4 - Le plaisir dans la soumission
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Les mois qui suivirent le « baptême » de Sabrina au club SM furent les plus heureux de mon existence. Sabrina s’installa définitivement dans ma maison de campagne après que j’eus abandonné mon appartement en ville qui n’était pas suffisamment insonorisé. La veille de son emménagement, alors que je lisais, assis dans un des fauteuils du salon, elle me présenta un document écrit de sa main :
— Quand Marc nous a emmenés au Club, j’ai dû signer un contrat par lequel je déclarais venir de mon plein gré et que j’étais prête à me soumettre aux désirs de tous les hommes présents.
— Oui, je m’en souviens, lui dis-je.
— Et bien, puisque je viens habiter chez toi, j’ai préparé un contrat un peu plus détaillé par lequel je me soumets à toi, mon amour, mon maître.
Elle s’agenouilla devant moi. La coquine savait qu’elle était alors irrésistible car je pouvais plonger mes regards dans son décolleté profond et je fondais littéralement devant le galbe parfait de ses seins opulents. Elle me regarda la lire, attentive à mes réactions.
« Je soussignée déclare me donner corps et âme à mon seigneur et maître Bernard B.
1. Seront exclues de nos relations la scatologie.
2. En dehors de mes activités professionnelles, toute ma vie sera consacrée à la satisfaction de ses désirs. Il pourra me posséder à toute heure et en tous lieux de la façon qui lui plaira. Je ne pourrai lui refuser aucune des portes de mon corps. Ma bouche et ma langue, notamment, sont au service de son sexe et de son cul.
4. Il pourra, s’il le désire, me prêter à d’autres hommes, mais toujours en sa présence.
3. En échange, mon maître me récompensera de mes bons et loyaux services par des flagellations quotidiennes et des visites régulières au Club SM que nous avons découvert ensemble. »
Ces quelques lignes eurent sur mon sexe un effet immédiat. Je me relevai, le libérai et le plongeai dans la bouche accueillante de ma belle agenouillée. Tenant sa tête à deux mains, je la fis aller et venir sur la tige à mon rythme, d’abord lentement puis plus vite. Je baisai sa bouche comme si j’étais dans son ventre et me retirai au dernier moment pour éjaculer sur son visage. J’aimais, parfois, ne pas jouir en elle mais la voir couverte de sperme. La gourmande étala alors la semence sur son visage comme s’il s’agissait d’une crème de beauté puis elle ramena le tout vers sa bouche afin de n’en rien perdre.
— Sais-tu, mon amour, que le sperme des mâles est plein d’oligo-éléments ? Celles qui ne s’en régalent pas ne savent pas ce qu’elles perdent ! Tourne-toi, veux-tu ? J’ai envie de tes fesses.
Je ne me fis pas prier. Je baissai mon pantalon et m’agenouillai sur le fauteuil, le dos vers elle.
— Tu ne peux pas imaginer à quel point j’aime ta croupe, ta belle croupe de mâle, musclée, appétissante, dit-elle en me caressant.
Sabrina me connaissait bien maintenant. Elle savait à quel point j’aimais cette position et combien j’appréciais sa langue quand elle se glissait entre les globes, léchait longuement la raie, cherchait à pénétrer l’anus qui s’ouvrait pour elle. Je restais immobile, savourant ses caresses. Parfois, elle prenait ma bite qui, ayant éjaculé, était moins rigide. Elle la tirait en arrière et la suçait comme un cachou avant de revenir à mon cul.
— Et si nous reparlions de ce contrat ? demandai-je après avoir bien profité, pendant plus d’un quart d’heure, de ses léchages approfondis.
— Qu’en penses-tu ?
— Cela me convient tout à fait et j’ai bien l’intention de te traiter comme mon esclave sexuelle puisque cela nous plait à tous les deux.
— Même le paragraphe 4 ?
— Il y a encore une semaine, cela m’aurait fait bondir. Mais depuis cette soirée au club tout a changé. J’ai vu tout le plaisir que te donnaient ces hommes, ensemble ou les uns à la suite des autres. Tu étais transfigurée. Tu étais magnifique. Et je n’ai ressenti aucune jalousie, simplement le bonheur de te voir heureuse et comblée.
— Tu as raison, il ne faut pas confondre plaisir et amour. Ta « fuck-machine » me donne du plaisir, cela ne veut pas dire que je l’aime. Il en est de même pour ces inconnus qui n’étaient pour moi que des porteurs de bites. Ce sera pareil pour toi quand ce sera ton tour, la prochaine fois, de choisir une des femelles du Club que tu feras jouir et dont tu jouiras. Je suis sûre que tu as déjà choisi ta partenaire !
— Je suis assez tenté par la Noire, avouai-je.
— J’en étais sûre, c’est celle qui a les plus gros seins !
Sabrina appréciait de plus en plus les doubles pénétrations de la « fuck-machine », mais, bien que me vidant toujours dans sa bouche tandis que les godemichés la pénétraient inlassablement, j’étais personnellement un peu frustré car c’était bien la machine et non moi qui lui donnait du plaisir. J’en vins donc à imaginer un autre mécanisme qui n’obéirait pas à un moteur électrique mais à ma seule volonté et dont les godemichés plongeraient dans le corps de mon esclave non pas de façon régulière mais au gré de ma fantaisie et de mes désirs. N’étant pas très doué dans le domaine de la mécanique, je fis appel à Paul, un ami d’enfance dont c’était le métier. Quand je lui eus expliqué ce que je voulais et à quoi l’appareil servirait, le premier moment de surprise passé, il s’exclama :
— Voilà une bien belle idée, mais pour vérifier le bon fonctionnement de mon engin, il faudra que j’assiste à sa première utilisation.
— D’accord, concédai-je. Tu feras ainsi la connaissance de Sabrina et tu ne le regretteras pas. J’aimerais aussi que tu me fasses des pinces métalliques pour ses seins, des pinces qui lui fassent suffisamment mal pour la faire jouir mais qui ne risquent pas de la blesser même si l’on tire très fort dessus.
— Tu auras tout cela dans quinze jours. Je te l’amènerai avec mon Ford Transit.
Le jour dit, vers 17 heures, Paul amena la nouvelle « machine à jouir ». LIRE LA SUITE
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