2 - Nadine

lundi 6 mars 2006
par  Claude
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A partir de ce jour son comportement se radicalisa en vers moi. Habituellement quand il avait été violent un soir, il tâchait de se faire pardonner le matin, s’excusant et accusant l’alcool, mais la dès le lendemain matin il me traita comme la dernière des traînées.
– Tu n’es qu’une vulgaire pute, et désormais tu seras traitée comme tel. Quand je vois comment tu as pris ton pied à te faire défoncer le cul par cet énorme braquemart, tu ne m’inspires que dégoût et mépris.
Ma vie ne fut plus, à partir de ce jour-là qu’humiliation et déchéance. Tous les week-ends il se rendait dans une boite minable sur la nationale. La clientèle était plutôt louche, loubards, alcoolo et routiers de passage. Je dus désormais l’y accompagner. Je devais me vêtir en pute, jupe ultra mini en strass, pas de culotte, bustier en résille, bas et porte-jarretelle. Vu mon anatomie j’étais surtout ridicule, débordante de partout. C’était pire que d’aller nue. Quand j’arrivais la première fois je fus accueillie par le sourire ironique du videur à l’entrée. En descendant, je reconnus tout de suite derrière le bar l’homme qui prit mon pucelage anal.
Nous nous dirigeâmes vers lui quand un homme nous accosta.
– Salut, Robert, je te paye un verre
– OK un whisky
Mon mari me fit signe de le suivre et il m’accompagna aux toilettes. Je venais d’être vendue pour un whisky. Les chiottes étaient minuscules, il s’assit sur la cuvette et je dus m’agenouiller sur le carrelage dégoûtant pour emboucher son membre. Il n’était pas vraiment propre et dégageait une forte odeur de poisson. Malgré la nausée qui me gagnait, je m’appliquais à bien le faire reluire, sachant que mon mari n’hésiterait pas à me punir très durement s’il essuyait des plaintes. Il explosa rapidement dans ma bouche.
– Putain t’es bonne, cochonne ! tiens avale ça.
Son sperme était épais et acre et un haut-le-cœur me souleva l’estomac mais je parvins tout de même à avaler sa semence. De toute façon je pense que j’avais intérêt à m’y habituer car je risquais désormais d’en déguster régulièrement. Mon client se déclara satisfait. En remontant, je voulais dire bonjour au patron, peut-être reconnaissante du plaisir qu’il m’avait fait découvrir. Il me répondit qu’il ne parlait pas aux enculées. Robert et deux autres clients éclatèrent de rire. Ils en profitèrent pour payer un verre à mon mari qui me fit signe de les accompagner aux toilettes. J’avais sucé une quinzaine de queues quand la boite ferma à deux heures. J’avais bu quantité de foutre mais certains s’était retirés pour jouir et j’étais poisseuse de partout : cheveux, poitrine, ma robe était maculée de tache suspecte. Mon mari était bien bourré. Les videurs évacuaient la boite, mais il restait tranquille au bar à picoler un whisky en grande conversation avec le patron et sa barmaid, une jolie gamine d’une vingtaine d’années qui semblait bien allumeuse. Il ne restait plus qu’une dizaine de clients et je compris que la soirée continuait entre amis. L’équipe de videur reparut en déclarant que les portes étaient fermées et que nous étions désormais tranquilles. Le patron installa une table basse au milieu de la piste de danse et les souvenirs aidants je compris que ça serait ma place pour la suite de la soirée. Robert m’ordonna de me mettre à quatre pattes dessus et donna le mode d’emploi à l’assistance. Il leur suffisait de relever ma jupe et de fourrer le trou désiré. Ils comprirent très vite et le défilé commença. J’étais brisée par les humiliations successives et je ne pouvais plus lutter. Je restais passive pendant que les vits se succédaient en moi. La pétasse de barmaid se moquait de moi en faisant des commentaires grossiers sur mon anatomie.
– C’est qu’elle aime la bite cette grosse vache, matez le balancement de ses grosses loches. Et puis elle aime les coups aussi, regardez ses marques sur son gros cul. Dis-moi Robert elle fait les femmes aussi, parce que j’adore me faire brouter le minou et en ce moment Lilian ne veut pas.
Il y eut un éclat de rire général que je ne compris pas tout de suite, me trouvant dans une semi-léthargie.
– Bien sûr elle est là pour servir.
La salope me fit m’allonger sur le dos, retira son mini-short et sa culotte avant de s’asseoir sur mon visage. LIRE LA SUITE

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