2 - Les aventures de Thérèse
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DEBUT DE L’ACTE 2
Maître me fit entrer dans une grande pièce composée de plusieurs niveaux. Le sol, carrelé à l’ancienne, était par endroit recouvert de tapis. Des meubles de facture rustique, mais aussi d’étranges appareils, composaient le mobilier de cet endroit. Des poutres apparentes, typiques dans ce genre de gentilhommière, habillaient le plafond.
Bien que nue, je n’avais pas froid car toute la décoration poussait à se sentir bien et distillait en moi une certaine chaleur.
Mon regard s’habituait à la semi-obscurité qui couvrait l’ensemble de la pièce et je découvris au fur et à mesure les détails de sa composition. Très absorbé dans mon observation, je ne fis pas attention à ce que me disait Maître Jean. Grave erreur de ma part puisque je ne devais me préoccuper que de lui. Pendant cette phase de mon apprentissage, même mon mari n’avait pas la priorité...
« Votre femme n’est pas très concentrée il va falloir l’habituer à bien écouter. J’ai une idée ! Pour débuter son programme de dressage je vois qu’elle a une magnifique poitrine qui ne demande qu’à être travaillée. Après ce traitement, je crois qu’elle n’en sera que plus attentive et beaucoup plus réceptive ! »
Deux hommes que je n’avais pas senti venir, m’empoignèrent rudement et me menèrent à un étrange appareil que j’avais repéré lors de mon entrée dans la pièce. Il était composé d’une petite estrade métallique d’environ trois mètres sur trois mètres. Des poutres métalliques, aux quatre coins, supportaient un toit de la même dimension que l’estrade.
Deux anneaux étaient fixés sur des glissières encastrées dans le sol de l’estrade. Au plafond, pendaient deux autres anneaux dépendant d’un système de cordage et de poulies, ainsi que deux crochets fixés à des cordelettes.
Les deux hommes m’attachèrent, aux poignets et aux chevilles, des bracelets de cuir sur lesquels étaient montés des mousquetons, puis ils me firent monter sur l’estrade. Ils n’eurent plus qu’à fixer les mousquetons aux différents anneaux pour que je me retrouve dépendante de cet étrange appareil.
L’un d’entre eux se dirigea vers un petit pupitre, il manipula différents leviers et finalement appuya sur un bouton. Un moteur s’enclencha, les glissières au sol se mirent à bouger, et le jeu de cordage et de poulies se mit en branle. Au fur et à mesure mes bras et mes jambes furent écartelés au maximum de ce que je pouvais humainement supporter. Je n’étais plus qu’une croix de Saint-André humaine… Dans cette position mon sexe glabre et mon anus étaient largement exposés. J’avais terriblement mal mais je sentais que ce n’était que le commencement de mes souffrances ! LIRE LA SUITE
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