Liaison

dimanche 8 mai 2011
par  Franck
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Avertissement : L’histoire : « Liaison », récupérée sur le site « fesrouge.free.fr » (mais venant à l’origine du site canadien « la fessée classique »), a été écrite par une prénommée Geneviève, histoire n° TF62. Cette histoire n’a pas eu de suite, malheureusement, aussi en ai-je écrit une (de moins bonne qualité mais j’ai fait ce que j’ai pu)... Franck

***

Partie n° 1 :

J’avais trente-deux ans. Mariée depuis dix ans, mère de trois enfants ; deux filles - neuf et cinq ans - et un garçon de sept ans.

J’étais dans une période morose, un mari souvent absent qui me laissait me « débrouiller » de l’éducation de mes trois enfants ; ce que je lui reprochais énormément... Je me sentais seule... Je fumais beaucoup.

J’ai rencontré Catherine devant l’école primaire où tous les jours j’allais chercher mes petits. Ma fille aînée était dans la classe de sa cadette. Elle avait trente-cinq ans et, outre sa fille cadette, elle avait également une fille de quatorze ans au collège. Nous avons progressivement sympathisé ; c’était une jolie femme mince, pas très grande, blonde, très élégante, assez sobre.

Tous les après-midi nous discutions de nos enfants, de nous. Elle sut me mettre en confiance.

Progressivement, je me confiais et me complaisais à ces dialogues agréables. Chaque jour je venais un peu plus tôt devant l’école pour profiter de ces moments délicieux, j’attendais avec impatience nos rencontres, je sentais que quelque chose de fort se préparait.
Elle m’invita un après-midi chez elle ; nous avons longuement parlé d’éducation. Elle se révéla être une mère célibataire. Elle m’impressionna par son assurance et sa rigueur. Je lui parlais autour d’un café de mes problèmes avec mes enfants. Je lui avouais que j’étais obligée de sévir et que je leur donnais de bonnes fessées. J’avais un peu honte d’avouer cela, moi qui avais reçu une éducation des plus rigide et des plus sévère. Loin de me désapprouver, elle me confia qu’elle aussi était stricte et sévère, mais elle s’étonna de mes difficultés, m’assurant que chez elle ça filait doux.
Après le café, je m’apprêtais à allumer une cigarette mais d’un ton assez sec elle me demanda de n’en rien faire, ce que je fis... un peu troublée.

Ces après-midi se renouvelèrent de plus en plus souvent ; nous faisions aussi nos courses ensemble. J’étais de plus en plus attirée par Catherine mais ne voyais chez elle aucun signe m’indiquant qu’elle non plus n’était pas insensible. Je la sentais autoritaire et me disais que si elle éprouvait le moindre sentiment elle me le ferait savoir.

En sa présence, où que nous soyons, j’ai fini par ne plus fumer. Les rares fois où j’ai allumé une cigarette devant elle, il lui a suffit d’un regard un peu appuyé pour que, telle une gamine prise en faute, je l’éteigne instantanément.

Nous faisions souvent nos courses ensemble. Je me souviens parfaitement de ce jour de shopping où, choisissant un chemisier et un soutient-gorge, elle vint d’autorité avec moi dans la cabine d’essayage, pour m’aider. Je sens encore ses doigts effleurer tout naturellement le haut de mes seins alors que je la laissais me vêtir et diriger la séance d’essayage.

Sa compagnie me comblait tant de bonheur et de confiance que je ne concevais plus de faire un seul achat sans son avis, qu’elle donnait sans hésitation et avec autorité. Je buvais toutes ses paroles et tous ses conseils.
Ainsi, lorsqu’elle me dit que j’avais tort de mettre des pantalons, que jupes ou robes m’allaient tellement mieux, je mis un point d’honneur à ne plus en mettre devant elle.

Je multipliais les essayages avec elle, qui donnaient lieu à de doux effleurements, voire des caresses, qui me mettaient en émoi.

Un jour, lors de l’achat de chaussures, elle marqua une réelle désapprobation pour tous les modèles que je choisissais, à tel point que je ne pris rien ce jour-là. Ensuite, à son domicile, elle me dit qu’elle aimerait bien qu’avec elle je mette plutôt des chaussures plates. Je lui confiais que je n’aimais guère cela, que j’avais tant souffert gamine et même jeune fille de ne pas pouvoir mettre des talons à cause de ma mère qui me l’interdisait.

— Allons, me dit-elle, fais ça pour moi, pour ta nouvelle petite maman qui te le demande gentiment.

Et elle accompagna ses paroles d’une petite tape complice sur ma jupe qui me laissa rêveuse...

Le lendemain, j’arrivais de nouveau en talons et elle me dit en me regardant fixement :

— Je crois qu’il va falloir aller t’acheter des chaussures.

Ce que nous fîmes le jour même. Nous portâmes, ou du moins, elle portât son choix sur des trotteurs ultra plats qu’elle me demanda de garder. Je me sentais très gênée mais, arrivées chez moi, elle me gratifia d’un baiser langoureux que je n’osais plus espérer, en me disant :

— Je t’aime tant quand tu es ainsi.

J’osais alors une caresse dans son dos... mais vite, il fallait aller chercher les enfants. J’étais sur un petit nuage et avais les jambes en coton. Ce fut le début d’une délicieuse histoire d’amour...

Nous nous retrouvions de plus en plus pour des instants de douceur et d’amour. Notre relation devenait plus intime de jour en jour. Nos caresses et nos baisers sefaisaient plus intenses.

Je n’avais jamais eu d’aventure extraconjugale et c’était également la première fois que je me retrouvais dans les bras d’une femme... mais je me sentais tellement bien avec Catherine que pour rien au monde je n’aurais voulu que cela cesse.

Dans nos instants de délice, je la laissais me déshabiller, m’embrasser et me caresser. Et bien que de mon côté je lui rendais la pareille, son côté « autoritaire » me rendait soumise. Aussi me retrouvai-je plus souvent la seule nue, à ses côtés, que toutes les deux dévêtues... Ce qui ne me gênait nullement tant j’aimais qu’elle s’occupe de moi. Je m’abandonnais corps et âme dans ses bras. J’avais tant besoin de me sentir aimée que pour rien au monde je ne l’aurais empêcher de glisser ses mains sous mes jupes ou de me dévêtir. Je trouvais cela normal et si bon.. que tout naturellement, je la laissais diriger ces moments-là.

Je revivais... ou du moins, ne vivais plus que pour elle. J’accordais une énorme importance à tout ce qu’elle me disait, j’avais besoin de ses conseils, de ses directives. J’avais adopté en sa présence le style qu’elle souhaitait : jupe, talons plats. Nous avions ensemble renouvelé ma garde robe. Les rares fois où je n’avais pas suivi ses directives me valurent de gros yeux, des remontrances, et même des menaces de punitions que ma « petite maman » pourrait me donner, illustrées par de petites tapes sur mes jupes... A l’inverse, mon obéissance me valait de douces et tendres récompenses de plus en plus délicieuses. Je lui confiais de plus en plus mes petits secrets ; l’indifférence de mon mari qui ne voyait ni ne remarquait rien, absorbé qu’il était par son travail. A l’inverse, j’avais l’impression que mes enfants sentaient qu’il se passait quelque chose. Je leur accordais encore plus d’attention, mais ils semblaient connaître mes failles et en abusaient. Bien que mal à l’aise, je continuai à les éduquer tels que je l’entendais, mais ils arrivaient à me faire mettre en colère. J’en arrivais à les corriger sévèrement et je m’en voulais.

Je n’étais pas très bien dans ma peau, pas si fière de cette liaison, mais après tout, mon mari n’avait que ce qu’il méritait. De plus, je fumais beaucoup, et cela en cachette de Catherine.

Je lui parlais de tout cela et surtout de mes colères envers mes enfants. Elle me dit qu’elle avait connu ça également mais que maintenant elle ne se mettait plus en colère et que tout allait mieux. Elle me confia que l’achat d’un martinet avait tout changé dans sa méthode ; que le seul fait d’aller le chercher lui permettait de se calmer et d’éviter des excès ; que depuis qu’elle l’avait, elle obtenait plus d’obéissance et que sa seule menace souvent suffisait à faire obéir.

Je l’écoutais avec intérêt, bien que troublée. Elle me confirma qu’elle l’utilisait autant sur sa cadette que sur son aînée de quatorze ans, ce qui m’étonna tout de même. Mais il est vrai que je trouvais cette grande fille extrêmement obéissante, exceptionnellement gentille et bien élevée.
Je lui parlais de mon enfance et des terribles souvenirs liés à cet instrument que ma mère mania fort tard à mon égard. Je lui avouais que je n’imaginais pas m’en servir moi aussi, que je considérais un peu cela comme un échec. Elle me dit qu’elle aussi pensait comme moi autrefois mais que maintenant elle disait le contraire et que ça ne me coûtait rien d’essayer.

— Réfléchis, me dit-elle. Compare tes enfants et les miens et tu ne peux que te rendre à l’évidence.

J’ai pu assister chez elle à des scènes où sa grande fille obtempérait à la seule menace du martinet. Alors que chez moi les affrontements se multipliaient. Je commençais à menacer mes enfants de l’achat de cet instrument. Je me surpris même à le leur promettre pour Noël, ce qui me fit un peu honte car je trouvais cette menace un peu sadique.

Notre relation était au beau fixe et devenait de plus en plus intime. Nos après-midi étaient entièrement consacrées à nous jusqu’à quatre heures et demi où nous récupérions nos progénitures. Nous passions des heures entières chez l’une ou chez l’autre, à bavarder, à nous occuper de tâches diverses et surtout à nous aimer. Elle gardait son emprise sur moi, me guidait dans mes choix, mes tenues, mes relations familiales. Elle attendait de moi que j’obtempère, avec toujours un ton un peu menaçant et des allusions de plus en plus fréquentes à des punitions qui pourraient m’arriver. Sa main de plus en plus souvent venait gentiment claquer mes fesses soit sur ma jupe, soit parfois en la soulevant... Mais il arrivait aussi que sa main parfois vienne s’abattre doucement sur mes fesses dénudées lors de nos moments plus intimes.

Je n’étais pas une adepte du collant, je trouvais cela peu hygiénique, accordant ma préférence aux bas auto-fixant, ou plus rarement tenus par porte-jarretelles. Elle était du même avis et m’avais dis qu’elle avait horreur des collants pour elle et ses filles (terme où désormais elle m’englobait).

Un jour où j’étais en retard pour la rejoindre, ce dont elle avait horreur, et ne voulant pas l’agacer, je finissais de m’habiller à la hâte. Je filais un bas en le passant, énervée j’en passais une autre paire que je filais également. Furieuse, ne trouvant plus de paire assortie à ma tenue, je passais un collant, me glissais dans mes mocassins et courais la retrouver. Elle m’accueillit en regardant sa montre. Elle ne manqua pas de soulever ma jupe pour m’administrer une petite tape.. et vit le collant... Fâchée, elle me regarda sévèrement et me dit en haussant le ton :

— Tu sais ce que j’ai fait à ma fille qui m’avait pris mes collants pour aller au collège ?

Je baissais les yeux comme une gamine prise en faute, sans répondre.

— Et bien elle a reçu le martinet sur les fesses etles cuisses et elle est retournée au collège en socquettes.

Je frémissais à ces mots sans oser la regarder.

— Alors je te conseille de les ôter, me dit-elle.

— Là ? Maintenant ? Dis-je.

— Oui. De suite.

Mortifiée, je m’exécutais et restais jambes nues avec elle cette après-midi là. Au moment de partir, j’osais lui demander si je pouvais remettre mes collants. Elle me regarda durement et me demanda si je voulais qu’elle me traite comme sa fille ! En riant, elle me proposa des socquettes. Vexée, je m’en allais, mortifiée, les jambes nues et piquées par le froid. Ce retour me mit dans tous mes états. Je m’en voulais de l’avoir provoqué mais aussi j’étais vexée de la manière dont elle me traitait ; m’inquiétant et me trouvant folle d’accepter cela.

Les vacances de Noël nous ont séparées quelques temps. Son absence me pesait, je n’étais pas à prendre avec des pincettes. Mon mari en faisait les frais et les enfants en abusaient. Elle m’appela une fois au téléphone. Je lui narrais mes problèmes avec les enfants. Elle me dit que je n’avais qu’à suivre ses conseils. Je lui avouais aussi que je fumais beaucoup. Elle me dit, énigmatique, qu’à la rentrée il allait falloir songer à s’arrêter.

Ce mercredi de la rentrée elle était chez moi avec ses enfants. C’était la première fois que nous étions ensemble avec nos progénitures. Ils devinrent vite intenables, on ne s’entendait plus. Je finis par me lever, aller dans la chambre, crier un bon coup, menaçante et vociférante, puis revins reprendre notre conversation, énervée. Elle souriait.
Deux minutes plus tard, le vacarme reprenait. Je me relavais, furieuse, elle m’arrêta aussitôt :

— Laisse-moi faire, dit-elle.

Elle appela ses filles et, très calmement, les menaça, devant les miens, d’une fessée au martinet à leur retour à la maison si elle devait encore leur faire une seule remontrance... Le reste de l’après-midi se déroula dans le plus grand calme.
Elle me fit la leçon et me dit que je devrais vraiment acquérir un martinet, que j’en serais d’autant plus calme.
Je fus bien obligée d’en convenir.

Je la revis le lendemain, j’étais décidée à lui dire que j’étais enfin résolue à changer mes méthodes éducatives, mais elle ne m’en laissa pas le loisir. Elle me trouva très excitée. Elle me demanda durement :

— Combien as-tu fumée de cigarette aujourd’hui ?

Sans arrière pensée j’ai ouvert mon paquet et compté ce qui manquait.
Elle me dit :

— Donne-moi ce paquet !

Je réagis et dis :

— Oh ! Non, pas ça !

— Allons Nathalie, donne-moi ce paquet ! Tu te ruines la santé, il est temps que ça cesse. Je ne veux plus que tu fumes !

— Oh ! Mais non, ça suffit, oh !... t’as pas le droit, non !

— Nathalie, pour une fois tu vas m’écouter. Tu vas me donner ce paquet et tu vas arrêter définitivement. Tu es accro, tu es dépendante, prisonnière et tu pues. Alors si tu veux continuer à me voir, tu me promets d’arrêter ! Sinon, tu peux t’en aller !

Sur ce, elle m’ouvrit la porte et me dit :

— Choisis !

Je la regardais, époustouflée. Tout semblait s’effondrer. Je ne savais plus ni que penser ni que faire. Je la regardais, espérant un geste de sa part, mais elle restait plantée là, désignant la sortie. Je craquais alors et me mis à pleurer. Elle ne fléchit pas et me poussa dehors en me disant :

— J’attends de tes nouvelles.

Je me retrouvais en larmes dans la rue.

Le lendemain je l’évitais ostensiblement à l’école où elle n’était pas. Me morfondant et n’y tenant plus, je l’appelais le surlendemain. Elle me laissa parler, sans dire un mot. Je m’empêtrais dans une demande de pardon.
Elle me dit :

— Nous verrons cela mais viens-en au fait.

Je lui bredouillais donc que j’acceptais de cesser de fumer. Elle me le fit répéter très clairement et me dit :

— Je serai toujours intransigeante et gare à tes fesses si tu recommences. Tu as bien compris !

— Oui Catherine, je le promets.

— Et bien tu viendras me le dire de vive voix.

— Oh ! oui Catherine, je viens.

— Non non, tu viendras quand je le déciderai, je t’appellerai, je dois réfléchir à ta punition pour ton attitude à l’école hier.

Elle ne m’appela que le surlendemain, laconique.

— Je t’attends avec ton paquet. Tu as, je crois, des choses à me dire... Ah !
Et puis j’ai bien réfléchi, alors prépare tes fesses !... Tu peux encore choisir, rajouta-t-elle avec malice en raccrochant.

La journée fut des plus longues, sa menace me troubla terriblement. Tous les quarts d’heures je changeais d’avis entre l’idée de ne plus la revoir, l’amour que je lui portais et l’envie de la revoir. Finalement, malgré la peur qui me tenaillait le ventre, je sonnais à sa porte. Elle me fit entrer et, se plantant devant moi, me dit :

— Et bien, je t’écoute.

Je me mis alors à lui débiter des excuses, qualifiant mon comportement d’infantile. Elle m’arrêta brutalement en me disant :

— Nous en reparlerons plus tard et je verrais si je dois accepter ou non tes excuses, mais tu as autre chose à me dire.

Je lui annonçais alors humblement.

— Catherine, je te promets d’arrêter de fumer à partir de cet instant. Voici mon paquet.

Elle le prit et me dit :

— Nathalie, qu’as-tu à ajouter ?

— Euh...

— Alors !

— ...

— Et bien !

— Euh...

Son ton devenait de plus en plus autoritaire et impatient.

— Je t’écoute !!

Je me tenais debout devant elle, la tête baissée, les mains jointes devant mes cuisses. Je fixais mes trotteurs. J’étais tellement craintive de son autorité que, rougissante et frémissante, je balbutiais :

— Et bien.. si je ne respecte pas ma promesse.. je.. euh..

— J’attends !!

Son ton me fit sursauter et je répondis :

— Je mériterais.. euh.. la.. la fessée.

— Bien, me dit-elle satisfaite.

J’étais rouge de honte. Ces paroles m’avaient retourné le ventre. Je n’arrivais pas à croire que je venais de prononcer ces mots là, que je venais de parler de fessée. Je n’osais plus lever les yeux.

— Maintenant, me dit-elle, sache que je suis décidée à appliquer ce que tu m’as demandé. Mais sache aussi que ton attitude à l’école m’a déçu et que je ne suis pas décidé à accepter tes excuses. J’ai donc décidé de te punir. Tu peux encore refuser mais si tu veux rester, tu vas recevoir une fessée, ce sera mon pardon et cela te donnera un avant-goût de ce qui t’attend si tu touches encore une cigarette.

« ...recevoir une fessée... », ces mots résonnaient dans ma tête. J’étais paralysée d’angoisse. Elle me dit :

— Rejoins-moi dans ma chambre ou bien va-t-en.

A cet instant je la détestais, mais après deux minutes de réflexion je frappais à sa porte, en larmes...

Assise sur le bord de son lit, elle me désigna ses cuisses, sans un mot. J’approchais et, résignée, m’allongeais en travers de ses genoux. Toujours sans un mot elle releva ma jupe et, d’un geste autoritaire, fit glisser ma culotte le long de mes jambes et l’ôta. Je me retrouvais ainsi, en travers de ses genoux, les fesses nues, offerte. J’étais morte de honte. Je n’arrivais pas à croire qu’à mon âge je puisse me retrouver dans une telle position, dans l’attente de recevoir une fessée, de plus est, de la part d’une femme de mon âge. Pourtant je ne bougeais pas.. j’attendais.. et la fessée tomba, terrible et cinglante.

Au début j’ai mis tout mon amour propre à ne pas bouger ni crier mais elle avait sans nul doute décidé de me claquer les fesses jusqu’à mes suppliques.
Bien vite mes fesses me brûlèrent jusqu’à devenir insupportables. Je finis par crier, puis supplier, puis implorer son pardon. Elle arrêta alors et me dit :

— Cette fois-ci j’accepte.

J’étais en larme, les fesses brûlantes et elle me consola...

Cet épisode restera gravé à jamais dans ma mémoire.

J’ai eu le plus grand mal à arrêter de fumer mais la motivation était cuisante. J’ai failli craquer plusieurs fois. Elle ne manquait pas de me rappeler ses menaces.

Quand elle venait chez moi, elle menait son inspection mais ne réussit pas à me mettre en défaut. Je me rattrapais beaucoup sur la nourriture et avais un sale caractère.

Les enfants, j’en ai très honte, ont eu à pâtir de mon irritabilité. J’ai eu la main leste et lourde, je m’en suis beaucoup voulu. J’en parlais à Catherine au cours d’une de ses visites ; lui parlant de mon poids, de mes difficultés à tenir ma promesse, de mes colères maternelles. J’étais en peignoir. Me serrant contre elle, elle m’apaisa, écarta mon peignoir, me caressa.. puis fermement me claqua les fesses et me dit :

— Ne craque pas Nathalie ou sinon... Bon allez, ressaisis-toi et habilles-toi, nous allons faire des courses.

Elle m’emmena dans une droguerie et en entrant me dit :

— C’est toi qui demande.

Inutile de me faire un dessin, je compris instantanément. Morte de honte, je demandais d’une petite voix :

— Euh.. je voudrais un martinet s’il vous plait.

On m’en décrocha un que je mis prestement dans mon sac, je devais être cramoisie. En sortant, Catherine me dit :

— Fais-en bon usage ma chérie, il te faut te calmer. Tu verras, tu me remercieras.

Le soir même, il était accroché dans la cuisine, il y est toujours... et je dois admettre qu’elle avait plusque raison.

Cet achat ramena le calme à la maison, ce qui me permit de tenir mes engagements. Je retrouvais une grande sérénité et nous nous retrouvâmes, calmes, tendres et douces.

J’étais bien avec elle et nous passions de délicieuses après-midi.

Nous coulâmes alors un printemps heureux, j’étais radieuse, tout allait bien, même mon mari me trouvait en forme... Catherine restant exigeante sur le tabac bien sûr.

Elle me guidait dans mes choix et m’orientait avec tact. Tous mes actes étaient à présent sous son contrôle, j’en avais conscience mais je trouvais cela si bon. Je lui obéissais totalement. Elle ne manquait pas une occasion de me rappeler son autorité et je savais que ses menaces n’étaient pas en l’air et n’avaient rien à voir avec les quelques petites claques amoureuses que je recevais parfois sur les fesses.

Notre intimité grandissait et je pouvais me rendre compte de son extrême rigueur, avec son aînée en particulier. Nous en parlions souvent et elle me conseillait d’agir de même avec les miens.. et ajoutait :

— Comme je pourrais te traiter si tu n’obéissais pas...

Un jour où je me déshabillais devant elle, elle assise moi debout, dans sa chambre, elle me regarda fixement et me dit :

— Tu sais ma chérie, finalement je trouve que tu fais un peu vulgaire avec tes porte-jarretelles, je préférais que tu n’en mettes plus.

Étonnée, je lui demandais quelques explications. Elle me dit qu’elle me désirait plus jeune fille que femme...

— Comme ma fille, précisa-t-elle. Tu sais bien que tu es ma fille aînée, dit-elle en riant.

— Voyons Catherine, tu ne vas pas me faire habiller comme ta fille, répondis-je, timidement.

— Pourquoi pas, dit-elle... Allez, enlève-moi ces porte-jarretelles !

— Que veux-tu que je mette, mes bas vont tomber. Je ne vais pas aller jambes nues.

Elle souriait.

— Ôte-les aussi, je vais te trouver quelque chose.

Elle revint avec des chaussettes blanches et hautes de sa fille.

— Non Catherine, je ne vais pas mettre ça.

J’étais juste en soutient-gorge et culotte ; les jambes et les pieds nus.

— Mais si allons, tu seras mignonne.

— Oh ! non, je ne veux pas.

— Nathalie, ne m’oblige pas à te traiter comme une gamine !

Je résistais :

— Non Catherine, je peux pas mettre ça, c’est ridicule.

— Nathalie, ne me force pas à sévir !

— Oh ! mais ça va pas enfin !

Exaspérée par ma désobéissance, elle m’attrapa sèchement par le bras, m’attira d’autorité vers elle, me retourna sur ses genoux, remonta ma jupe et me mit une série de claques sur la culotte.

— Tu vas obéir ?

— Aïe, non, je ne veux pas.

— Attends, tu vas voir !

Elle me fit basculer avec force et autorité sur le lit, à plat ventre. Puis elle se précipita sur ma culotte et me la descendit aux genoux.
Je me débattais mais en vain. Je reçus une magistrale fessée. Les fesses en feu je criais. Chaque claque me faisait me cambrer sous la douleur de sa main redoutable.

— Tu vas obéir oui ou non ?

Je refusais et l’avalanche de claques reprit sur le haut de cuisses, le haut des fesses. Je hurlais etfinalement suppliais.

— Alors, tu obéis ?

— Oui, oui, arrêtes.

— Tu vas mettre les chaussettes ?

— Oui, oui, c’est promis.

— Bien.

Elle me relâcha. J’étais aussi rouge des fesses que des joues, larmes aux yeux, prête à craquer mais elle ne me laissa pas de répit et me tendit les chaussettes.

— Allez, passe les et vite !

Je remontais ma culotte et enfila les chaussettes hautes en hoquetant, furieuse et les fesses bouillantes.

— Bien, remets tes chaussures maintenant. Et bien tu vois, pas de quoi fouetter un chat. Tourne-toi.. hum.. tu es superbe ainsi.

J’étais mortifié, n’osant la regarder.

— Oh ! Catherine je t’en pris, j’ai trop honte comme ça.

— Mais non ma chérie, tu es très belle.

Et elle me prit dans ses bras et me caressa.

— Tu as mal n’est-ce pas, dit-elle en caressant doucement mes fesses, alors qu’il te suffisait d’obéir.

Elle m’embrassa tendrement.

— Allez, sèche tes larmes et viens prendre un café.

Assise dans la cuisine, je ne disais plus rien. Je fulminais en sentant la chaleur persistante de mes fesses, remuant mon café, boudeuse. Elle me fit une leçon de morale, me disant qu’elle n’acceptait pas que je lui résiste ainsi pour des peccadilles. Je ne répondais pas, le nez dans ma tasse.

— Je souhaite que ça te serve de leçon, me dit-elle en conclusion. Allez, c’est l’heure, allons chercher les filles.

— Quoi ? Tu ne veux pas que je sorte ainsi ?

— Mais si ma chérie, allons.

— Oh ! Mais tu n’y pense pas. Oh non, pas à l’école, non Catherine non, je ne pourrais jamais...

Elle ne m’écoutait plus, le regard fixé derrière moi... Je le suivis et compris qu’elle regardait le martinet accroché à son clou derrière mon dos. Je sursautais, désespéré.

— Oh ! Non !

— Nathalie, on y va ? Le regard toujours fixe, le ton très sec.

Je baissais la tête et fit oui. Elle alla ramasser mes bas et mon porte-jarretelles et les mis dans son armoire. Nous sortîmes. J’avais l’impression que tout le monde me regardait et surtout les gamines à l’école.
Ce fut une épreuve terrible, j’avais peur qu’au retour ma fille me fasse une réflexion, mais il n’en fut rien.

Rentrée à la maison, je m’empressais de me changer, non sans regarder au passage l’aspect rougeoyant de mes fesses encore chaudes.

Le lendemain, au téléphone, elle me dit qu’elle voyait bien peu de différences entre des dim-up et des bas, et quand je lui demandais si elle exigerait toujours les chaussettes, elle me répondit :

— Non. Seulement quand je te le demanderai. Seulement quand je déciderai qu’en apparence tu devras être ma grande fille.

Puis, elle s’enquit de l’état de mes fesses et me demanda si j’avais définitivement rangé mes port-jarretelles et qu’elle viendrait vérifier. Ce qu’elle fit l’après-midi même. Elle tria toute ma garde robe, faisant deux tas, éliminant mes pantalons, les dessous qu’elle jugea trop osés : porte-jarretelles, culottes échancrées, balconnets, etc. Elle élimina toutes mes chaussures à talons. Je la regardais, penaude :

— Que comptes-tu faire ?

— Rien, dit-elle. Tu vas ranger soigneusement ce tas qui t’est inutile maintenant... Et gare à toi si je te surprends un jour avec !

— Mais tout de même, pour sortir, tu pourrais me laisser des escarpins par exemple.

— Que je te vois seulement avec ! Dit-elle avec un regard sévère.

Je ne rechignais que pour la forme, me disant que les beaux jours arrivaient et que tout ceci serait rangé pour six mois. Et puis, je savais que toute rébellion l’irriterait.

— Ah ! Au fait, me dit-elle, je t’ai ramené ce que tu as laissé à la maison hier, que j’ai mis avec deux pairesde chaussettes hautes.

Je pris les chaussettes et les mis dans mon tiroir, sans un mot. Elle termina en disant :

— Et bientôt nous nous occuperons de ta garde robe d’été qui ne me dit rien de bon.

Nous finîmes l’après-midi au lit sous de délicieuses caresses. Ces moments effaçaient l’emprise de plus en plus grande qu’elle prenait sur moi.

A la maison, les choses n’étaient pas si simples. Avec les enfants tout se déroulait assez bien. Je ne m’énervais pratiquement plus, ils obéissaient mieux, beaucoup mieux même. Les fessées étaient moins fréquentes ; le martinet menaçant, cinglait sans excès. Seul bémol, les résultats scolaires de mon aînée : pas fameux.

Avec mon mari par contre, rien n’allait plus. Pourtant plus calme, je n’arrivais plus à faire semblant. Je me cherchais. Cette relation avec Catherine me troublait de plus en plus, c’était ma première relation avec une femme. Je me demandais où cela pourrait me mener. Je sentais que j’étais au bord du clash avec mon mari mais me retenais. Je n’osais pas parler de cela à Catherine, sachant qu’elle ne serait pas objective. Une chose était sûre, je l’adorais. Mais je ne voulais pas détruire mon mariage non plus. J’imaginais même dire la vérité à mon mari. Il était gentil. Il me proposa un week-end en amoureux que j’acceptais bien volontiers. J’en parlais à Catherine qui fit naturellement plutôt la moue, mais pas d’autre commentaire. Je demandais à ma mère de venir garder les enfants.
Elle arriva le vendredi. La veille j’avais passé l’après-midi avec Catherine qui, manifestement, faisait la tête, me voyant un peu excitée par ce week-end.

Ma mère s’installa. Je lui faisais les quelques recommandations d’usage quand, dans la cuisine, elle remarqua le martinet et ne put s’empêcher de dire, amusée :

— Oh ! Ma chérie, je vois que tu t’es rangée à de saines méthodes éprouvées.

Devant les enfants, elle commença à dire que j’avais reçu de bonnes fessées avec, et que mes mollets aussi avaient goûté ses morsures, et cela, jusqu’à un âge assez avancé, prétendant qu’une bonne fessée peut se donner à tout âge.

— Allons maman, je t’en pris, dis-je un peu embarrassée, presque rougissante.

— Voyons, ne sois pas gênée ma chérie. Et puis tu sais, une bonne fessée est toujours bénéfique quand on la mérite.

Puis elle ajouta tout naturellement :

— Même à ton âge ma chérie...

Ces mots me mirent mal à l’aise : « Tu ne crois pas si bien dire... » pensai-je.
Mettant fin à la discussion, je filais me préparer. Nous prenions l’avion dans quelques heures.

Nous sommes partis à la hâte. Arrivés à l’aéroport, nous courrions presque vers l’embarquement lorsque je vis Catherine devant le guichet. Époustouflée, je lui demandais :

— Que fais-tu là ?

— J’attends des amis, me dit-elle avec assurance.

Je la présentais à mon mari. Nous embarquions dans quelques minutes. Elle m’embrassa et me glissa à l’oreille :

— Bon week-end ma chérie.

Et elle ajouta :

— Quant à ta tenue, nous en parlerons lundi mais je crois que celle-ci pourrait bien te valoir le martinet...

Et elle se sauva. Elle venait de me gâcher ce week-end. J’étais folle de rage. Tout d’abord son intervention dans mon intimité conjugale. Ensuite sa menace du martinet pour ma tenue. En effet, j’étais en chemisier et pantalon, avec de jolies chaussures à talons hauts. Mais de quoi se mêlait-elle ? J’étais furieuse, elle venait de dépasser les bornes. Mon week-end était plus que gâché, et plutôt que d’envisager l’avenir avec mon mari, je le passais à imaginer avec inquiétude l’avenir avec elle.
J’étais désolé de l’échec de ce voyage. Mon mari n’y comprenait plus rien, j’en étais malade. Le retour fut aussi dur que la scène du départ. Je ne savais plus que faire.

Le lundi, je l’appelais, furieuse. Elle me laissa débiter mes récriminations et me dit calmement :

— Un, j’espère que tu as passé un bon week-end. Deux, je suis très fâchée de la tenue que tu portais.

— Là n’est pas le problème, lui dis-je.

— Si ! Dit-elle sèchement. Alors écoute-moi bien, si tu veux continuer à mettre des pantalons arrêtons là, sinon je t’attends chez moi, en jupe et chaussettes, et attends-toi à être sévèrement punie !

Et elle raccrocha.

Je ne savais plus où j’en étais, mais je réalisais que, soit je ne la voyais plus, soit j’y allais ; pas d’alternative. Ma détermination à ne pas me laisser faire me laissa dans un état d’effondrement total. J’avais le sentiment de tout gâcher. C’était horrible. J’avais besoin d’elle, je ne pouvais que l’admettre, je voulais en parler.

Je la rappelais le lendemain pour tenter de dialoguer, je la suppliais d’accepter une rencontre dans un bar. Pour toute réponse, elle me dit :

— Je ne reviendrai pas sur ce que je t’ai promis, je t’attends toujours mais chaque jour de retard aggrave ta punition, réfléchis vite ! Le martinet t’attend !

J’étais terriblement bouleversée, inquiète, avide de la retrouver et me traitant à nouveau de folle d’accepter ce traitement cinglant.

Le mercredi après-midi, je sonnais chez elle.

— Qui t’a permis de venir aujourd’hui ? Me dit-elle. Tu sais très bien que je m’occupe de mes filles. Tu pensais peut-être t’en tirer à bon compte ? Reviens demain mais téléphone avant, je te dirai si je suis disposée à te punir.

Et elle me ferma la porte au nez. Je m’en retournais, mortifiée.

Le lendemain, je l’appelais et, d’une petite voix résignée, lui disais que j’étais prête à venir. Elle me dit que ma désobéissance vestimentaire méritait cinq coups de martinet, plus trois coups par jours de retard.

— Fais le compte et viens réclamer ta punition à treize heures.

La matinée fut horrible, je ne pensais qu’à ce châtiment qui me terrifiait. Ça faisait quinze ans que je n’avais plus reçu les terribles lanières, j’en étais terrifiée et m’en voulais là aussi de ma résignation à accepter cela d’elle.

Je remis mes chaussettes hautes, mes mocassins et sonnais chez elle à l’heure dite.

— Entre, me dit-elle.

Aussitôt je remarquais le martinet posé sur la table basse. Elle s’assit.

— Je t’écoute !

Debout, penaude, je murmurais :

— Euh ! Catherine, je suis fautive de t’avoir désobéi vendredi en prenant l’avion.

— Plus fort, dit-elle. Oui, fautive en quoi ?

— Et bien.. en ayant mis un pantalon.

— Oui, et puis ?

— Et des talons.

— Oui, et puis ?

— Euh ! C’est tout.

— Qu’avais-tu comme dessous ?

— Non, je t’assure, lui dis-je dans un sursaut. Une culotte et un soutient-gorge sages.

— Tu es sûre ? Et sur les jambes ?

— Des mi-bas, je t’assure Catherine.

— Bon, je veux bien te croire. Et qu’est-ce que cela mérite ?

— Euh... la fessée...

Ce mot sortant de ma bouche me troublait terriblement.

— Oui, la fessée comment ?

— Euh... déculottée...

— Bien sûr, mais avec quoi ?

Ventre noué, je prononçais :

— Au martinet...

— Exact, combien de coups ?

— Euh... cinq.

— Cinq en effet, mais qu’as-tu d’autre à me dire ?

— Et bien.. que j’ai tardé à venir m’excuser.

— Disons plutôt à venir recevoir ta punition. Et tu asattendu combien de jours ?

— Euh.. quatre.

- Ce qui mérite ?

— Euh... douze coups.

- Tu comptes bien en effet, auxquels je rajouterai trois coups pour ta piteuse tentative de mercredi après-midi, ce qui fait un total de ?

— Oh non Catherine ! Je t’en supplie, pas tant !

— Réponds et ne m’énerve pas !

— Euh !.. vingt coups.

— Que tu va recevoir sur le champs ma petite désobéissante.

Elle se leva. Je le revois encore dans sa robe bleue-marine et ses mules hautes. Elle saisit le martinet et, menaçante, me dit :

— Enlève ta jupe !

Larmes aux yeux, je la dégrafais, l’ôtais et la posais sur la table.

— Ta culotte maintenant !

Je l’ôtais également, j’étais morte de honte en chemisier et chaussettes.

— Mets-toi face à la glace et croise tes mains devant.

Je me vois encore devant la cheminée, dans ce miroir, honteuse et ridicule, les mains devant mon pubis. Elle se mit sur le côté et leva le bras. Ce premier coup est marqué dans ma tête autant qu’il marqua mes fesses. Impossible d’éviter à mes mains de se porter à mes fesses.

Durement elle me dit :

— Remets tes mains devant ! Ce coup ne compte pas, je recommence.

Vingt fois, implacables, les lanières ont meurtri mes fesses malgré mes cris et mes larmes. Je ne crois pas qu’elle m’ait fouettée très fort mais cette punition m’a terriblement meurtrie physiquement et moralement. Au dernier coup, je tombais à genoux, secouée de sanglots. Mes fesses étaient en feu, je sentais les stries me brûler intensivement. Elle se campa devant moi, j’avais mes yeux sur ses mules et je voyais pendre les terribles lanières de cuir.

— Allez, lève-toi et viens demande pardon.

Incapable de me lever, j’enlaçais ses jambes.

— Oh Catherine ! J’ai si mal, dis-je entre deux sanglots.

— Demande pardon !

— Oh Catherine ! Je t’en prie, pardonne-moi.

— Tu es pardonnée, allez debout.

Elle me releva et m’embrassa en léchant mes larmes. Elle me fit tressaillir en caressant mes fesses.

— Viens, je vais soulager tes brûlures.

Elle m’emmena dans la salle de bain où je vis mes pauvres fesses sévèrement zébrées. Elle m’appliqua doucement une pommade apaisante tout en calmant mes larmes.

— Allez, rentre chez toi, je prendrai les enfants.

Je rentrais avec quelques difficultés à marcher ; je n’étais même plus consciente de ma tenue infantile. Je me suis jetée sur le lit et j’ai pleuré jusqu’au retour des enfants.
Le lendemain, j’avais encore les marques. Je me demandais si j’étais bien normale. Je me posais la question de me faire traiter par un psy. Mais le tourbillon de l’amour me rapprocha encore plus d’elle. J’en étais presque à considérer que je méritais ses fessées. LIRE LA SUITE


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