10 Descente fétichiste

Episode 10 Les bambous de la douleur
mardi 2 mai 2006
par  kingliart
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Dans ta dernière épreuve dans la demeure de maîtresse, tu vas être liée par un complexe appareil de cordes et de bambous qui portera ton excitation à son comble.

***

La maîtresse de maison explique que ce bondage de bambous lui fut inspiré par un artiste, dessinateur hors pair. Debout, presque nue, corsetée, toujours vêtue de tes bas en latex transparents qui font briller tes jambes, perchée sur tes hauts talons, objet désirable et fragile, tu regardes, assez inquiète, la femme qui rassemble tout un ensemble de matériel inhabituel, des bambous, des élastiques et des cordes en abondance.

La maîtresse commence par attacher tes poignets derrière le dos. Puis elle se met à construire un assemblage étrange fait de bambous et de cordes. Elle nous explique alors :

L’assemblage se composera de deux armatures. La plus simple à monter est celle du haut, dont le but est d’immobiliser les bras et imposer une belle cambrure du dos. Le corset ne fera qu’augmenter la beauté de la chose. La seconde… mais ne brûlons pas les étapes.

Elle prend une bûche longue et épaisse, qui semble lourde qu’elle passe sous tes aisselles en te forçant à relever les bras d’autant plus que tes poignets, étroitement liés, t’imposent de relever les bras très haut pour former un angle presque droit par rapport au dos. La bûche est amarrée par des cordes sur le haut de tes bras mais son seul poids repose entièrement sur ton dos. Tu ploies sous le poids et te penche vers l’avant. Cela te déséquilibre et tu fais des pas en avant et en arrière pour retrouver ton point d’équilibre. Tes chaussures à talons élevés te font marcher presque sur la pointe des pieds et cela rend tes mouvements précaires et instables. A deux reprises, la maîtresse te retient pour ne pas tomber.

Une fois immobilisée à nouveau et souffrant de ce poids, comme si cela ne suffisait pas, la maîtresse te pose un bambou dans le creux du dos et le passe entre les liens des poignets pour l’immobiliser par des nœuds savants. Tes mains sont relevées un peu plus, en te forçant à te pencher. La forte pression du bambou dans le bas du dos t’oblige à cambrer en effet le dos

La cambrure du dos et le poids de la bûche déséquilibrent ton corps vers l’avant et pour ne pas tomber, malheureuse victime que tu es devenue, tu dois en permanence essayer de te relever en te cambrant vers l’arrière afin de ne pas tomber face contre terre emportée par le poids de la bûche. Tu souffles et tu te plains du poids. A chaque gémissement de douleur, la maîtresse t’ordonne de te taire.

Puis elle tire sur ton collier et te fait avancer en te cravachant sur les fesses. Tu fais quelques rapides pas maladroits pour suivre la tension de la laisse. Elle t’explique avec un air qui ne laisse aucun doute sur son intention à mener à bien son expérience que quelques coups de sa fine cravache sur les fesses signifient que tu dois avancer ; quelques coups sur le haut des cuisses doivent être suivi d’un arrêt. La maîtresse te fait faire quelques pas en te faisant exécuter ses instructions à la lettre. Tu souffles lourdement de peine. Satisfaite de voir que tu finis par réagir « au pied et à l’œil », elle nous annonce alors que la deuxième partie de son assemblage allait peut-être te plaire beaucoup moins ! LIRE LA SUITE


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Commentaires

Logo de Henic
mercredi 5 octobre 2011 à 14h44 - par  Henic

Ces dix chapitres sont bien écrits, l’histoire progresse d’un épisode àl’autre et le mot « descente » du titre est bien adapté. Lors du week-end, le consentement des épouses dans la maison de dressage est une option, une fioriture, et il ne semble pas qu’elles jouissent vraiment de la situation. Mais les êtres sont compliqués...