Agnès, les yeux bandés
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1 - Le début d’une passion
Agnès les yeux bandés, son corps nu et offert à moitié étendu sur le canapé en cuir de l’appartement de Jean se demandait si elle n’avait pas eu tort de céder au fantasme qu’il lui avait proposé de satisfaire dans les limites dont elle déciderait. L’étrangeté de sa situation et sa nouveauté l’excitaient à tel point qu’elle décida de continuer le jeu tout en pensant aux circonstances de leur rencontre qui tel un film repassait dans son imaginaire
Agnès avait rencontré Jean un ami éloigné de sa famille quelques jours au paravent, lors de la réception de mariage de son cousin.
Agnès est âgée de 18 ans, avec un très joli visage et un corps à la fois mince et harmonieux. Elle est innocente et n’a reçu tout au plus que des baisers et des caresses, n’étant jamais descendus plus bas que sa poitrine, de la part d’un garçon de son âge, ami de fac où elle poursuit des études littéraires. A l’origine de son trouble se trouve l’invitation à danser et la chaleur du corps et de la voix de Jean.
Réunie à lui dans un slow, elle est tombée sous le charme d’un homme de 45 ans, en pleine force de ses moyens physiques et intellectuels. Elle ressentit un trouble profond lorsqu’il la serra dans ses bras en l’attirant contre lui et en pressant son corps contre le sien. L’odeur de son parfum, subtile et masculine, accentuée par une légère transpiration liée à l’agitation de la fête, lui faisait tourner la tête et elle accepta volontiers son invitation, à la fin de la danse, à prendre un rafraîchissement sous la tonnelle du jardin dans cette belle soirée d’été. Il lui offrit un verre de champagne qu’elle accepta ce qui contribua à aggraver son trouble. Jean lui fit compliments sur sa beauté et lui proposa une promenade dans le parc. Pendant cette promenade, il lui parla de sa vie aventureuse dans l’armée et par la suite dans la finance et obtint d’elle, aidée par la chaleur du champagne, des révélations sur sa vie personnelle et ses désirs, qu’elle n’aurait jamais données en d’autres circonstances.
Il apprit ainsi qu’elle n’avait, en dehors de sa vie d’étudiante, aucune activité si ce n’est le tennis et le ski qu’elle pratiquait en famille. Elle lui avoua son inexpérience dans le domaine du cœur et des sentiments. Il prit ses lèvres avant de la ramener vers la fête et elle se laissa faire, grisée par l’alcool et sous le charme d’un homme dont elle ne pouvait imaginer, quelques instants plus tôt, qu’il pourrait s’intéresser à elle.
Il lui proposa et elle accepta de le revoir en déjeunant chez lui le prochain mercredi jour libre de cours à la Fac. Elle pensa à lui tout le début de semaine et se rendit le mercredi suivant à l’adresse qu’il lui avait donnée en lui demandant de n’en parler à personne, même sa meilleure amie, cet instant de leur relation devant constituer un jardin secret entièrement réservé. Elle avait accepté, comme un jeu, de répondre lors de ce déjeuner à toutes les interrogations qui lui seraient faites sur sa vie et ses désirs. Elle se rendit chez lui habillée d’une robe d’été faisant ressortir les globes dressés de sa poitrine, la minceur de sa taille et le galbe de ses reins...
Elle sonna et un valet de chambre africain immense et athlétique lui ouvrit la porte et la fit assoire dans le salon du confortable hôtel particulier où Jean résidait. Il lui offrit et elle accepta, un verre de champagne. Quelques instants plus tard, Jean arriva et lui offrit une autre coupe avant de passer à table.
Lors du repas, il lui proposa de réaliser tous ses désirs et de lui faire découvrir, tous les aspects de l’amour, dont elle ignorait tout encore. Après le repas, un peu grisée par le champagne et le bordeaux, elle se retrouva assise dans le salon une tasse à café dans les mains. Jean lui demanda et elle accepta de commencer immédiatement son éducation amoureuse. Il vint s’asseoir à côté d’elle et lui donna un baiser profond en même temps qu’il commençait à lui caresser la poitrine à travers sa robe. Il s’arrêta de l’embrasser et lui demanda si elle accepterait de se soumettre à un jeu dont il fixerait les règles et elle les limites, en refusant éventuellement les développements qui lui seraient proposés, Elle accepta et Jean lui banda les yeux avec un foulard noir, en lui précisant qu’un autre que lui-même allait la dévêtir et préparer son corps afin qu’il puisse par la suite le découvrir. Sans attendre sa réponse et sans opposition de sa part, il appela son valet de chambre en lui intimant l’ordre de préparer Agnès sans autre précision. Les yeux toujours bandés, celui que Jean appelait de son prénom Serge la prit par les mains, la fit lever et après avoir caressé ses cheveux soyeux et son visage, entreprit de dégrafer sa robe qui bientôt tomba à ses pieds, révélant un corps exquis, seulement protégé par un léger soutien-gorge sans armatures et un slip en coton moulant les formes arrondis et parfaites de ses hanches et de ses fesses. Après avoir libéré les seins, il la fit asseoir et lui soulevant les jambes, fit glisser jusqu’à ses pieds le dernier voile qui masquait sa pudeur. Agnès sentit alors la caresse de l’air frais sur son ventre nu accentuée par son humidité naturelle liée à la situation et la position impudique dans laquelle elle se trouvait, bien qu’elle ne puisse rien en voir à travers le foulard qui masquait toujours son regard. Jean dit à Serge : « Prépare Agnès comme je te l’ai demandé ». Répondant à cet ordre, il lui souleva et écarta les jambes reposant sur le coussin du canapé et s’agenouillant devant elle, il remonta ses mains le long de ses cuisses et ouvrit délicatement les lèvres de son sexe à peine recouvertes d’un léger duvet blond coupé court, qui ne cachait rien de son intimité.
Agnès entendit alors une porte du salon s’ouvrir et Jean s’adresser au nouveau venu en lui demandant de s’approcher d’Agnès, une voix jeune et féminine lui répondit. Il demanda à Serge de s’écarter d’elle pour laisser place à Julie. Agnès sentie alors les mains de Julie caresser ses jambes et remonter vers l’intérieur de ses cuisses en les écartant, puis elle sentit ses doigts sur son sexe lesquels après en avoir séparé les lèvres laissèrent place à sa bouche, à sa langue et ses doigts qui prirent possession de son intimité. LIRE LA SUITE
Sommaire
I - Le début d’une passion 2
II - La présentation d’Agnès 6
III - La confession et la préparation d’Agnès 9
IV - La découverte 12
V - L’offrande 16
VI - Anne la 1° fois 18
VII - La perte de l’innocence 21
Fin 23
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