5 - Les aventures de Thérèse
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DEBUT DE L’ACTE 5
Allongée sur le sol, j’entendis les hommes se concerter. J’étais le sujet principal de leurs conversations.
La plupart félicitaient Maître Jean d’avoir trouvé une recrue aussi salope.
D’autres faisaient des suggestions sur ce que je devrai subir dans le futur : doubles, voir triples… pénétrations ? Serais-je fouettée ? Aurai-je à subir l’assaut des animaux de la ferme ? Etais-je à vendre ?
Ces conversations me donnaient des sueurs froides tant elles étaient horribles. Mais cela, je l’avais compris, faisait partie de ma formation et je ne pouvais plus reculer.
Deux femmes nues, dont l’anus était godé, vinrent alors me chercher et m’emmenèrent dans une immense salle de bains. Un petit lavement anal et vaginal me fut administré puis je fus nettoyée, briquée et parfumée. Un onguent fut appliqué délicatement sur mes tétons et mon clitoris, de nouveau ma chatte et mon cul se virent appliquer le lubrifiant hydrosoluble et je fus ramenée dans la grande salle.
Je découvris alors qu’une nouvelle mise en scène avait été mise en place. Un podium rond, violemment éclairé, sur lequel était installé un long banc recouvert de cuir noir dont les bouts étaient rehaussés d’appuis-tête. Cela ressemblait fortement à des bancs utilisés dans les salles de gymnastique pour les exercices d’haltérophilie.
Autour de ce podium, des hommes, des femmes avaient été installés comme pour un spectacle de cirque. Je devinais d’emblée que j’allais en être l’actrice principale.
Tenue à l’écart pendant quelques minutes qui me parurent interminables, je vis arriver deux hommes noirs d’ébène, nus. L’un d’entre eux était celui qui m’avait longuement défoncé dans mes trois orifices sur la table de verre. Leurs sexes étaient au repos et je vis que le deuxième, celui que je ne connaissais pas, n’avait rien à envier à son acolyte. Sa bite me semblait même plus grosse et plus longue ! Doux euphémisme !
Ils montèrent sur l’estrade et s’installèrent sur le banc d’une curieuse façon. Ils étaient allongés sur le dos, leurs têtes reposants sur les appuie-têtes, les jambes pendantes de chaque côté du banc, les pieds arqués très en arrière. Dans cette position, leurs sexes toujours au repos, étaient très rapprochés l’un de l’autre.
C’est alors qu’apparut Maître Jean…
Il m’ordonna d’avancer vers le podium sous les sarcasmes et les réflexions salaces des spectateurs.
Une flopée d’ordres se succédèrent :
— Mettez vous à genoux !
— Sucez-les pour les mettre en forme !
— Prenez soin de bien leur lécher les bourses et enfoncez bien leurs vits au fond de votre gorge de suceuse !
— N’agissez qu’avec votre bouche sans utiliser vos mains !
— Laissez les guider votre tête comme bon leur semble !
En quelques secondes, sous les assauts de ma bouche et de ma langue, aidée par la profondeur de mon avalement, leurs sexes se dressèrent vers le ciel, tels deux mâts de tentes énormes. Ma bouche, pourtant assez grande, avait du mal à les contenir. L’un était plus noueux et moins long que l’autre, mais ils étaient de toute façon hors normes ! Malgré mon expérience, je n’avais rien vu d’aussi phénoménal !
Je tremblais à l’idée que j’allais probablement les avoir dans mon sexe et dans mon anus et certainement simultanément… Mais cette expérience me faisait déjà mouiller et rien qu’à cette pensée un long orgasme me parcourut tout le corps interrompu brutalement par un violent coup de cravache sur mes fesses.
— Qui vous a autorisé à jouir ?
— Vous êtes une esclave tenez vous le pour dit. Pour votre punition vous recevrez 10 coups de plus. Commencez à compter et je ne veux pas vous entendre crier !
— Un… Ouch… Deux… Ouch
Je reçus mes dix coups sur les fesses. J’avais les larmes aux yeux mais je n’avais pas poussé un cri. J’étais fière de moi et de ce que je faisais pour l’amour de mon mari. J’espérais qu’il faisait parti de l’assistance et qu’il pouvait m’admirer ainsi, martyrisée.
Maître Jean m’ordonna alors de me lever puis de me mettre à cheval sur le banc, à l’aplomb des deux sexes bandés. LIRE LA SUITE
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