4- Suite des aventures sexuelles de C, mon épouse.
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Lundi est arrivé.
Comme elle en a pris l’habitude, et sans plus se poser de question, C s’est préparée à rejoindre son Maître : mini-jupe (ras la touffe, comme il dit), chemisier transparent et talons aiguilles. N’ayant pas eu le temps de laver ses sous-vêtements de « pute », elle est absolument nue dessous. De toute façon, elle sait bien qu’elle doit être prête.
Quelle transformation ! La jeune institutrice sage est devenue une fille facile, prête à tout pour plaire à son Maître.
C traverse la salle, déshabillée par les clients. Et elle ne peut s’empêcher de penser à ce qu’elle a subi, ici même, samedi dernier.
Elle entre dans la cuisine. Monsieur Ali est toujours assis derrière son bureau. Il n’a même pas un regard pour elle. Pourtant, en un tournemain, C s’est mise nue, ne gardant que ses talons et son collier (qu’elle porte maintenant en permanence). Elle accroche la laisse et attend, bras le long du corps.
— Alors, petite pute. Tu es fière de toi ?
C ne comprend pas la remarque de son Maître.
— Tu n’as pas été bonne, samedi soir. Les clients se sont plaints et il a fallu te rappeler à l’ordre. N’oublie pas que ton corps m’appartient. Quand je donne un ordre, tu dois l’exécuter servilement, comme l’esclave que tu es. Quand je te donne à mes clients pour qu’ils te touchent, tu dois leur laisser te tirer les nichons et entrer leurs doigts dans ta chatte, et faire tout ce qu’ils ont envie avec ma pute. Compris ?
— Oui, Maître, dit C en ravalant ses larmes.
— Tu n’as pas mérité une punition ?
— Si, Maître.
— Si, quoi, salope !
— J’ai… mérité une punition, Maître.
— Pose tes mains sur le bureau, écarte les cuisses, et n’oublie pas de compter. À toi, Marie, le fouet et quinze coups.
À ces mots, C se met à trembler. Le fouet, elle ne l’a jamais ressenti. Et quinze coups !
Marie décroche un long fouet, à mèche de cuir large. Elle vient le mettre devant les yeux de sa victime.
— Tu vas le sentir, salope.
Le premier coup claque. La lanière cingle les deux fesses et finit sa course au ras de la vulve.
Une marque rouge violacé traverse les deux hémisphères culiers. Les coups se suivent et marquent le cul de Lola de sillons d’où perlent quelques gouttes de sang. Le douzième coup la surprend au milieu du dos et frappe jusqu’au téton. Treize, quatorze. Le dernier coup vient entre ses cuisses et atteint les lèvres vaginales.
— Quinze, dit C, dans un souffle.
Elle a supporté sa punition, et, au milieu de sa honte, apparaît un sentiment de fierté. Elle a réussi à subir cette douleur, en faisant honneur à son Maître.
— Maintenant, tu vas remercier Marie, chienne. Mets-toi à quatre pattes et lèche-lui les pieds, comme le bon petit animal que je veux que tu sois.
C obéit immédiatement et commence à embrasser les pieds de sa tortionnaire.
— J’ai dit lèche, avec ta langue.
Elle sort la langue et la fait glisser des orteils aux chevilles. Pendant ce temps, vicieusement, Marie caresse le cul de l’esclave avec la lanière du fouet. Au bout de longues minutes…
— C’est bon, maintenant. Toi, Lola, tu restes à quatre pattes. Toi, Marie, va chercher Youssef. LIRE LA SUITE
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