1 - Nadine
par
popularité : 1%
J’ai 52 ans, je suis grosse et laide et j’étais mariée depuis 31 à un homme violent, alcoolique et impuissant. Combien d’humiliations et de coups j’ai dû subir ?
Comme cette fois où il est rentré complètement beurré avec 3 copains de comptoir. Ils s’installèrent dans le salon où je dus leur servir à boire. Whisky pour tous. Ils braillaient des blagues salaces comme le font toujours les mecs bourrés. Les esprits s’échauffaient et Robert proposa soudain :
– Nadine va nous faire un strip, on va bien se marrer.
Depuis mon adolescence j’avais toujours eu honte de mon corps. J’ai toujours détesté la plage où je n’osais jamais me mettre en maillot. Bien entendu l’âge n’a rien arrangé et l’idée de me montrer nue à ces quatre vicelards me répugnait. Je protestais donc, mais mon mari se fâcha.
– File dans ta chambre t’habiller plus sexe et reviens nous faire ton show. Tu as cinq minutes.
Connaissant l’effet dévastateur de ses colères je partis me changer la tête basse sous les quolibets de ses 3 acolytes.
– Ca, c’est une femme bien dressée !
– Allez la grosse revient vite nous faire bander.
Je me changeais dans la chambre, mettant des dessous sexy que mon mari achète volontairement trop petits afin de boudiner ma chatte. Porte-jarretelle, bas et soutien-gorge à balconnets complètent ma panoplie. Je passe une robe légère et retourne dans le salon. Je suis écarlate de honte tellement je me sens déjà impudique dans cette tenue légère. C’était la première fois que j’allais devoir m’exhiber ainsi devant des inconnus.
J’avais déjà fait des strips pour mon mari qui ne manquait jamais de se lamenter sur ma laideur. Il était toujours bourré et je finissais invariablement avec son organe flasque dans la bouche, essayant désespérément de lui faire prendre un peu de vigueur afin qu’il parvienne à me sauter. La majeure partie du temps, je n’y arrivais pas, il me punissait alors avec une redoutable tige de bambou.
– T’es tellement moche que tu n’arrives même pas à me faire bander
La vérité était qu’il était impuissant et défoulait sa frustration sur moi. Mais ça, je ne pouvais pas lui dire et je supportais les coups sans broncher.
Je commençais à onduler tout en retirant ma robe, tous les regards étaient braqués sur moi. J’étais pétrifiée d’humiliation. Les commentaires fusaient.
– Regardez-moi cette grosse vache
– Putain ce cul, au moins il y’a de la place
– Eh, regardez comme sa chatte est comprimée dans sa culotte. Robert, on peut toucher ?
– Pas maintenant, toi radasse continue, enlève ce soutif que mes copains voient tes nichons dégueuler.
J’obtempérais, choquée par la vulgarité des commentaires, et dégrafais mon soutif qui laissa s’évader mon opulente poitrine. Elle était lourde et tombait sur mon ventre. Ce fut l’occasion de nouveaux quolibets et je ne pus retenir quelques sanglots. J’avais conscience de mon ridicule boudinée dans une culotte trop petite et en porte-jarretelle alors que je me rendais parfaitement compte que je ne ferais jamais la page centrale de Playboy. Mon mari m’ordonna de m’allonger sur la table basse et de me masturber à travers ma culotte. Je me titillais donc le clito et bientôt je sentis une sourde chaleur envahir mon bas-ventre, je sentais mes lèvres s’ouvrir et mon puits d’amour se remplir de cyprine qui dégoulina bientôt sur la fine étoffe.
– Regardez-moi cette sale pute, dit mon mari, elle aime ça. Ca commence à être à l’étroit là-dedans, ça ne vous gêne pas si je décomprime.
Et joignant le geste à la parole il sortit un membre énorme en demi-érection de son pantalon.
– Moi aussi elle m’excite cette garce
– Je n’ai pas d’autres trous à vous proposer que ça, dit Robert en me désignant du menton, mais si le cœur vous en dit vous n’aurez qu’à fermer les yeux et imaginer que c’est Zara White.
La proposition reçut un accueil enthousiaste. Je ne pensais pas pour ma part que mon mari irait jusqu’à m’offrir comme vide-couille et l’idée me révolta. J’étais une épouse obéissante mais il ne fallait quand même pas pousser. Mon mari remarqua que c’était la deuxième fois que je protestais et m’annonça que chaque récrimination valait dix coups de trique. Il décida de punir la première sur le champ. Je dus me mettre debout, les mains à plat sur la table basse, jambes tendues. Position qui offrait mon large fessier à la brûlure de la baguette. Il m’infligea lentement les dix coups. Il frappait fort et je sentais le bambou marquer ma chair. Je faisais mon possible pour ne pas bouger ou crier, ce qui aurait déclenché sa colère.
– Oh oui elle est encore plus bandante avec son gros cul strié
Celui qui avait dit ça sortit sa queue de son futal et m’ordonna de venir le sucer. Il était vautré dans le canapé, je me mis donc à quatre pattes et pris son membre dans la bouche. Il était de taille raisonnable et je m’appliquais à le prendre entièrement dans la bouche. Il bandait dur et cela m’excitait, habituée que j’étais au bout de tuyau tout flasque de Robert. Une main s’insinua entre mes cuisses et constata mon état.
– Regardez-moi ça, ça l’excite d’être traitée comme une pute.
Je sentis un doigt, puis deux pénétrer mon antre d’amour.
– En plus elle est étroite, je sens qu’on va bien s’amuser. LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jours) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)
Commentaires