Chère belle-mère
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Une belle histoire vraie, mai 68 n’est pas loin.....
Depuis de nombreuses années j’étais partagé entre l’envie de raconter mon histoire et la gêne de devoir avouer mon comportement. Aujourd’hui les années ont passé et je reste seul pour en parler.
Jeune ingénieur et marié à l’époque, nous habitions un studio en ville. Mes beaux- parents habitaient une maison dans un quartier proche et nous recevaient fréquemment. Depuis ma première rencontre avec Andrée, ma belle-mère, je la trouvais séduisante malgré la différence d’âge Son mariage ne marchait pas trop bien, un mari souvent absent et vraisemblablement volage. Ils se séparèrent d’ailleurs peu de temps plus tard.
Les fêtes familiales étaient souvent l’occasion de danser, plaisir partagé par tous les membres de la famille. Tenir dans mes bras Andrée était une source d’émotion et de caresses esquissées discrètement, de tendres regards, pas de gestes cependant trop équivoques. Elle dansait à merveille et me faisait ainsi progresser dans ce genre de loisir. Toujours habillée avec beaucoup de classe mais aussi avec une pointe de séduction. J’étais grand, mince, blond aux yeux bleus et je sais que je plaisais beaucoup aux jeunes filles de mon entourage professionnel, mais rien ne me prédisposait à ce qui allait se produire.
Pilote privé, j’emmenai un jour Andrée faire une longue balade en avion, alors qu’elle craignait tellement cette expérience. En vol sa robe d’été courte dégageait en partie ses cuisses minces et le haut de ses bas noirs, son décolleté me laissait apparaître des seins que mes mains avaient déjà frôlés de nombreuses fois en dansant. Au retour, elle me remercia en me déposant une série de baisers fougueux, instant émouvant mais abrégé par la présence d’autres membres de la famille.
Peu de temps après, lui ayant rendu un service en réparant un problème électrique chez elle, nous étions devant la porte de sortie et en l’embrassant nos lèvres fortuitement se touchèrent. Elle me reprocha ce geste, je m’excusai et j’ajoutai que je la trouvais adorable, et que je l’adorais. Elle en rit, puis me caressa la joue et me conseilla de partir vite en m’embrassant d’une façon peut-être un peu plus appuyée que d’habitude.
Quelques jours plus tard, seul avec elle en début d’après-midi, pour un motif que j’ai oublié, nous allions prendre une tasse de café avant que je parte. Dans le salon elle posa ma tasse sur la table basse et s’assit sur le fauteuil à côté. Je lui pris sa main et l’attirai vers moi en lui déclarant que j’éprouvais beaucoup de choses troublantes à ses côtés. Elle se leva, s’approcha et lentement s’assit sur mes genoux, puis elle m’embrassa tendrement. J’étais surpris, de mon audace, mais aussi de sa réaction, et de la rapidité de l’évolution de son attitude. Dans mes bras je la serrai, caressant sa taille, sa poitrine menue au travers du tissu, son ventre, ses cuisses et l’embrassant tendrement ; mes mains tremblaient, mon sang bouillonnait.
Mon émotion devait être perceptible tout comme la sienne ; ses gestes devenaient caressants et sa main s’insinuait dans ma chemise après avoir ouvert un bouton. Ma main caressait maintenant ses cuisses et remontait lentement sous sa jupe, ses mains couraient sur mon torse et sa langue fouillait impérieusement ma bouche. Je glissai un doigt sous sa culotte et constatai qu’elle était humide, ses jambes s’écartèrent un peu afin que je puisse la caresser et Andrée me laissait faire tout en explorant mon torse après avoir ouvert ma chemise.
Elle portait des bas noirs suspendu à un porte-jarretelles et une culotte de taille minimum. Ma main explorait sa peau sous ces sous-vêtements affriolants que j’avais déjà devinés lorsque nous dansions, mais cette fois elle m’offrait son corps, son intimité pour la première fois. Les yeux fermés, elle respirait maintenant plus calmement, belle, avec sa peau douce et lisse au toucher.
Je l’ai déshabillée complètement, elle en a fait autant avec moi et nous nous sommes allongé sur le tapis du salon, quelques secondes avaient suffi pour que nous soyons nus et enlacés, je l’ai caressée doucement, ma main prenait possession de son sexe, mes doigts se glissaient entre les lèvres entrouvertes puis à l’intérieur du vagin, j’entendais son souffle s’accélérer en rythme avec mes caresses, son désir montait et lui donnait des contractions dans son ventre pendant que sa chatte expulsait son liquide, elle jouissait avec abondance sous la caresse, d’une façon quasi continue et je découvrait cela pour la première fois chez une femme.
Sa main avait emprisonné mon sexe gonflé et dressé presque à la verticale, elle me complimenta sur sa taille et me demanda d’être doux avec elle car elle en redoutait la pénétration, mais sa chatte ouverte très humide l’accueillit et accrochée à mon corps, quelques coups de reins suffirent pour la faire jouir à nouveau, elle était déchaînée, en demandant encore et encore, sans pause, criant son plaisir ; plus je la pénétrais, plus je donnais de force à mes mouvements, plus elle semblait apprécier avec gourmandise, tout cela accompagné d’une sorte de clapotis explicite sur la quantité de liquide que nous avions échangé dans cet instant.
Elle me dit avoir découvert des sensations nouvelles, assez fortes pour qu’elle n’ait plus conscience du temps et de l’endroit, une sorte de voyage continu avec des sensations exacerbées pour reprendre l’expression qu’elle me confia quelques minutes plus tard. Elle ajouta n’avoir jamais ressenti une telle intensité avec son mari, ni accueilli un sexe aussi impressionnant, elle avait atteint uns sorte d’ivresse ou des limites inconnues… .
Gênés et un peu honteux par ce qui venait de se passer, après ses quelques paroles sur l’acte que nous venions de commettre, Andrée me dit qu’il ne faudrait plus jamais recommencer, elle était la mère de ma femme, nous étions tous les deux mariés et personne ne devait découvrir ce qui venait de se produire. Elle ajouta quelques détails sur ses déceptions dans sa vie d’épouse. Pour ma part je lui ai confié alors le manque d’enthousiasme de ma femme et je pense qu’à ce moment je voyais dans cet acte une façon de sauvegarder l’équilibre de mon couple.
Toujours nus, allongés l’un contre l’autre, je caressais encore son corps que je voyais maintenant dans son ensemble, elle était mince, des chevilles fines, des formes bien dessinées, un corps de jeune femme extraordinairement sensuelle à mes yeux. Je n’ai pas écouté ses réserves sur cet instant de bonheur et lui ai déclaré que je l’adorais encore plus et qu’en prenant énormément de précautions je ferais en sorte de pouvoir la retrouver en toute intimité car j’en avais une formidable envie. Andrée ne protesta pas trop mais déclara que j’étais un peu fou et imprudent….
Pendant quelques jours la vie reprit un cours normal mais je n’oubliais pas le corps d’Andrée et ses réactions dans mes bras. Malgré les risques j’ai trouvé les moyens de pouvoir préserver quelques moments d’intimité qui nous ont encore apporté cette jouissance profonde, ample bien que ce soit des instants courts, volés dans des endroits peu propices, la cuisine, le couloir, le garage, la buanderie et dans des positions quelques fois inédites pour nous deux. Nous avions surmonté nos remords et nous goûtions pleinement notre sensualité exacerbée sans réserve.
Pour me plaire Andrée continuait à porter ses dessous affriolants, me les réservant devait-elle un jour me l’avouer. Je lui ai dit le plaisir que j’éprouve à la voir porter ses tenues. La voir en bas et sous-vêtements noirs sur une peau d’une grande blancheur est un souvenir que je ne peux pas oublier.
Entre nous c’est toujours extraordinaire, sa fougue, ses demandes réitérées, ses besoins de femme et ma jeunesse pleine de vigueur font des miracles, elle a des orgasmes multiples, elle inonde sa chatte et de ce fait retarde le moment ou j’éjacule, nous avons des relations voluptueuses et de plus en plus longues, et une complicité discrète qui fait qu’en famille nous nous comprenons juste avec un regard ou une mimique.
J’ai mis à profit des après-midi de récupération de tour de services, des moments de liberté entre deux réunions à l’extérieur, des nuits de service pour nous retrouver, et nous étions toujours dans l’attente de ces moments intenses.
Nous sommes partis en vacances dans le Sud de la France, Andrée seule car son mari l’avait quittée, quant à moi je me posais de nombreuses questions sur l’attitude de ma femme qui avait toujours besoin d’un moment de liberté alors que nous avions des projets de visites, de baignades, de sorties en soirée. Les balades en montagne seul avec Andrée, elle en maillot de bain et short, moi torse nu en short nous conduisait au plus profond de la campagne, masqué par la végétation et là inévitablement nous nous enlacions pour un rapport plein de fougue, auquel succédait des caresses afin de retrouver une part de calme avant de revenir. Nous avons fait l’amour dans la piscine, dans sa chambre, dans la campagne, à la plage, rien ne nous rassasiait mais rien ne permettait à qui que ce soit de deviner cette relation.
De retour de vacances, nous avons repris nos rendez-vous discrets assez souvent trop courts mais aussi des après-midi complètes ou dans la pénombre d’une chambre d’hôtel nous passions plusieurs heures accouplés et faisant l’amour en variant la fréquence et l’intensité de mes mouvements mais sans changer de position, Andrée jouissant de nombreuses fois, (ce que très peu de femme m’ont montré depuis) moi la comblant de tout ce que je pouvais lui donner sans arriver à lui faire demander d’arrêter, nous étions trempés en fin de journée, le lit aussi et tout notre corps allait ressentir encore le lendemain cet exercice continu…
Puis après quelques années et un divorce, tout à changer, Andrée a déménagé dans le Sud, et cette période devenait un souvenir qui ne nous rapprochait plus que dans notre mémoire. J’ai cherché à retrouver de tels instants d’intensité et de satisfaction avec d’autres partenaires, mais je ne les ai retrouvés que très exceptionnellement depuis et le fait de raconter cet épisode me donne toujours les mêmes réactions physiques qu’à l’époque.
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