Correspondance 8 à 10
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Chapitre 8 :
Lettre Mme De V** à son amie de Mme A
Anne Charlotte, épouse régulièrement fessée par son mari, poursuite sa correspondance avec son amie d’enfance, Caroline. En réponse aux questions insistantes de celle-ci, elle revient sur les confidences d’une troisième femme, Lucie, qui, elle, a été fessée par son mari en présence de deux autres couples.
Ma belle,
Mon Dieu que j’aime votre fraicheur ! Que j’aime votre explication sur la fraicheur de l’air sur les rondeurs privées de slip ! Eh oui, on « ne pense qu’à cela », je sais ! Et pourtant, en effet, en principe personne ne s’en aperçoit. Sauf que nos hommes, eux, le savent. Et que, je constate par votre récit que le mien n’est pas le seul, cela les met en appétit ! Mais oui, ma belle, je vous taquine ! Bien sur qu’il m’est arrivé, moi aussi, de ne rien porter sous mes jupes ou sous mes robes. La différence avec vous c’est que cela ne m’arrive pas seulement après les séances autoritaires de mon mari. Pour tout dire, il lui arrive assez souvent de me « demander » (mais vous savez qu’avec nos hommes, leurs « demandes » sont comme des ordres) d’oublier de mettre ma culotte, surtout quand nous sortons en soirée. Et, tout comme vous, sa main rencontre alors plus souvent que nécessaire le tissu qui moule mes fesses sans autre protection. Je ne vous cacherais pas qu’il m’est arrivé parfois de frôler l’incident. Par exemple quand, fort détendue, et peut-être ayant un tout petit peu profité du champagne servi sans limitation, je me suis mise à danser un rock endiablé en oubliant que quand ma jupette voletait par trop … Ou encore quand il m’est arrivé, chez des collègues de mon mari, d’être assise dans un fauteuil très bas et de surprendre tout à coup le regard d’un des hommes présent et qui semblait se perdre en haut de mes cuisses. Mais au total, après tout, rien ne me prouve que qui que se soit ne s’en soit jamais vraiment rendu compte. Encore qu’avec le temps, le regard de mon cher mari est devenu fort acéré. Même sous un vêtement ample, je ne sais pas comment il fait mais il est capable de savoir si j’en ai une ou pas au premier coup d’œil. Ce qui m’a valu quelques belles fessées les fois où j’en avais enfilée une malgré ses ordres, et quelques caresses fort tendres quand, au contraire, j’avais pris de moi-même l’initiative de ne pas en mettre. Tout cela pour vous dire, ma toute belle, qu’il n’est même plus nécessaire que j’en sois privée pour m’en priver !
Venons-en à ma chère Lucie et à ses confidences tellement émoustillantes. Je vous ai raconté dans ma dernière lettre comment son mari l’avait punie en présence de deux autres couples, et comment une autre épouse avait accepté de faire de même. Visiblement cette soirée est restée, et on le comprend, gravée dans la mémoire de ma jolie amie, et elle y est revenue plusieurs fois lors de nos conversations. Il faut vous dire que je fais tout pour ramener « la question » sur le tapis et que je n’ai pas caché à cette jeune femme que moi, qui suit plus âgée qu’elle, subit souvent et depuis longtemps le même traitement de mon mari. J’ai même ajouté, vous me le pardonnerez j’espère, qu’une autre de mes amies, vous bien sur ma tout belle, avait découvert t plus récemment cette drôle d’habitude qu’on les maris de nous faire rougir le popotin. Et je dois vous dire qu’elle a été fort intéressée par le récit de votre découverte, et qu’elle est aussi curieuse de votre expérience que vous l’êtes de la sienne.
Elle m’a donc raconté par le menu cette première fessée reçue « en public » comme elle le dit de manière charmante. Son mari, elle en convient, l’avait prévenue, après l’avoir punie comme vous le savez pour son attitude lors de la soirée chez nous, que « la prochaine fois je n’attendrais pas d’être rentré à la maison » Et même si elle n’avait pas véritablement compris qu’il la menaçait d’une fessée immédiate et devant témoin, elle avait, dit elle, fait attention à ne plus donner de raisons de fâcherie à son mari. Ou au moins, comme elle le précise « je veux dire à l’extérieur, à la maison il n’a jamais vraiment renoncé ! » Mais comme elle le dit elle-même « c’est plus fort que moi » et lors d’une soirée chez un autre collègue de son mari, elle a récidivé sans même s’en rendre compte. Cette fois, outre le couple qui invitait, un autre couple était présent. La maîtresse de maison étant fort occupée par le service participait peu à la conversation, et l’autre épouse, une dame d’une cinquantaine d’année plutôt réservée, parlait très peu elle aussi. C’est donc notre belle écervelée qui a monopolisé la parole, intervenant sans cesse, coupant la parole à son mari et surtout lui apportant la contradiction, ce qu’elle savait pourtant lui être insupportable. Jusqu’à ce que le dit mari la regarde dans les yeux et lâche le fameux « cette fois nous n’attendrons pas d’être rentrés tu sais ! » avant de reprendre la conversation avec ses amis sans plus de commentaire. LIRE LA SUITE
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