Le dressage de Tuli -3-
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Je regardais la jambe tendue d’Elise, offerte pour que je puisse éteindre le feu qui embrasait mon bas ventre. J’étais bouleversée en pensant aux changements qui étaient intervenus dans ma vie au cours de seulement quelques heures. Comment en étais—je arrivé là ? Hier encore j’étais une jeune étudiante au caractère bien trempé, un peu arrogante car consciente et fière de sa beauté et surtout une jeune fille à qui il ne fallait pas trop marcher sur les pieds car pouvant être redoutable si on se la mettait à dos.
Mais aujourd’hui, j’étais nue et en laisse telle une chienne, obligée de me déplacer à quatre pattes et de faire la belle pour obtenir des caresses dont j’avais un besoin pressant. Et si l’humiliation d’être ramener à l’état d’animal domestique était cuisante et pire que tout ce que j’avais pu vivre jusque là, ce n’était que le dernier avilissement en date dont je faisais l’objet.
Quand je pense que je m’étais insurgé au moment où ma blonde maîtresse m’avait obligé à lui lécher les pieds en guise d’acte de soumission ! Ou même que je m’étais révolté quand elle m’avait imposé de l’appeler « maîtresse ». Désormais ces deux choses me paraissaient presque allant de soi. Il fallait dire que depuis j’avais du subir bien pire en perversion. J’avais même flanché au moment du lavement, car j’avais alors réellement compris que mon propre corps ne m’appartenait plus et que ma maîtresse en ferait ce qu’elle voudrait.
Elle me dressait, j’en étais consciente. Elle me dressait à lui obéir, allant chaque fois plus loin dans la perversité pour qu’à chaque pallier que je franchissais sous sa direction, je me soumette toujours un peu plus sans possibilité de revenir en arrière. Et ça marchait, j’étais brisée, matée par l’autorité inflexible de ma maîtresse. Déjà je me rendais compte que je ne voyais plus en elle, Elise, ma voisine de table détestée mais ma maîtresse.
Et maintenant cette jambe tendue représentait un nouveau palier. Elle ne m’avait pas donné d’ordre, elle voulait juste me récompenser pour mon obéissance servile. Cela voulait dire que d’une part si j’acceptais cette nouvelle humiliation, ce serait mon choix et non dû au chantage et d’autre part que j’avouais librement que mon avilissement m’excitait au plus haut point.
La décision d’accepter ou non, je la pris rapidement. Je ne pouvais résister aux appels pressants de mon ventre brûlant. J’enfourchais donc vivement le présent et à genoux au dessus du tibia de ma maîtresse me frottais vigoureusement mon abricot juteux sur sa peau satiné mimant ainsi parfaitement un chien s’excitant sur la jambe de son maître.
— Ca c’est une envie pressante ou je m’y connais pas, hein ma Tuli ? Railla ma maîtresse.
Mais seuls mes gémissements et soupirs lui répondirent, j’étais trop plongée dans ma masturbation pour répondre par une phrase intelligible. Je finis même par m’allonger entièrement sur la jambe afin de facilité l’ondulation de mon bas ventre et ainsi obtenir le plus de plaisir possible pour chaque frottement.
Ce fut diablement efficace, je fus balayée par un violent orgasme après avoir répandu ma mouille en abondance sur le mollet d’Elise. Encore frissonnante et haletante, les yeux fermés et la joue posée sur la hanche de ma maîtresse j’étais à deux doigts de remercier celle—ci pour m’avoir fait prendre un tel pied.
Mais je n’en eu pas le temps car la sonnette résonna à ce moment là, nous prévenant qu’un visiteur se présentait à la porte. Mais ça je ne le réalisais pas tout de suite. Encore sous le coup de mon dernier orgasme, mon cerveau avait quelques wagons de retard. En fait Elise m’avait déjà tiré en laisse au rez—de—chaussée quand je commençais tout juste à réaliser que je risquais d’être vu dans cette position infamante.
Je fus tout de même rassurée de voir qu’Elise enfiler une veste pour couvrir son torse nu. J’escomptais alors, qu’elle vire l’importun en passant juste le haut de son corps dans l’ouverture de la porte et ainsi cacher qu’elle était cul nu. Par précaution je me décalais au maximum que me permettait la laisse afin de ne pas rester dans le champ de vision possible du visiteur.
Ma maîtresse ouvrit la porte et fis exactement comme je l’avais prédis par contre la suite ne fut pas du tout ce que j’espérais.
— Cathy ! Je t’attendais pas si tôt ! S’exclama Elise, ravie avant d’ouvrir toute grande la porte dévoilant la visiteuse à mon regard en même temps que nos corps étaient exposés à l’extérieur.
Sans même réfléchir je baissais la tête et me recroquevillais sur le sol.
— Tu penses bien que je n’aurais jamais pu attendre cet aprem !
— Entre donc. Si les voisins me voient comme ça, ça va jaser.
Je ne relevais pas la tête alors que j’entendais la porte se refermer. J’avais mille fois trop honte. Il y avait maintenant un témoin de ma cuisante humiliation et ça c’était pire que tout. Pendant le bref instant où j’avais gardé la tête haute tandis que la porte d’entrée s’ouvrait j’avais reconnu Catherine en la visiteuse.
Elle était la meilleure amie d’Elise avec qui elle traînait toujours pendant les pauses au lycée. D’après ce que je savais sa mère était marocaine et son père français de pure souche ce qui faisait d’elle un mélange physiquement intéressant. Grande, aussi grande que moi, elle avait la peau basanée, des cheveux noirs qui bouclaient légèrement mais un visage de type européen. Avec surtout des yeux d’un vert émeraude, étranges dans ce visage au teint foncé, mais étrangement beaux. Elle était en terminale dans le même lycée que moi, mais à part ces quelques renseignements, j’en savais guère plus sur elle.
— Je vois que tu as fait de cette garce d’Hélène une gentille petite chienne. LIRE LA SUITE
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