Petit cachou -2-

Deuxième set
mercredi 11 juillet 2007
par  Iron fist
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Je l’ai quittée le 30 juin vers 18 heures, notre séparation a été un peu chaotique, il faut dire qu’après l’après-midi de sexe éreintant que nous avions passé, il me fut fâcheux de découvrir que pendant ce temps, on m’avait dérobé ma moto, je dus donc à regret la laisser au métro afin de me rendre au commissariat pour le dépôt de plainte. Enfin ceci est de l’histoire ancienne.

Une dizaine de jours ont passé avant que nous nous revoyions, mais ce matin, j’ai rendez-vous avec elle, je vais la chercher en voiture et je lui ai demandé de mettre une robe, mais pas de culotte, ni même un string, j’ai envie de pouvoir caresser sa chatte si lisse dès qu’elle sera à bord de mon véhicule. Il est neuf heures moins cinq et nous avons rendez vous dans cinq petites minutes pour passer toute une journée ensemble

Elle appelle, me demande où je suis, je lui indique où je suis garé, « j’arrive » dit-elle.

Elle porte une jolie robe rose imprimée de fleurs blanches, des petites sandales noires à talon. Si jeune et déjà tellement femme, elle monte dans la voiture, m’embrasse,

« On y va... » comme si elle disait sans prononcer les mots « allons baiser, mon chéri »

Je soulève sa robe, je découvre un string mauve,

« Ne t’avais-je pas demandé de ne pas mettre de culotte » dis-je d’un ton un peu réprobateur.

« C’est à dire que je ne sais pas marcher sans en porter une »

« Eh bien tu es dans ma voiture maintenant, tu ne marches plus, tu peux donc l’ôter. Elle sourit, détache la ceinture de sécurité et entreprend de soulever sa robe, puis fait glisser le long de ses cuisses le petit triangle de tissu faisant rempart a mes caresses manuelles. »Ecarte les cuisses un peu plus, que je puisse glisser mon doigt au creux de ta chatte", elle s’exécute sans rechigner, mais plutôt en gémissant quand mon doigt parcourt sa fente en glissant sur son clitoris.

Elle porte sa main vers mon entrejambe, déboutonne la braguette de mon bermuda blanc, et caresse ma queue que j’ai ornée d’un double anneau d’acier enserrant la base de mon sexe et de mes couilles, elle sent la fraîcheur de l’acier

« Tu a mis quelque chose en plus » dit-elle agréablement surprise, à n’en pas douter vu le ton de sa voix, « qu’est-ce que c’est ? »

« Tu sauras quand tu verras, mais ça devrait te plaire, sache que c’est un ornement »

La circulation est aussi fluide que le glissement précédent de son string le long de ses cuisse et nous ne mettons guère de temps à rejoindre mon immeuble. Dans l’ascenseur, nos corps se soudent le temps de l’ascension, dans mon bermuda c’est aussi l’ascension, elle tripote ma queue à travers le coton, en se léchant les lèvres (les babines, je vous rappelle qu’elle est un peu cannibale)

A peine entrée, sa curiosité ayant atteint un sommet, elle n’y tient plus, finit de déboutonner mon bermuda et me l’ôte sans autre forme de procès, puis elle s’accroupit devant la porte d’entrée que je referme et se met à me sucer enfonçant ma queue bien à fond dans sa bouche.

Je saisis mon appareil photo et l’immortalise en train de jouer avec ma bite comme elle jouerait avec un sucre d’orge. C’est une suceuse de compétition, il n’y a pas à dire. Je relève sa robe, j’entrevois une petite partie de ce nouveau paradis personnel qu’est sa chatte pour moi, je bande pour elle, par elle.

Je la relève, elle entreprend de retirer sa robe,

« Non, laisse-la pour l’instant » dis-je, je l’emmène dans ma chambre, sur mon lit je la bascule, impudique, elle a relevée sa robe un peu plus et écarte les cuisse pour m’offrir la vue de sa chatte toujours aussi imberbe, je shoote avec mon appareil, dieu que cette jeune femme m’excite tellement elle est salope.

Je vais chercher un chapelet anal que j’enfonce sans vergogne dans son cul qui n’a pas fini d’en voir, et surtout d’en recevoir, je fais une courte pause, prends quelques photos
de sa chatte et de son cul qu’elle présente maintenant en levrette. Les balles bleues ressortent bien sur sa peau sombre, il en reste trois à l’extérieur, j’écarte son trou de balle et les lui glisse, seul l’anneau sur lequel je tirerai est dehors désormais. LIRE LA SUITE


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