7 Descente fétichiste
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Au salon trône un bas très spécial. Un peu d’action nous réchauffe avant de passer aux choses sérieuses.
Dans le salon, nous nous installons sur le canapé et les fauteuils pour assister au spectacle promis par la maîtresse.
Marie entre dans la pièce en poussant devant elle la troisième femme, toujours dans ses harnais compliqués de cuir mais sans les plateaux qui auparavant servaient à exposer les plats. Elle était toujours fixée comme une statue sur son piédestal et Marie pour ne pas avoir à la détacher de son socle la transporte avec un diable, comme un paquet, en fait comme ce qu’elle est en ce moment : une statue immobile de cuir. Elle lui avait retiré la « barre de Willie » qui semblait l’avoir beaucoup torturée durant le repas. Puis elle la place face au bar, qui est ainsi construit pour se refermer sur le corps de la malheureuse comme un carcan. En faisant basculer le socle elle la situe face à une encoche sur le plateau du bar, repose le corps ainsi incliné et rabat la deuxième portion du bar qui se referme sur son corps comme un carcan. Elle se trouve ainsi enserrée au milieu du bar, son buste et ses bras étroitement attachés à l’arrière au-dessus du plateau juste au niveau de sa poitrine abondante, toujours recouverte de lanières et d’un haut en cuir. L’un des hommes, son mari, m’explique qu’au fur et à mesure de la soirée nous dénuderons son buste pour y découvrir sa charmante poitrine. La position semblait très inconfortable pour cette femme qui était ainsi obligée de s’appuyer sur le devant du carcan. Mais comme elle avait sa bouche fermée par la même cagoule qui lui servait également de bâillon et qui recouvrait tout le bas de son visage, il lui était bien difficile de protester. Ses yeux étaient immenses, reflétant autant la peur que la honte perceptible d’être ainsi traitée. En effet, contrairement, aux deux autres, celle-ci n’avait pas été véritablement consentante, comme je me le fis dire par les deux autres convives. Une discussion s’engagea à ce propos et on se mit à parler de sa femme comme d’un objet. Je percevais qu’elle n’appréciait pas du tout la situation. J’avais aussi remarqué que Marie n’avait jamais vraiment libéré la malheureuse de ses liens étroits. Le mari nous expliqua que de toutes manières il allait la punir pour n’avoir pas consenti avec grâce à venir à ce dîner. Car, contrairement aux autres pensionnaires de cette maison qu’il faudra bien qualifier de « maison de dressage », elle ne séjournait ici que par intermittence, son mari préférant jouir de sa propriété, comme il nous l’expliqua, durant sa formation. « Je finirais bien par la faire obéir de gré ou de force et entre-temps je compte bien jouir d’elle ! » ajouta-t-il d’un air arrogant.
Ensuite, Marie se retire après t’avoir découverte de la couverture. Tu regardes avec étonnement l’étrange position de cette femme enserrée dans le bar, puis tu nous regardes interrogative, toujours emprisonnée dans tes liens et ton bâillon de plastique. La maîtresse de maison demande de l’aide pour te déplacer comme un vulgaire objet au milieu de la pièce, et nous te posons au milieu sur la table basse, là où tout à l’heure tu t’étais débattue. LIRE LA SUITE
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