Luke
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L’éducation de Kate
L’attente fut longue, très longue dans cette position, accoutrée comme je le suis. Quand, enfin, je sens la présence de quelqu’un à côté de moi après ce qui m’a paru une éternité. Le casque qui m’a assourdie, m’est enlevé et une main féminine me détache du mur pour ensuite me forcer à me relever. Je sens qu’on m’essuie la poitrine et le ventre qui doivent être inondés de ma salive. Puis qu’on me met une (...)
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Attendre qu’il vienne
Texte original anglais publié par BDSM Library
Traduction par Luke
Je me réveille en sursaut, mon cauchemar d’être enterrée vivante encore effroyablement réel. Les muscles de mes épaules et les cuisses me font mal. Mes tétons me lancent affreusement. Je tente de fermer mes jambes et de m’asseoir mais je ne peux pas bouger ! Je panique, je lutte contre les liens serrés sur mes poignets et mes (...)
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L’éducation de Kate
Comment Kate a vécu cet après–midi. Son récit… Cet après–midi de fin juin, je vais enfin pouvoir passer un moment agréable avec mon amie Maud. Depuis 20 ans que nous nous connaissons, nous savons tout l’une de l’autre, enfin presque tout. J’ai vraiment hâte d’être chez elle pour lui raconter ce qui m’arrive. Je me dépêche, car il va être bientôt 15 heures et je ne veux pas être en retard. Après avoir (...)
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L’éducation de Kate
Comment Maud a vécu cet après–midi. Son récit…
Nous sommes au début de l’été et comme tous les lundis après–midi, j’attends la visite amicale de mon amie Kate en lisant un magazine sans intérêt. Il y a très longtemps que nous sommes amies et nous ne nous cachons rien, enfin presque rien. Kate est une artiste peintre avec un petit talent, mais qui se croit douée. Elle n’a jamais réussi à percer et à vivre (...)
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L’éducation de Kate
Maud me dit d’un ton sec : « Bon, c’est tout simple, tu lèves tes fesses de là et tu vas devant la table basse qui est juste là » en me la montrant du doigt. Un peu furieuse du ton, je me lève brusquement pour me diriger d’un pas rapide vers l’endroit indiqué. Je me plante les bras croisés sur ma poitrine. Je me déhanche sur le côté dans une pose de défi. J’en ai marre maintenant et je veux savoir ce que (...)
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L’éducation de Kate
« Audrey, tu me fais face, même position » « Bien, Madame », répond Audrey « Kate, descend de cette table et viens te mettre devant moi, à genoux, cuisses écartées. Tu prends modèle sur Audrey. » « Oui, Madame », réponds-je. Je vais pour me relever en commençant à glisser une jambe en dehors de la table quand je suis arrêtée dans mon mouvement par un ordre : « Stop. Tu dois le faire à quatre pattes. » Je (...)
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L’éducation de Kate
Audrey me voyant arriver, ouvre la porte et sort en marchant vite vers sa voiture dans l’allée. Je la suis en courant presque. Arrivées à sa voiture, elle me dit : « Stop. Mains derrière la tête, jambes écartées. Tu attends mes ordres. » Je fais ce qu’elle me demande. « Bien, Madame. » Elle déverrouille les portières et m’ordonne : « Tu vas vers le côté passager, tu ouvres la portière et tu attends. Même (...)
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L’éducation de Kate
Dès l’entrée dans la maison, je me déshabille et je prends la position d’attente au milieu du vestibule face au salon, la poitrine en avant, les jambes bien écartées, le regard droit devant moi. Audrey va prévenir Maud de notre arrivée. Quand elle revient, elle est nue comme un ver. Elle se met, elle aussi, en position d’attente à côté de moi. Bien vite, Maud arrive. « Les filles, mes petites salopes, (...)
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L’éducation de Kate
Audrey surgit au petit matin, tout habillée et me réveille en me pinçant les tétons. Elle me fait un léger baiser sur la bouche : « La petite salope a bien dormi, à ce que je vois. Debout, il est six heures. Je vais te détacher. » Bien que je me sois endormie comme une masse, ma nuit a été très agitée, car être attachée comme Audrey l’avait fait, m’avait réveillée dès que j’avais voulu me tourner et tout (...)
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L’éducation de Kate
Elle me remet la laisse et m’entraîne derrière elle en me tirant par-dessus son épaule, moi marchant bras croisés dans le dos comme elle me l’a indiqué. Arrivées dans la salle d’eau, elle défait la laisse et aussi le collier. Elle me pousse sous la pomme de douche et me dit « Inspection », je suppose que je dois me mettre les mains derrière la tête, les jambes écartées. Bingo, c’est ce qu’elle veut. (...)
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L’éducation de Kate
Arrivée dans la cuisine, Audrey consulte un tableau fixé au mur et me le montre du doigt : « Madame est très stricte sur son régime alimentaire et sur celui de ses esclaves. Elle établit un menu hebdomadaire indiquant le détail de chaque repas. Les ingrédients nécessaires sont dans ce placard. Je te laisse faire. Tu prépares le repas pendant que je lis un peu. » Me laissant aux fourneaux, elle va (...)
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L’éducation de Kate
La nuit a été plus reposante que la précédente et j’ai pu me refaire un peu de forces bien que le matelas tellement mince m’ait donné l’impression d’avoir couché sur le sol directement. Quand la température a baissé au milieu de la nuit vers quatre heures du matin, j’ai cherché par pur réflexe la couverture, mais il n’y en avait pas. Alors, recroquevillée sur moi–même, je n’ai pas pu vraiment me rendormir. (...)
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L’éducation de Kate
Quand je me réveille le jeudi matin, je m’étire longuement, mais très prudemment, car tous mes muscles sont endoloris et tout mon corps me fait mal. Je réalise que je ne suis pas chez moi et que je suis nue dans un lit qui n’est pas le mien. Je ne comprends pas où je suis, mais je vois Audrey habillée, enfin presque, à côté de mon lit. Tout me revient à l’esprit à ce moment. Le gage que Thomas m’a (...)
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L’éducation de Kate
12. Livrée à mon maître
La nuit fut courte, car sans couverture le froid du matin m’a réveillée et m’a tenue éveillée. Je somnole vaguement quand Audrey vient secouer mon épaule. « Kate, il est six heures. Debout. On a du travail encore et c’est vendredi. » Elle me détache de la chaîne fixée au mur. Je m’assois sur le lit pour frotter ma cheville endolorie par l’anneau de fer bien qu’il soit garni d’une (...)
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L’éducation de Kate
Même si d’habitude, je ne peux rien voir à cause du foulard qui m’aveugle, je devine toujours un peu de lumière, mais être dans ce noir complet me fait vraiment flipper. Debout jambes écartées, mains liées, je me sens encore plus vulnérable. Pas que j’ai peur du noir, mais mes pensées vagabondent trop dans ma tête. L’attente dure très longtemps, trop longtemps, mes épaules et mes bras commencent à me (...)