Doigts de fée


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jeudi 25 juillet 2013
par  doigts de fée

« L’Aristochienne »

Le choix du Maître s’est porté sur la race des Aristochiennes.
Comme il est un adepte des produits haut de gamme, Il est allé pour ce faire, chercher son bel animal, dans un très bon élevage ; il l’a scrupuleusement sélectionné, avec des parents ayant un double prix de beauté et de travail. D’ailleurs, afin de s’assurer de la qualité de ses origines, il avait exigé de l’éleveur la présentation de (...)

Commentaires récents

8 octobre

Le lecteur attend le chapitre 2 depuis 101 jours. C’est long, pour ne pas écrire très, très long. Surtout que le récit avait bien démarré. Reste à (...)

6 octobre

Avec tout ce qu’il est possible qu’un maître exprime de mauvaise foi, cet épisode continue la description de la descente de plus en plus rapide (...)

13 septembre

118 très, très longs jours pour découvrir cette petite suite. Les chapitres et pagination ont changé, car Christine n’est jamais complètement (...)

26 août

Le niveau de perversité de cette histoire est très, très élevé. Je ne suis guère amateur de ce genre de chose, même si je reconnais que cette histoire (...)

13 juillet

Un texte écrit sur un ton poétique qui met de la douceur dans cette action amoureuse entre femmes. Il y a des tournures littéraires pour le moins (...)

10 juillet

Cet ouvrage mérite d’être lu. Il est conforme à son titre, et retrace admirablement les hauts et les bas d’une liaison de soumission (...)

8 juillet

Si la soumise accepte, c’est qu’elle y trouve son compte. Mais être ainsi traitée comme une chose n’est pas à l’honneur de son maître qui expose ainsi (...)

7 juillet

J’avais commencé un commentaire mais il a disparu sans préavis !
La « rêveuse » est tout de même bien conditionnée... Elle - son corps, au moins -, (...)

18 juin

J’apprécie beaucoup vos récits, car ils « sentent le vécu ». Cependant, étant un rien maniaque en manière d’emploi de la langue (française), je suis (...)

11 juin

Un avantage d’Internet est que l’on peut reprendre une conversation une douzaine d’années plus tard sans qu’il paraisse qu’il y ait eu une (...)