3 - La suite des aventures de C
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C rentre chez elle. Elle ressent encore la pénétration vaginale de Youssef, mais, surtout, elle a encore dans la bouche, le goût du sperme de Marco. Pour la première fois, elle a appartenu à deux hommes différents, l’un après l’autre. Elle a bien conscience qu’elle s’enfonce dans une situation dont elle ne pourra plus sortir, où elle servira les caprices de son Maître. Mais, en même temps, elle ne se sent pas la volonté d’en sortir. Et elle n’a pas envie de se demander ce que seront ces caprices. D’ores et déjà, elle sait qu’elle ira ce soir au sex-shop. Elle sait qu’elle sera encore humiliée, qu’on la traitera comme une fille facile et qu’elle acceptera tout. La gentille petite institutrice de la journée deviendra l’esclave sexuelle que Monsieur Ali lui ordonne de venir.
Arrivée à la maison, C se glisse dans un bain chaud. Elle en sort et se dirige toute nue vers sa chambre pour s’habiller. C’est alors que le téléphone sonne. C’est son mari qui lui annonce qu’il rentrera plus tard que d’habitude.
— Ne t’inquiète pas. Je vais aller faire quelques courses.
Bonne nouvelle. Elle peut se rendre au sex-shop, sans avoir de prétexte à fournir. Vite, elle enfile une jupe longue, sans slip, bien entendu. Elle commence à être bien dressée. Son chemisier transparent, ses talons hauts. Elle n’oublie pas le collier de chien. Elle est prête. Elle met quand même un manteau (elle ne veut pas qu’on la voie vêtue comme cela dans son quartier) et va chercher ce que son Maître a préparé pour elle.
Le magasin. Quand C entre, elle a l’impression qu’il y a plus de monde qu’hier. Le vendeur la regarde :
— Approche, Lola.
— Voilà ce que tu es venue chercher.
Il pose sur le comptoir un large porte-jarretelles noir et une paire de bas résille.
— À poil pour les essayer.
C regarde, intimidée, la dizaine de clients qui ont les yeux rivés sur elle.
— Ne t’inquiète pas. Ils ne feront que te mater. Mais grouille-toi. Réagissant immédiatement à l’ordre, C enlève son manteau, déboutonne son chemisier, le pose sur un présentoir, fait glisser sa jupe par terre. Elle n’a plus sur elle que son collier de chien et ses talons.
— Les chaussures aussi, connasse. Comment pourrais-tu enfiler tes bas ?
Elle se retrouve pieds nus sur le sol poussiéreux. Elle agrafe alors le porte-jarretelles autour de son ventre. Elle prend un bas à gros filet, mais, comme elle ne peut s’asseoir, elle est obligée, pour l’enfiler d’ouvrir les cuisses en grand. Tous les clients regardent ce sexe féminin qui se dévoile entièrement à eux. C entend leur souffle. Elle a peur, mais elle doit continuer. Ça y est : elle est plus que nue, dans ce magasin et elle attend, car elle sait bien que ce n’est pas fini.
— Mets-toi devant le miroir.
— Cambre-toi pour approcher ta chatte du miroir.
— Tourne-toi. Mets tes mains aux chevilles, jambes tendues.
Elle voit dans la glace une femme qui présente ses fesses, soulignées par le porte-jarretelles et encadrées par des bas noirs. Elle sait que la vulgarité de sa position excite beaucoup les clients qui ne se privent pas de faire des commentaires.
— Elle est bandante, la salope. LIRE LA SUITE
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