WEAR, CARE AND CARESS 2/3

mardi 30 août 2011
par  Germain Dumas
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— Non ; depuis mon arrivée jusqu’à mon départ, ils sont toujours restés très professionnels, très polis et très respectueux.
— Mais de t’avoir caressée avec tant d’ardeur, ces deux beaux mâles, ils sont restés décents ? Ça ne les a pas mis en rut ?
— Oh… sur Maurice, ça ne se voyait pas trop, il était correctement habillé ; mais sur Vincent… alors là, oui ! À travers son petit tablier de gaze, je voyais bien que ça dépassait largement le haut de son maillot ; mais… tu vois, ni l’un ni l’autre, jamais ils ne se seraient permis un geste déplacé. Attends, je vais quand même te raconter la suite…
— J’espère bien !
— Donc, quand on m’a détachée de ma corde, je me sentais encore étourdie par le plaisir ; alors on m’a offert une coupe de champagne ; et comme il était délicieux, j’en ai demandé une deuxième, et même une troisième ; et… après m’être sentie ragaillardie par ces trois coupes, j’ai voulu avoir des précisions sur tous ces fouets et cravaches accrochés au mur…
— Oh, dis donc… Là, tu prenais un risque, non ?
— Oh… pourquoi ? Non, ce que j’ai voulu savoir, c’était seulement laquelle, parmi toutes ces choses—là, était la plus extraordinaire, la plus efficace, celle qui faisait souffrir le plus.
— C’était de la provocation !
— Non, non ; au contraire, ils ont trouvé ma question tout à fait normale, parce que justement, les avis sont partagés. Pour les uns, la plus terrible, c’est la badine ; mais une vraie, tu vois.
— Ah, bon ?
— Oui… une simple baguette de nylon d’un petit mètre de long, à peine grosse comme un crayon. Il paraît que c’est terriblement douloureux, seulement voilà : une badine, c’est interdit sur les zones un peu osseuses, alors on peut l’employer uniquement sur les fesses et sur les cuisses, et certains amateurs trouvent que c’est frustrant.
— Oui… ça peut se comprendre…
— Mais pour d’autres, l’ustensile le plus terrible, c’est… Voilà, c’est une courroie de cuir ronde, comme un très gros lacet, dont on tient les deux extrémités pour cingler avec la boucle… tu vois un peu ?
— Ah… tu veux dire, de la courroie cylindrique en cuir pour machines à coudre, un peu plus mince qu’un crayon, c’est ça ?
— Exactement ; ces messieurs m’ont assurée que ça fait un effet absolument insupportable, même dès le premier coup. Ils appellent la cravache sans fin…
— Ah oui… Et alors ?
— Alors comme je me suis montrée curieuse, très gentiment, Vincent est allé décrocher celle qui était au mur, et il me l’a confiée. Un très bel instrument ; la courroie était luisante à force d’avoir servi, souple, lourde, solidement emmanchée sur une cravache de course, assez souple elle aussi… On avait bien en main, avec sa poignée antidérapante et sa dragonne…
— Tu devais être impressionnée de pouvoir la manipuler ?
— Moi ? Oui, mais… j’étais plutôt incrédule. Bon, ce cuir fauve, ça sentait bon, c’était lisse, doux et frais, je jouais à m’en caresser le ventre et les seins tout en comparant avec ce que je voyais au mur… Mais… moi, qu’un machin comme ça soit réputé comme leur ustensile le plus redoutable… j’étais vraiment incrédule.
— Mais si on te l’avait dit, il fallait le croire !
— Oui, mais tu sais bien, moi, je ne crois jamais ce que l’on me dit, surtout quand il s’agit de performance ; alors j’ai fait la moue, j’ai dit que j’étais sceptique, et… voilà, j’ai demandé si je pouvais m’en rendre compte… Pas sur moi, évidemment, mais… sur Vincent.
— Oh !… Là, vraiment, tu as eu du toupet !
— Oh… pourquoi ? Un moment plus tôt, Vincent me soutenait que les amateurs de fouet avaient droit à autant d’égards que les autres ! J’ai très bien compris qu’il parlait pour des gens comme lui, alors… lui que je trouvais si beau et si fort, j’ai eu envie de lui offrir un petit essai ; juste pour voir…
— Ah… oui, je comprends… Et alors ?
— Eh bien, tu vois, Maurice a été ravi de ma demande ; il a m’a accordé cet essai en cadeau de bienvenue, et il a demandé à Vincent de bien vouloir se soumettre. Et… je dois dire que Vincent a été très gentil : il est venu vers moi, il m’a regardée au fond des yeux, et puis… il m’a soulevée à bout de bras en me prenant sous les aisselles ; tu vois un peu s’il est fort !
— Oui, en effet…
— Mais s’il m’a regardée comme ça, c’était pour voir si j’étais vraiment sincère ; comme il a été satisfait, toujours en me tenant comme ça, il a mis un petit baiser entre mes deux seins, et très gentiment, il m’a dit qu’il acceptait de se prêter à cet essai ; mais seulement pour trois coups.
— Trois coups… Ça fait bien peu…
— Oui, c’est ce que je pensais moi aussi ; mais pour un début, c’était déjà pas mal, et j’ai remercié Vincent, bien sûr. Mais depuis ma demande, je voyais bien qu’il me dévisageait autrement qu’avant ; je voyais qu’il avait le cœur battant, et… pas seulement le cœur : une nouvelle érection l’avait repris, et ça bousculait drôlement son petit tablier !
— Ah, tiens… ça ne m’étonne pas, moi ; enfin, une belle fille comme toi, toute nue, s’offre à le fouetter pour le plaisir, alors qu’il vient de la caresser durant une demi—heure ! Pour un homme bien bâti, ça peut être excitant, tu sais !
— Peut—être, mais… ça a augmenté encore quand j’ai fait des gestes préparatoires avec ma cravache ronde, à plein bras, jusqu’à la faire chuinter en l’air… Il ne me quittait plus des yeux, Vincent, et quand il s’est rendu compte à quel point ça allait me faire plaisir de m’en servir, il m’a reprise sous les bras pour me faire encore un gentil bisou dans le cou.
— Tiens, tiens… je vois ça, oui…
— Oui, mais à peine reposée à terre, j’en ai profité pour dire qu’avec seulement trois coups, je ne pourrais certainement pas me faire une idée sur les qualités de cette cravache sans fin, et qu’à mon avis, il en faudrait au moins le double. Eh bien, tu vois : tout de suite, Maurice en est convenu, et il m’en a accordé sept, lui.
— Ah, bon ; et Vincent, qu’est—ce qu’il en a dit ?
— Je dois dire que… oui, il avait l’air un peu gêné, mais il a quand même accepté ; juste pour me faire plaisir, a—t—il précisé ; et il est revenu me faire un petit bisou sur chaque bout de sein. C’était gentil, mais moi, j’ai bien vu que sa respiration avait changé ; elle était plus rapide et plus forte, et son érection, tu vois, il était obligé d’y mettre de l’ordre, sous son petit tablier !
— Ah, bon…
— Donc Maurice a dit que c’était d’accord, et que tous les deux, nous n’avions plus qu’à le suivre pour que je fasse mon essai. Donc, nous l’avons suivi jusqu’à cette installation dont je t’ai parlé, tu sais, ces deux planches avec des découpes.
— Ah oui… Donc, vraiment, c’est utilisé ?
— Tiens donc ! Alors Maurice a dit à Vincent d’enlever son maillot, pour ne pas abîmer le col, et de s’incliner vers l’avant.
— Bien sûr, vers l’avant…
— Mais… Non, c’était une faveur !
— Pourquoi ?
— Enfin, il aurait aussi bien pu lui ordonner de se courber vers l’arrière, en offrant le devant de son corps à ma cravache !
— Oh, la, la ! Çà, ça doit être le raffinement suprême, non ?
— Je ne sais pas, moi… En tout cas, si Maurice me l’a fait remarquer, c’est qu’on avait le choix !
— Ah, oui, en effet…
— Mais tu vois, Maurice a choisi de rester classique, et il avait bien pensé que je ferais mon essai sur l’arrière—train de Vincent. Donc Vincent quitte son polo, et il se met en position entre les deux planches ; alors Maurice fait descendre doucement la planche du dessus, et Vincent est immobilisé par le cou et les poignets, sans aucune gêne. Ensuite, Maurice a réglé l’appareil… c’est—à—dire qu’il a orienté les planches pour obliger Vincent à se positionner de façon à m’offrir ses fesses bien cambrées, bien arrondies, et à la bonne hauteur.
— Donc, il voulait faire les choses bien…
— Oui, mais attends… Quand Vincent a été immobilisé, Maurice a dit qu’il venait de réfléchir : d’après lui, à peine j’aurais la cravache en main, eh bien… au moment de m’en servir, les coups sembleraient tomber d’eux—mêmes ; donc, il a jugé que… même avec sept coups, c’était vraiment trop peu pour que je puisse me faire un idée valable ; alors il a décidé de porter l’essai à une douzaine. Là, Vincent a commencé à ronchonner, mais Maurice a déclaré que c’était comme ça et pas autrement ; alors, il n’a rien répliqué ; il a bien fait, je crois.
— Mais… pourquoi l’avoir emprisonné avec cet appareil ?
— Eh bien… voilà ; Maurice m’a expliqué que… même pour seulement quelques coups, cette cravache ronde est tellement douloureuse que si on reste libre, on se débat comme un fou ; la douleur est si violente qu’on ne peut pas s’empêcher d’être agressif ; et d’après lui, Vincent est tellement costaud que s’il restait libre de ses mouvements, je ne parviendrais certainement pas à faire mon essai, et ça pourrait être dangereux pour moi… LIRE LA SUITE

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