Fairy érotique (2)
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3. Hervé
Hervé arrêta sa promenade du matin au bord d’un petit étang. Il n’avait pas la tête à ça, c’était Carine Beaumont qui occupait ses pensées et le fait de parcourir le sentier au pas de course ne le défoulait pas. Il s’était réveillé le sexe érigé, pensant à elle et la présence de ses deux amies à côté de lui l’avait empêché de se masturber. Les mouvements de sa main dans son duvet, sous cette tente étroite, auraient tiré du sommeil au moins Cécile.
Les bords de l’étang poussaient des fougères, ainsi que de hauts buissons couverts de baies et de fleurs tardives. Bon, l’image de Carine allait le poursuivre jusqu’à ce qu’il se soulage, alors autant profiter de ce moment de solitude… Il s’allongea dans l’herbe et dégrafa son short. Il n’avait pas revu Carine depuis cette fête de fin d’année à la fac. Elle était partie juste après, en juillet, et lui en août. À peine évoqua-t-il la soirée que sa verge durcit. Il a pris entre ses doigts et les fit coulisser autour, tout en se souvenant…
Son corps de sportif lui valait pas mal de succès et lorsque Carine, une petite blonde qui était en TD avec lui glissa qu’elle souhaitait visiter le gymnase, il savait bien ce qu’elle cherchait. En tant que responsable de l’équipe universitaire de basquet il avait la clé sur lui. Tous les deux s’étaient discrètement éclipsés de la soirée et retrouvés dans les vestiaires des garçons, tous les deux seuls sur un long banc. Tout naturellement ils avaient commencé à s’embrasser et à se caresser et Carine était devenue très entreprenante. Elle lui avait ouvert sa braguette et sortie une queue droite comme un i. avec une grande dextérité elle s’était mise à la caresser, à la presser délicatement, tout en malaxant ses testicules de l’autre main. Mon Dieu qu’elle savait bien s’y prendre ! Si certaines filles sucent divinement, Carine branlait comme une déesse !
Allongés dans l’herbe, tout à son fantasme, il avait l’impression que c’était la main de Carine et non la sienne qui coulissait autour de son sexe…
Ce soir-là elle portait une courte jupe moulante qui pouvait se rouler à la taille sans redescendre, découvrant un petit string blanc qu’il voulut lui ôter.
— Non ! Laisse-moi faire ! demanda-t-elle.
Hervé était allongé sur le banc et elle vint au-dessus de lui, cuisses ouvertes. Sans enlever son string, elle l’avait écarté sur le côté et c’était mis à frotter son clitoris contre le gland du garçon, de plus en plus vite, glissant de plus en plus facilement…
— Putain comme c’est bon ! C’est bon ! C’est trop bon ! haletait-elle.
Elle jouit brusquement très fort et d’un coup, s’empala sur lui, le chevauchant jusqu’à ce qu’il succombe à son tour.... Ensuite ils étaient allés sous la douche où il l’avait prise à nouveau, debout contre le mur, sous le jet. Mais aujourd’hui il voulait conclure sa séance d’onanisme sur la scène précédente, sur l’image de Carine, ses yeux révulsés, sa bouche ouverte qui poussait un long cri rauque, sur l’odeur de sa sueur mélangée à son parfum… Et il sentait la conclusion arriver, sa main accélérait le mouvement sur sa verge et des soupirs lui échappaient…
De petits rires, non loin, le firent s’arrêter. LIRE LA SUITE
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