Sortie marquante

dimanche 17 avril 2005
par  Crabou
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Lorsque Marc rentre, je suis nue assise dans le salon à l’attendre.

Je me présente : je m’appelle Eléna. Je suis brune, plutôt mignonne et assez exhibitionniste. J’ai de longues jambes et une petit cul bien rond qui fait tourner bien des têtes. Marc, mon mari, et moi-même aimons beaucoup les plaisirs du sexe et sommes toujours à la recherche d’expériences nouvelles, de nouvelles sensations.

— Je t’attendais avec impatience. Ce soir, je t’ai réservé une surprise. Nous sommes de sortie. Viens vite, tu as juste le temps de NOUS préparer.

— De NOUS préparer ??

— Viens, tu vas comprendre.

Cet après-midi et prévision de cette soirée, je me suis rendue chez l’esthétisienne :

— Je voudrais une épilation des jambes et des aisselles mais aussi une épilation complète du sexe et de l’anus.

Lorsque j’ai été vierge de tout poil, je suis allée chez le coiffeur sans même prendre la peine de remettre mon string pour profiter déjà des sensations produite par mon sexe nu et glabre sous ma jupe courte.

En attendant le retour de Marc, je me suis consciencieusement maquillée et « vêtue » uniquement de quelques bijoux.

Le prenant par la main, je l’entraîne dans notre chambre. Sur notre lit, il découvre un de ces costumes, une chemise, une cravate et un de ses strings qui lui dégage si merveilleusement les fesses. Sur l’autre côté du lit ne se trouvent qu’une cravache et une longue cape.

— Voilà, je voudrais que tu te fasses beau, que tu mettes ce costume. Pour ma part, je resterai nue, seulement parée des marques de cette cravache. La cape me couvrira pendant nos trajets.J’ai choisi particulièrement cette cravache pour les belles marques qu’elle laisse sur la peau. Je voudrais que tu me marques les fesses mais aussi les cuisses, le sexe, les seins et le ventre. Nous n’avons pas trop le temps pour des préambules, donc frappe directement suffisamment fort pour bien me marquer.

Je prends la cravache, la tend à Marc et me couche alors sur le ventre en travers du lit, attendant le premier coup.

Rapidement, je me mets à gémir mais Marc continue à me frapper jusqu’à ce qu’il me juge suffisamment marquée.

Il m’ordonne de me retourner et recommence à me frapper sur le sexe et les seins cette fois. Mes cris remplissent la chambre et pour me permettre de plus facilement résister à cette épreuve et m’éviter que je me dérobe, il m’attache aux quatre coins du lit.

La cravache est enfin jetée sur le lit et Marc me délivre.

Nous nous retrouvons tous les deux dans la salle de bain pour nous rafraîchir. Pendant qu’il enfile son costume, je me remaquille tranquillement admirant dans la glace les belles marques sur mon corps durement méritées.

En attendant le taxi que j’avais commandé, je mets de beaux escarpins et me couvre de la cape juste fermée par un lacet attaché autour du cou.

A l’heure prévue, le taxi sonne à la porte. J’ouvre un tiroir du meuble du hall d’entrée et en sors une paire de menottes.

— Attache moi les mains dans le dos stp. Cela m’évitera de succomber à l’envie de tenir ma cape fermée pendant le trajet.

De plus en plus étonné mais aussi excité par ce jeu, Marc ramène mes mains dans le dos et passent les menottes autour de mes poignets.

Nous sortons et montons dans le taxi. Bien entendu, au passage ma cape s’ouvre et dévoile mon corps nu au chauffeur de taxi qui croit rêver. Je lui donne l’adresse du restaurant fétichiste où j’ai réservé une table.

Arrivé devant le restaurant, le taxi ralentit. Je lui dis alors :

— Continuez jusqu’au bout de la rue svp.

Je suis toute angoissée et excitée à la fois à l’idée de souper nue dans ce restaurant, exposant à tous mon corps fraîchement marqué par une cravache. Voulant reculer un peu encore ce moment pour profiter de l’attente mais aussi pour jouir plus du plaisir de me trouver dans la rue juste couverte de ma cape, je descends du taxi à plusieurs centaines de mètres du restaurant. Au gré de mes pas et de petits coups de vent, ma cape s’ouvre pendant ce trop court trajet livrant mon corps au regard étonné et admiratif des passants.

Nous entrons dans le restaurant. Il y a déjà pas mal de monde attablé. Je sens une bouffée de chaleur m’envahir et mon sexe s’humidifier un peu plus lorsque Marc passe derrière moi. Il tire doucement sur le lacet qui ferme ma cape. Celle-ci glisse sur mes épaules me dévoilant entièrement aux personnes présentes dans le restaurant. Marc tend la cape au garçon qui nous a accueilli et je suis celui-ci, serpentant entre les tables, la poitrine projetée en avant par mes bras toujours attachés dans mon dos. A mon passage, les conversations s’arrêtent et les yeux se portent sur mon corps nu et des murmures accompagnent la découverte des marques de cravache qui ornent celui-ci.

Nous nous asseyons à la table qui nous a été attribuée. Le garçon nous apporte la carte mais ne pouvant ouvrir la mienne, Marc commande pour nous deux. C’est à la paille aussi que je bois mon apéritif.

Je prends beaucoup de plaisir à être nue parmi ces gens habillés, certaines dames étant néanmoins vêtues de tenue assez sexy. En plus, les initiés doivent apprécier les marques sur mon corps et se rendre compte de la souffrance que j’ai endurée avant de venir.

Lorsque le garçon nous apporte l’entrée, Marc se lève et vient me détacher les mains pour me permettre de manger. Le souper se déroule dans une ambiance sensuelle et presque comme si de rien n’était, baigné par la lumière des 3 grosses bougies qui trônent sur notre table.

Lorsque le désert arrive, Marc se lève à nouveau, vient se mettre derrière moi et m’embrasse tendrement dans le cou comme j’aime. Je me penche un peu en arrière pour lui tendre mes lèvres et lui permettre de voir l’ensemble de mon corps dont les jambes se sont un peu écartées par ce mouvement. Marc prend alors une des grosses bougies sur la table et en me regardant droit dans les yeux verse la cire chaude sur mon sein droit. Je pousse un gémissement mais je ne me dérobe pas. Il tend maintenant la main vers la seconde bougie et je sais que cette fois, c’est mon sein gauche qui va être couvert de cire chaude.

Nos lèvres se rejoignent enfin. Tout t’en m’embrassant langoureusement, Marc empoigne la dernière bougie dont la cire coule d’un coup sur mon pubis et mon sexe que rien ne protège. Un orgasme monte en moi et mes lèvres ne quittent plus les siennes. De savoir ces gens autour de moi me voir atteindre ce merveilleux point où la douleur se transforme en jouissance décuple encore plus mon plaisir si c’est possible.

Lorsque le repas est terminé, nous reprenons un taxi vers une nouvelle destination : un club échangiste mais non sans que Marc m’ait au préalable rattaché les mains dans le dos.

Arrivé devant celui-ci, le taxi s’arrête mais de l’autre côté de la rue. Le chauffeur allume le plafonnier pour faciliter le payement. Marc m’ôte ma cape en me disant que je n’en ai plus besoin pour le moment.

Il paye tranquillement la course pendant que le chauffeur me dévore littéralement des yeux, ceux-ci allant de la cire qui couvre mes seins et mon sexe aux marques de cravache.

Nous traversons la rue, moi toujours intégralement nue, Marc portant ma cape pliée sur son bras.

Nous entrons et très vite un attroupement se forme autour de nous. Nous montons avec ce petit monde dans une pièce éclairée par une douce lumière. Je demande à Marc de s’asseoir dans un fauteuil et de regarder. Les mains toujours attachées dans le dos, m’adressant aux hommes et femmes qui nous ont suivi :

— Mon corps est à vous pendant une heure mais je veux dans une heure être couverte de sperme et de cyprine.

Il s’ensuit une séance indescriptible pendant laquelle des mains courent sur mon corps, des sexes me pénètrent, d’autres se pressent contre ma bouche pour être sucé. Des sexes épanchent leur liqueur un peu partout sur mon corps si bien qu’au bout d’une heure, je suis entièrement poisseuse mais heureuse et être excitée. Pendant tout ce temps, je plonge régulièrement mon regard dans celui de Marc pour voir monter le désir en lui.

Je demande à Marc de me ramener à la maison. Sans m’essuyer, il me recouvre de ma cape et nous rentrons chez nous.

A peine la porte d’entrée refermée, je ne peux plus attendre !

— Marc, ôte moi ma cape et détache moi s’il te plait.

Une fois à nouveau nue et les mains libres, j’entreprends de le déshabiller intégralement à son tour. Je nous offre un petit plaisir supplémentaire en lui ôtant son string avec les dents.

Je le serre alors dans mes bras, le maculant en partie du sperme et de la cyprine répandus sur mon corps. Je l’embrasse puis doucement me laisse tomber à genou. Je me retourne, pose au sol les épaules, lui tendant ainsi mes fesses grandes ouvertes.

Il en extrait le rosebud qui le parait depuis le début de la soirée et qui avait interdit cette entrée de mon corps à mes partenaires du club échangiste.

Sans qu’il soit besoin de le lubrifier, le sexe de Marc me pénètre lentement les reins pour très vite nous emporter tous les deux dans un orgasme d’une intensité peu courante.





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Commentaires

Logo de Henic
dimanche 24 octobre 2021 à 17h08 - par  Henic

C’est pour le moins « trash », mais après tout, tous les goûts sont dans la nature. Y compris celui de Marc de se vautrer dans les divers fluides de la foule qui a arrosé son épouse au cours de la soirée.