L’école des femmes adultères 1
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Nous sommes dans une ère où les mœurs ont changé, elles se sont libérées, tout est permis, si librement consenti, sauf une chose, paradoxalement car l’homme est resté le même, l’adultère féminin. Une loi a été créée, toute femme reconnue coupable d’adultère sera condamnée soit à la prison, soit à un stage de quelques mois dans des écoles spécialisées, créées à cet effet, au libre choix du mari.
Ces écoles n’ont qu’un but, faire de ces femmes adultères, de parfaites soumises, avide de sexe, obéissantes à tous les désirs de leur mari. Elles connaissent un franc succès, car les maris participent à l’éducation des femmes des autres, mais en aucun cas à celle de la leur. De plus ces écoles sont surtout des écoles de plaisir, bien des hommes découvrant une partie ignorée d’eux même, et surtout du plaisir féminin. Chaque école est divisée en deux, avec deux entrées, pour chaque couple le mari a un droit d’entrée dans une seule des deux parties, sa femme étant éduquée dans l’autre.
Nous sommes un vendredi matin de juin, au tribunal, deux femmes, Christine et Sophie, sont jugées pour adultère, reconnues coupables et condamnées. Elles sont emmenées dans une salle d’attente, avant leur transfert, pendant que leur mari, Laurent et Marc, vont dans une autre où le fonctionnement de l’école leur est expliqué, afin qu’ils puissent choisir en toute connaissance de cause. Les deux maris choisissent le stage, un rendez—vous est fixé pour le début d’après—midi, car le stage doit commencer sans attendre après la condamnation.
L’école est située à l’écart de la ville, dans un grand parc. Elle est constituée de deux grandes bâtisses bien distinctes, une grande haie sépare le parc en deux. Deux portails, cote à cote, donnent accès à chacune des deux parties, ils s’ouvrent à l’aide d’une carte magnétique. Chaque école permet l’éducation de 50 femmes, 25 dans chaque bâtisse. Seize éducateurs, dûment spécialisés sont affectés à chaque école, afin d’assurer une permanence 24/24, 7/7. Ils sont tous ravis de ce travail, le renouvellement se faisant en moyenne par cinq nouvelles élèves par semaine. La moyenne d’age des élèves est de 28 ans, l’age minimum étant l’age légal 18 ans, et le maximum n’ayant que la limite fixée par les choix des maris. Mais la plupart des élèves sont jeunes, les maris désirant en profiter à leur sortie de stage, ce qui rend pour ceux qui y participent ce stage très excitant.
Laurent et Marc arrivent à l’école en début d’après—midi, ils ont fait connaissance, en déjeunant ensemble, chacun sachant que l’autre va s’occuper de sa propre femme pendant quelques mois. Il n’y a pas de jalousie entre eux, ils en profitent même pour se livrer quelques détails sur le goûts de leur épouse respective. A leur arrivée, ils sont séparés, et après vérification des identités, chacun va dans la pièce de réception lui étant attribuée. Cette pièce est très confortable, fauteuils de cuir, table basse, diverses revues. Sur les murs, diverses photos représentant d’anciennes pensionnaires en court d’éducation, une desserte avec quelques boissons non alcoolisées.
Le transfert de leur femmes à l’école a été fait dès le matin, elles attendent chacune, seules, dans une autre pièce de réception. Puis un frugal repas leur a été servi. Philippe, l’éducateur chargé de la réception de Christine entre alors et toise Christine qui s’est figée.
— Christine tu as été condamnée pour adultère et tu es ici pour un stage d’éducation, choix de ton mari, afin de faire de toi une parfaite soumise obéissante, experte en amour, en un mot un parfait objet sexuel. Ton comportement a prouvé que tu aimais cela, donc tu vas te plaire ici.
Christine accuse le coup, et se met à pleurer. Philippe tente de la rassurer en lui disant que cette maison est avant tout une maison de plaisir, mais elle n’a pas l’air d’y croire.
— Tu n’as plus aucun droit, ici, sauf celui d’obéir. Nous allons t’accueillir dans quelques instant, et là, tout ce que tu dois savoir te sera expliqué, ensuite tu apprendras vite les règles de l’école. Mais en attendant, tu dois te préparer. Une dernière précision, ta tenue ici, après ton accueil, est la nudité la plus complète, alors ne fait pas la mijaurée avec moi.
Philippe ouvre alors une porte fermée à clé donnant sur une pièce carrelée ayant en son centre une douche, sur un coté un WC, et une petite table sur laquelle sont déposés quelques vêtements.
— Christine déshabille—toi, va faire tes besoins et lave—toi. LIRE LA SUITE
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