3 - Nadine

mercredi 23 août 2006
par  Claude
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Sept kilomètres dans la nuit glaciale. Nous étions en plein hiver et les températures étaient négatives. Malgré mes talons et mon embonpoint, je marchais à un rythme élevé. Je savais que je n’avais pas intérêt à traîner, une heure c’est vite passé et la perspective des coups de bambou me faisait accélérer le pas ce qui me permettait aussi de lutter contre le froid, ma tenue étant plus que légère. Je sentais le sperme dégoulinant de mon petit trou congeler entre mes cuisses, il en était de même pour mes cheveux copieusement arrosés.
Cette marche forcée me permit aussi de penser à ma nouvelle condition. En moins d’une semaine, j’étais devenu la pute soumise de mon mari, acceptant toutes ses perversions. Je n’avais ni le courage ni l’audace de m’y opposer. Cependant j’étais bien obligé de m’avouer que j’y prenais du plaisir tant dans l’humiliation que dans ma nouvelle vie sexuelle qui jusque-là n’avait jamais été débordante d’activité. J’avais même découvert l’orgasme. Moi qui me croyais frigide, je me rendais compte que j’étais seulement mal-baisée. Il faut dire que mon mari n’est pas vraiment ce que l’on pourrait appeler une épée.
Je mis une heure et huit minutes et mon maître m’annonça que je venais de gagner quatre-vingts coups, ce qui m’effraya n’ayant jamais subi un tel châtiment.
– Vas prendre une douche ça te réchauffera et tu seras plus présentable devant notre invitée.
Quand je revins toute fraîche, la petite pute était en train de sucer mon mari qui présentait une érection fort honorable. J’étais jalouse et l’humiliation de devoir contempler ce spectacle était sans doute la pire. Je haïssais ma concurrente qui en plus obtenait de meilleurs résultats que moi. Elle interrompit sa fellation pour demander :
– Il me semble que tu lui dois une punition, peut-être pourrais-tu me montrer comment tu procèdes.
– Mais volontiers, tu avais donc huit minutes de retard ce qui nous fera donc, au cours du jour, quatre-vingts coups de bambou. Positionne-toi à quatre pattes pour commencer, je vais m’occuper de ton gros cul.
La baguette s’abattit donc sur mes globes fessiers et je supportais assez bien malgré la violence des coups. Il voulait clairement impressionner sa nouvelle conquête. Mes fesses commençaient à être tannées par les nombreuses corrections subies. Il m’asséna vingt coups, sous les quolibets de sa pétasse, rendant mon cul écarlate.
– A genoux, la deuxième série sera pour tes grosses loches. Tu vas voir Vanessa, elle a un peu moins l’habitude et cela est encore plus jouissif.
Il me déchira la poitrine, frappant de toutes ses forces. Je m’écroulais à chaque coup en hurlant, mais il m’intimait l’ordre de me remettre en position et je n’osais y résister de peur d’aggraver mon supplice. Au bout des vingt coups, ma poitrine était dans un triste état. Mes seins étaient couverts de marques violacées. Je sanglotais et vis à travers mes larmes la petite garce se caresser. Elle y prenait du plaisir cette chienne car sa chatte était toute gonflée et luisante.
– Vas-y continue à punir cette chienne ça m’excite à un point…
– Je te propose la troisième série sur le bide, histoire d’attendrir un peu la graisse.
Et il joignit le geste à la parole me lacérant le ventre de stries violacées. C’était cependant moins pénible que sur la poitrine et je résistais stoïquement, les mains derrière la nuque. La quatrième série me fut infligée sur les cuisses. Je dus pour cela me mettre debout et me tenir les chevilles. Le premier coup me surprit et je perdis l’équilibre mais je résistais de nouveau. Je savais que c’était la dernière série et cela m’aidait. Quand ce fut fini, il m’ordonna d’aller montrer mes marques à sa maîtresse qui commença à pétrir les chairs martyrisées à pleine main. Je couinais acceptant mal ces douleurs infligées par celle que je haïssais le plus : cette petite garce prétentieuse qui menait mon mari par le bout du nez.
– Il me semble que cette chienne m’a traité de garce tout à l’heure, tu ne vas quand même pas laisser cela impuni.
– Non bien sûr et puisque tu es l’offensée, tu vas même pouvoir la punir toi-même. Que penses-tu qu’elle mérite ? LIRE LA SUITE



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Commentaires

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lundi 9 mai 2011 à 09h30 - par  Le Mentor

Je découvre ce récit avec plaisir.
Il est bie écrit et se laisse facilement lire et est fort vivant.
Je ne sais pas s’il y aura une suite mais je l’espère.
Bravo