pieds dans l’urine. Elle disposa ses pieds de part et d’autre du journal et pissa à nouveau. Une fois encore, elle tacha d’urine ses cuisses et ses jambes. Et de la même façon qu’elle l’avait fait plus tôt, elle laissa aller ses sphincters et se soulagea. Katy avait tellement écarté les jambes qu’en voulant se dégager de cette position inconfortable et humiliante, elle perdit l’équilibre et se mit le pied droit directement dans le tas qu’elle venait de faire. La sensation était désagréable. Comment son Maître réagirait-il ? Il rirait probablement d’elle, ce qui la fit frémir. Katy tenta d’essuyer son pied sur le planché du mieux qu’elle le pu.
Elle tenta d’imaginer comment son Maître la traiterait en entrant. Elle espérait qu’il serait fier d’elle mis à part sa petite erreur du début de ce 24 heures. Elle savait qu’elle serait punie, mais comment ? Toutes ces images l’excitèrent à nouveau. Elle retourna se frotter sur le tabouret. Son urine avait séché le long de ses cuisses, sa merde avait fait de même près de son anus. Cette condition alimenta davantage ses pulsions. Elle se frotta avec ardeur.
À cet instant, elle entendit du bruit dans les escaliers et la porte s’ouvrit alors qu’elle n’avait pas eu le temps de se dégager du tabouret poilu.
— Alors, on a passé une belle journée ?
— Je suis contente que vous soyez là Maître.
— Ha, tu crois ça ? N’as-tu pas fait des erreurs ?
Katy se sentit prise au piège. Elle aurait voulu qu’il la serre dans ses bras. Michel était loin d’être parti pour agir de cette façon.
— Laisses-moi te dire que j’ai tout visionné la cassette, en accéléré bien sûr… mais j’ai tout vu. Tu as fait quelques fautes qu’il faille réparer. Mais je vois que tu as résisté à l’envie de te caresser et je t’en félicite. Pour le reste, bien tu as fait le choix de désobéir, alors tu vivras avec les conséquences.
— Maître, soyez indulgent, j’ai tenté si fort.
— Si fort ? Tu as bu directement de la bouteille à peine quelques minutes après mon départ. Tu t’es accroupie pour pisser, à deux reprises ! Est-ce l’attitude d’une chienne ?
— …
— Comment une chienne fait-elle ses besoins Katy ?
— À quatre pattes, Maître
— Plus fort, je n’ai pas entendu.
— Elle fait ses besoins à quatre pattes, Maître, répéta Katy avec plus d’intonation.
— Bien, et ce n’est pas ce que tu as fait il me semble, par deux fois en plus. Et dans la même mesure, je suis certain qu’une chienne ne peut se tenir les fesses en les écartant. C’est pourtant ce que tu as fait, et deux fois plutôt qu’une. Tu auras droit à cinq punitions différentes. Alors, dis-moi Katy, qu’est-ce qu’une mauvaise chienne dans ton genre mérite comme punitions ?
— Maître, s’il vous plaît, ne soyez pas dur envers moi, implora la jeune soumise
— Que je ne sois pas dur ? Mais c’est tout ce que tu mériterais pourtant ! D’abord, moi j’ai très envie d’uriner. Je me suis conservé pendant ces 24 heures juste pour toi. Tu vas aller t’installer sur le journal et te mettre à genoux.
Katy s’y dirigea à quatre pattes en tentant de s’installer pour éviter d’être dans la merde. Ses contorsions firent rire Michel :
— Ne sois pas si obstinée, tu as mis le pied dedans plus tôt !
Katy baissa le regard. Elle trouva un emplacement qui lui était convenable et s’agenouilla devant son Maître.
— Maintenant, ouvre la bouche, je ne veux pas que tu en perdes une goutte ; ça aggraverait ton cas.
Michel n’avait jamais pissé dans la bouche de Katy. À quelques reprises, il lui avait uriner dessus, mais jamais dans sa bouche. Elle avait l’impression d’être tombée plus bas que le simple animal. Elle n’était plus qu’un vulgaire urinoir. Michel commença à se soulager dans la bouche de sa soumise. Elle sentit le liquide chaud et salé couler le long de sa gorge. Elle tenta d’avaler le tout, tout en gardant la bouche ouverte. Le rythme était difficile à tenir, mais elle ne voulait pas le décevoir à nouveau. Elle avait tenter en vain de tout avaler. Des larmes coulaient le long de ses joues. L’humiliation était trop forte. Elle réussit tout de même à murmurer :
— Merci Maître pour cette punition.
— Mais ce fût avec grand plaisir ma chère Katy. Je vais te pardonner pour les quelques gouttes que tu as perdues pour cette fois. L’urine sur ton visage te rappelle ta condition. Et qui plus est, je crois y avoir pris goût. Peut être que je devrais t’uriner dans la bouche chaque matin en me levant, qu’en penses-tu ?
— Maître, je suis votre animal, votre chose, votre objet ; mais je vous en prie, ne me rabaisser pas au rang d’urinoir.
— Est-ce que je n’ai pas le droit de faire de toi ce que je veux ? J’aime te voir ainsi avilie, diminuée et humiliée. D’ailleurs, pour l’heure ce n’est que ce que tu mérites. Tu sais Katy, tu aurais dû choisir de me dire les punitions que tu mérites, elles auraient peut-être été moins pires que celles que moi je vais te faire vivre. Mais maintenant, tu as fais ton choix, et j’en suis fort heureux.
Michel partit pour finalement revenir avec des pinces que Katy connaît très bien. À son grand désarroi, il avait aussi pris soin de prendre les poids pour les y accrocher. LIRE LA SUITE
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